Les racines des pins endommageaient la chaussée et déformaient le bitume, rendant le parcours périlleux pour se rendre dans la résidence. Après de nombreuses demandes de la part des habitants auprès de la municipalité et d’Hérault habitat et une chute d’une personne âgée. La municipalité se déclarant incompétente pour entreprendre des travaux de réfection de la chaussée ce qui est du domaine du bailleur social. Hérault habitat a entrepris des travaux de réfection de la chaussée.

Avant

Travaux de réfection en cours.

Création d’un hameau en terre FRONTIGNANAISE

Il portera le nom " La Peyrade " Qui deviendra un quartier important de la ville.

 Cette histoire mémorable lapeyradoise a débuté depuis des lustres par la création primitive d’un gué (gaze) sur l’étang d’Ingril pour rejoindre le bord de mer ou le cap de Cette qui ne sont accessibles uniquement par le cordon littoral sablonneux ou par les étangs d’Ingril et de Thau.

Comment accéder depuis l’estang d’ingril à la mer ou au cap de Cette (depuis le lieu-dit lapeirade)

Jadis, les autochtones de la châtellenie de Frontignan pour accéder au Cap de Cette en ex-terre frontignanaise sont obligés de franchir un obstacle lagunaire longiligne l’étang d’Ingril* en barque. Au cours des siècles la configuration de la lagune se modifie dû à son envasement et à un rétrécissement de ses rives, ces évolutions faciliteront l’aménagement d’un gué** dans une zone relativement ferme qui permettra le passage piétonnier en fonction des fluctuations du niveau de l’eau.

Un trait en pointillé : Le gué ou gaze pour les troupeaux Gué** Vadum en latin

Deux traits ‘’ : un grau, ouvertures épisodiques reliant la mer à l’étang d’Ingril Gué ancestral ou gaze (croquis hypothétique)

Etang d’Ingril*. Evolution des noms donnés cet étang poissonneux au cours des siècles : Frontignan, Mourre Blanc, Aygues, Aigues, Grins, d’Engrins, d’Ingrin et du côté de Sète, étang des eaux Blanches.

Territoire : Frontignan a cédé à la ville de Sète une partie de l’étang d’Aigues dit « des eaux Blanches qui était la continuité de l’étang d’Ingril ».

Sous le règne de Louis XIV

Jean-Baptiste Colbert, le Chevalier de Clerville et Paul Riquet 

1663 et 1666 – Etudes et début de la création du port de CETTE voulu par Louis XIV pour la protection des galères royales et vaisseaux marchands etc. Constructions du canal du Midi 1666-1681 qui sera prolongé plus tard vers 1700 par le creusement du canal des étangs (du Rhône à Sète). Ces gigantesques travaux métamorphoseront la vie sociétale des gens, l’environnement maritime, lagunaire et terrestre. La cité médiévale de Frontignan perdra sa notoriété maritime, régressera économiquement et sera dépossédé d’une partie de son territoire en faveur de Sète qui deviendra un port attractif de commerce et de pêche dans le golfe du Lion avec des hauts et des bas. Après ce contre coup, Frontignan se revitalisera commercialement avec son noble Muscat et par la suite prospèrera avec son potentiel industriel.

6 Armoiries de Pierre Paul Riquet

Etang d’Ingril création d’une " chaussée de pierres " sur la DIGUE

(Creusement du canal du Rhône à Sète dans la partie entre La Peyrade et Frontignan.)

Le mécène Paul Riquet fit construire une jetée sur l’étang d’Ingril.

1670 et 1673 – Officialisation puis construction d’une digue pour les circulations des matériaux, de la main d’œuvre travaillant à la construction du port de Cette. Cette digue prend naissance depuis le bas de la pente de l’avenue du stade, franchissement du canal puis traverse l’étang par la digue jusqu’à l’avenue de la Méditerranée. Elle est rectiligne, constituée d’un terrassement avec des apports de rocs, caillasses, de terre granuleuse et argileuse. Des ponceaux faciliteront les circulations des eaux et de la navigation.

