Tortues Caouannes . La saison des pontes se termine bientôt

 
Les pontes cette année sont tardives et sont moindres en comparaison avec l’année dernière ce qui est dû aux températures sur nos côtes françaises .
A l’heure d’aujourd’hui, 6 pontes de tortues Caouannes ont été recensées en France cette année (Cap d’Agde, Hyeres, Saint-Cyrien, Corse, Saint-Raphael….) et 3 tentatives de pontes ont été observées. Pour l’instant, la dernière ponte de tortue caouanne vérifiée en France a eu lieu le lundi 12 août à Narbonne.
En Italie c’est plus de 500 nids qui ont été relevés et 8 en Espagne !
Cet événement reste exceptionnel en France.
Caretta caretta, la tortue Caouanne est l’espèce de tortue marine la plus présente en Méditerranée 
 
 
 
Le saviez-vous ?  La femelle se reproduit en mer puis vient pondre ses œufs sur la plage qui est d’ailleurs souvent celle où elle est née ! Les tortues peuvent venir pondre tous les deux à trois ans entre deux et sept fois par saison. Elles trouvent un endroit propice sur la plage où elles creusent un trou afin de déposer 70 à 150 œufs, le trou est ensuite rebouché et la tortue retrouve ensuite la mer afin de poursuivre sa vie !
L’éclosion a lieu après environ deux mois d’incubation. Il est alors temps pour les tortillons d’entamer un long périple vers la mer et de tenter d’atteindre l’âge adulte face à toutes sortes de menaces…
L’équipe du CESTMed se charge de la prospection d’un secteur de plages dans la région Occitanie à la recherche de potentielles pontes.
Vous aussi vous pouvez aider les tortues marines et participer à leur conservation ! Il est encore possible d’apercevoir une trace de ponte. Si c’est le cas :  N’hésitez pas à contacter l’équipe du CESTMed au 04.34.26.27.80 ou par mail  Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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