Cheminant depuis Frontignan pour se rendre au Cap de Cette

À travers les siècles les villageois du « Castellum Frontiniaco » passent par l’unique lourde porte vétuste San Marti (St Martin) située côté sud-ouest des remparts, franchissent le petit pont sur la douve fétide qui donne directement accès à la voie médiévale en piteux état des Airolles (aire de battage du blé). Les paysans se déplacent à pied, soit en tirant une carriole, à cheval, ou sur une charrette en cheminant à travers les lopins de vignes, tènements d’herbages proches de la chapelle ST Martin ou tinte exceptionnellement l’unique cloche jusqu’aux prés ou paissent quelques ovins et bovins.

Les villageois après avoir cheminé environ 3km depuis le château « Roquefiche » aboutissent enfin aux dernières métairies lapeyradoises qui sont limitrophes avec les berges du canal des étangs. Ensuite, ils sont contraints de transiter sur un bac pour traverser le canal puis ils empruntent et progressent sur la récente chaussée de pierres (pierade) pour enfin arriver jusqu’au cap de Cette situé à 4km.

Pour franchir le canal, il faut payer un octroi de traversée

Cette digue-chaussée (peirade) dans l’étang d’Ingril est l’unique lien d’accès pour les habitants du cru, des communes voisines et au-delà pour se rendre jusqu’ à la nouvelle ville attractive portuaire de Cette. Mais il faut franchir le canal où stationne un bac mis à disposition pour effectuer les traversées. Un batelier attitré encaisse un droit de passage pour rejoindre l’autre rive. (Il y a eu des polémiques sur ces paiements d’accès).

« Cette chaussée de pierres, les utilisateurs l’appelleront familièrement une peirade ».

	Académie française

Cette chaussée historique sera remplacée 77 ans plus tard vers 1750 par la construction d’une deuxième peirade situé plus à l’ouest où sera édifié le premier pont-canal routier sur le canal du Rhône à Sète qui facilitera les circulations. La première peirade sera délaissé et ne sera utilisée qu’occasionnellement pour faire des allers-retours jusqu’à la plage. Une partie de la plage de la Peyrade sera amputée par des blocs de rochers pour la protection de la voie ferrée. Enfin 205 ans plus tard, construction une troisième peirade (route RN) qui sera opérationnelle en 1955 etc.

Modifications des l’écritures: Suite aux réformes successives de l’orthographe de l’Académie française des XVIIIè et XIXè siècles la peirade s’écrira officiellement LA PEYRADE.

« Jules Ferry en 1881 rend illégitime les langues régionales et uniformise le Français ».

« Je passe par lapeirade » Année anniversaire 1673-2023 « Il y a 350 ans a débuté la construction de la première peirade»

Première chaussée de pierres jusqu’au lido sablonneux (reconstitution) « Nous ne disposons pas d’éléments sur la description réelle de cette peirade».

Nota dimensions en 2023 : largeur d’environ 10m, sa longueur de 200m, une buse assure le passage des eaux de l’étang, un sentier pédestre a été créé par des promeneurs. Plan actuel d’une partie sud de La Peyrade 2023 (chaussée historique).

(En rouge), le gué substitué en digue-chaussée dénommé une peirade - Sur la gauche la troisième peyrade actuelle.

Emergence d’un hameau atypique (créé par la population ouvrière)

Depuis fort longtemps les frontignanais ont bâti des bicoques, maisonnettes et mas qui sont disséminées sur le versant nord de l’étang d’Ingril proche du canal ou dans les vignobles, prairies et Hermes.

Avec la révolution ferroviaire en 1837 débute un grand chantier la construction d’une ligne ferroviaire entre Sète et Montpellier. Elle favorisera la centralisation de l’implantation de nouvelles habitations pour loger de nombreuses familles cheminotes et autres travailleurs qui résideront à demeure. De " bouche-à-oreille" vers les années 1840 ce lieu dit se nommera couramment la peirade, il portera le nom « hameau de La Peyrade ».

Ce hameau dynamique se développera en essayant de s’émanciper par 4 fois de la tutelle de Frontignan pour devenir une commune, mais aussi des prétentions d’annexion du territoire par la ville de Sète. (1906, dernière tentative initiée par des Lapeyradois réfractaires sous la mandature du maire de Frontignan HIPPOLYTE GACHON refusée).

Ce nom commun devient un nom propre La PEYRADE.

Le canal de liaison à l’entrée de la ville de Sète et une rue porteront le nom de La Peyrade. Un premier pont-canal dormant sera édifié au point de confluence entre les étangs d’Ingril et de Thau, une petite partie des délaissés de l’étang d’Ingril, ces lieux porteront aussi le nom La Peyrade.

Le pays était gouverné par une monarchie constitutionnelle.  1843 - Le roi des français Louis Philippe 1èr.

Le roi (caricature)

1843 -2023 : il y a 180 ans, naissait ce hameau aujourd’hui quartier de Frontignan. En 1843, la ville de Frontignan était administrait par le maire Marc Joseph Victoire Poulhe.

(Extrait de publication 1906)

« Cette chaussée de pierres construite dans l’étang d’Ingril doit faire partie des vestiges patrimoniaux de notre ville, nous devons signaler son emplacement avant que ce lieu historique symbolique ne disparaisse ».

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Michel Campestre/Alain Sanfilippo

Pierre Maire du Poset est parti de son Doubs natal, le 26 mars 2022, pour un tour de France, à pied, avec un retour prévu en mars 2023.

Entretemps, il aura parcouru plus de 6.000 km, traversé 52 départements, pour parler de sa maladie.

Conseiller en séjour en office de tourisme, puis coursier dans un laboratoire d’analyses médicales. Pierre lance l’association « Pierre à Pied » afin de parcourir, seul, la France, dans le but de sensibiliser la population aux différents types et degrés d’épilepsie.

Cliquez sur l'image pour agrandir

Ce samedi 11 février 2023, il a fait escale à Frontignan.

Le jeune homme de 31 ans, après 11 mois de voyage et d’ores et déjà plus de 5.000 km accomplis.

	Pierre Maire du Poset                     A.S

Son combat ? "Marcher pour faire connaître ma maladie : l’épilepsie", explique-t-il, à David Jardon, conseiller municipal délégué à la santé publique, venu l’attendre, accompagné de la presse locale, devant le panneau d’entrée de la ville de Frontignan la Peyrade avec en toile de fond le panneau d’accueil « Bienvenue à Frontignan capitale mondiale du muscat » et qui l’accompagnera à pied jusqu’au domicile de la personne chez qui il passera la nuit avant de repartir en direction de Montpellier le lendemain matin“

Diagnostiqué épileptique à l’âge de 5 ans, il s’estime "chanceux" par rapport aux 650.000 personnes touchées en France. Pierre Maire du Poset marche en moyenne 25 km par jour.

Parcourir le territoire, à pied, en une année est venue assez naturellement pour ce garçon issu d'une famille de voyageurs. "Ma grand-mère maternelle a fait Compostelle. Mon père a fait deux fois le tour de France à vélo. Alors, je crois que c'est dans les gènes", précise-t-il.

Chaque jour, Pierre prend la route aux environs de 9h du matin, avec son sac à dos de 15kg, vers sa prochaine étape, sa prochaine halte ou il passera la nuit, 65 % se passent chez l'habitant.

L'épilepsie est "la deuxième maladie neurologique la plus répandue, juste après la migraine".

« Combattre les idées reçues sur cette maladie peu connue avec 50 syndromes différents. Les crises peuvent être très impressionnantes (convulsions, absences, paralysies...) En ce qui me concerne, l'épilepsie se traduit par "des vertiges et des frissons. » Il reste, aujourd’hui encore, sous traitement.

Avec des amis, il a créé l’association « Pierre à pied » afin de l’aider à financer son voyage. Les dons récoltés servent à couvrir les besoins de Pierre (manger, dormir, visiter) et à parer aux éventuels imprévus rencontrés sur sa route (chaussures usées…).

Une fois, le périple achevé, la cagnotte restante sera reversée à l'association Epilepsie France

"PIERRE A PIED" - https://linktr.ee/pierreapied

En lutte contre la réforme régressive des retraites, les syndiqué-es CGT Territoriaux du Bassin du Thau ont apposé une banderole sur le pont de Mereville, à Frontignan, au-dessus de la RD600.

	Pierre Maire du Poset                         DR

Pierre Maire du Poset a entamé le 26 mars dernier un tour de France à pied avec l’objectif de sensibiliser les populations aux différents types et degrés d’épilepsie.

A la fin de son périple il aura parcouru 6 000 kilomètres et traversé 52 départements.

Ce samedi 11 février, il fera escale à Frontignan.

Il sera accueilli à 11h, devant le panneau d’entrée de ville de La Peyrade, notamment, par David Jardon, conseiller municipal délégué à la santé publique qui l’accompagnera à pied jusqu’au domicile de la personne chez qui il passera la nuit avant de repartir en direction de Montpellier le lendemain matin.

Après un premier rendez-vous littéraire autour de la 26e édition du FIRN (balade littéraire pédestre et nuit de la peur le 21 janvier), la Ville vous propose un concert du collectif Viaggio, au sein de la chapelle Saint-Jacques. Un évènement gratuit, dans la continuité de sa politique culturelle, partout et pour tous !

Ce spectacle présente l’histoire de l’immigration d’un Italien, qui au début des années 1900 quitte son île natale, Ischia du golfe de Naples, pour émigrer à New-York.

‘La Strada Nonno’ est un spectacle musical interprété par un quartet de jazz, avec Georges D’Acunto, (batterie et compositeur), Jérôme DUFOUR (saxophone ténor et arrangements), Bernard VIDAL (guitare et arrangements), Pierre AYRAL (basse et arrangements)..

En pratique

• Durée  1h15
• Vendredi 10 février – 20h30
• Chapelle Saint-Jacques, Avenue Frédéric-Mistral, Frontignan la Peyrade
• Tout public – Gratuit – Dès 10 ans
• Réservation : 04 67 18 54 92

	Un demi vaisselier pour une moitié de boite à lire

En forme d'alvéole, de grande armoire, ou nichées dans d’anciens frigos, pour certaines dans dans d'anciennes cabines téléphoniques… Les boîtes à lire fleurissent à travers le pays.

A Frontignan la Peyrade, la dernière en date a pris place contre le mur intérieur du préau de la maison des seniors Vincent Giner, rue Anatole France, une curiosité que cette boîte à lire car il s’agit d’un ancien vaisselier qui autrefois était relégué aux intérieurs campagnards et aux pièces volumineuses, le vaisselier, meuble fonctionnel par excellence pour y recevoir quelques ouvrages.

Le principe d’une boite à lire : prolonger la vie des livres, susciter le goût de la lecture, partager ses coups de cœur et créer du lien social. On y prend un, deux ou plusieurs livres, et on en dépose, ou pas.

Comme les abeilles, on butine.

Mais c’était sans compter sur la bêtise humaine qui caractérise certains d’entre nous, car non seulement le fait d’avoir emprunté définitivement quelques livres c’est la moitié du vaisselier qui est parti au grand dam de Mme Chantal Carrion, conseillère municipale et vice-présidente du CCAS à l’initiative du projet.

« Animée par le désir d’installer une boite à lire sur l’espace Giner, suite à un don, un petit buffet vaisselier retro faisait l’affaire, dès le lendemain le haut du meuble a été kidnappé par une personne mal intentionnée. Nous voici donc désormais avec une moitié de boite à lire » fulmine la Vice- Présidente du CCAS

Cette année encore, Frontignan la Peyrade va pouvoir afficher 5 arobases en entrée de ville.

En effet, jeudi 2 février, à l’occasion de la 24e cérémonie de remise du Label National Territoires, Villes et Villages Internet, la Ville, représentée par Nancy Subitani, conseillère municipale déléguée au numérique pour tous, a été labellisée, pour la cinquième année consécutive, de 5 arobases.

Cette année, et malgré les perturbations informatiques dues à la cyber-attaque dont a fait l’objet la mairie dans la nuit du mercredi 26 au jeudi 27 octobre, ce sont plus de 25 nouvelles actions qui ont été versées au dossier de participation au label (amélioration et développement de la communication web et réseaux, suivi de travaux, nouveau parc informatique dans les écoles, développement de la communication web et réseaux, développement d’un réseau de nez, diffusion en direct des cérémonies républicaines sur Facebook…).

Membre du réseau Villes Internet, depuis 1999, le label Villes et Villages Internet aux collectivités de toutes tailles qui mettent en œuvre une politique significative en matière de démocratisation des technologies de l’information et de la communication (TIC) et de leurs usages citoyens (accès publics, mise en réseau des acteurs, services aux habitants, usages internes, administration électronique, information des habitants, débat…).

Ce Label (symbolisé par un panneau de 1 à 5 arobases) permet à la collectivité locale, quelle que soit sa taille, d’évaluer, de montrer et de faire reconnaître la mise en œuvre d’un Internet local citoyen à la disposition de chacun dans l’intérêt général. Cette année, 257 collectivités ont été labellisées pour la qualité et l’exemplarité de leurs politiques numériques.

« La Ville est fière de voir récompenser ses initiatives innovantes et citoyennes qui contribuent à la réduction de la fracture numérique en permettant au plus grand nombre d’accéder à des services en ligne et de se faire accompagner dans leurs démarches. » Nancy Subitani, conseillère municipal déléguée au numérique pour tous

Après Zazie qui viendra chanter au Théâtre de la Mer de Sète le 10 juillet prochain, c’est au tour de Christophe Willem d’annoncer sa venue pour un concert exceptionnel au profit de l’Association sétoise Astrid MRC P I le 11 juillet 2023 à 21h00 au Théâtre de la Mer de SETE

L’Association Astrid MRCPI œuvre quotidiennement depuis plus de 10 ans pour les enfants hospitalisés au CHU de Montpellier et qui lutte, depuis sa création, contre les maladies rares cardio - pulmonaire s infantiles . ( www.astrid - mrcpi.com ).

Après 5 années d’absence, 2023 signe le grand retour de Christophe Willem sur scène ! Avec ‘PS : Je t’aime’, il dévoile le premier extrait de PANORAMA, son tout nouvel album déjà très attendu. Un opus dans lequel l’artiste couche ses vérités . La scène, c’est l’occasion de donner vie à cet album et également de rejouer ses plus grands titres . C’est aussi une invitation à le redécouvrir sous toutes ses facettes, sans aucun filtre .​

Ouverture des ventes : VENDREDI 27 JANVIER 2023 à 10h00 sur l’ensemble des réseaux de billetterie et à l’Office de Tourisme de Sète .

Informations et réservations : 03 85 41 50 04 et www.d2p.fr

Renseignements : Association Astrid MRCPI

• Laurent Gasc – 06 15 17 84 88 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
• Xavier Giner – 06 14 88 10 91 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
• http://www.astrid - mrcpi.com et sur Facebook
• Tarif unique : 50 ,00 euros
• Tarif réduit pour les moins de 12 ans et les chômeurs : 40 ,00 euros – dans la limite des places disponible à ce tarif 

Dans le cadre de ses engagements écologiques et durables, dix bacs à marée sont actuellement installés par les services communaux pour récolter les déchets abandonnés et échoués sur les plages.

Les nombreux marcheurs qui collectent, au gré de leurs promenades sur la plage, les déchets laissés sur le sable : verres, plastiques, emballages, cordages, métal, caoutchouc, etc. pourront, dès février, les déposer dans l’un des dix bacs à marée, installés par la Ville. Des bacs collecteurs réalisés en trois parties, chacune étant destinée à recevoir, différents types de déchets

Présents sur les plages, aux portes 5, 8, 11, 14, 16, 19, 23, 26 et 31 ces bacs seront présents durant toute la période hivernale.

Le principal objectif de ce dispositif est d’impliquer et inciter les usagers de la plage à entreprendre une démarche responsable sur les sites qu’ils fréquentent, pour qu’ils deviennent des acteurs avertis de la préservation du littoral et de la protection de l’environnement marin. Ils ne remplacent pas mais complètent l’action de ramassage régulier et raisonné effectué par la collectivité. Cette initiative s’inscrit dans le cadre des engagements de la charte “Plages sans déchet plastique“ pour des communes littorales éco-exemplaires en leur permettant de s’engager pour la préservation de leurs plages « Il est primordial de préserver le littoral au bénéfice de ses habitants et de ses usagers. » Jean-Louis Molto, adjoint délégué aux espaces portuaires et balnéaires

S’il permet de nettoyer et de dépolluer les plages, ce dispositif permet aussi de mieux connaître l’origine des déchets apportés par la mer et de pouvoir agir pour en diminuer le nombre.