Enfants, ados et adultes, nous sommes tous concernés!
Depuis le développement de l’internet et des réseaux sociaux, ces nouvelles formes d’atteintes ont émergé. Sandrine PAILHORIES répondra à vos interrogations et vous apportera des conseils pour réagir face à ces attaques et repérer les mécanismes des cyber-violences et du cyberharcèlement subis aussi par les plus jeunes.
Réservation au 04 99 57 21 74 SAMEDI 12 MARS - 10H Médiathèque Stéphane Hessel
Le Conseil de Développement de Sète Agglopôle Méditerranée a organisé un débat citoyen auto-porté sur la question "Que faut-il faire pour que chacun ait un accès digne à une alimentation suffisante et de qualité".
Cet événement s'inscrivait dans une démarche citoyenne pour nourrir l'enquête nationale lancée par Le Conseil National de l'Alimentation et relayée vers les territoires par la Coordination Nationale des Conseils de Développement dont le Codev de la SAM est un membre actif.
Ce débat a eu lieu jeudi 3 mars 2022 à la Salle du Temps Libre du Taurus à Mèze (34).
La salle a été mise à disposition par la commune de Mèze où le maire Monsieur Baeza nous particulièrement bien accueilli.
Vous étiez une quarantaine de citoyens concernés et nous vous sommes très reconnaissants de cette présence attentive et impliquée.
La soirée a été animée et guidée par Anne avec Brigitte (Codev de Sète agglopôle Méditerranée), Pauline (Territoires à vivreS de Montpellier), Mundhi et Anne-Lise (Cpie Bassin de Thau), Fabien (Syndicat Mixte du bassin du Thau), Sandrine et Hélène (CCAS de la ville de Sète) et Anne-Sophie que je remercie de leur soutien.
La parole partagée dans un esprit bienveillant et constructif, autour de tables rondes de 6 à 8 personnes, a permis de faire émerger une foultitude d'idées, de propositions ou de préconisations.
« Que faut-il faire pour que chacun ait un accès digne à une alimentation suffisante et de qualité » Réfléchir autrementMettre l’accent sur le vertical inversé « de bas en haut » et sur le transversal « ensemble vers » Thau, vers un territoire d’expérimentation 1 / EDUCATION (vers un Accès digne) Dès le plus jeune âge, proposons un programme d’éducation alimentaire porté par les acteurs partenaires (CPIE, Plan Alimentaire Territorial) pour la rentrée de septembre : Connaître, comprendre, goûter La terre/ l’eau / les semences La culture/ les saisons/ les variétés Le local/ le frais/ le cru Les autres sources : la poissons, les fruits de mer, les algues, les graines germées, les sauvages La santé, la qualité nutritionnelle, l’assiette équilibrée, la composition ; autres protéines ; autres sucres/sels Le gaspillage, les déchets, l’aspect, la gourmandise du regard La provenance, la conservation, le transport, l’emballage, le stockage
2 / AUTONOMIE (vers un Accès digne) - Former Jardinage, pêche, cuisine Goûter, sentir, apprendre - Participer cultiver, produire, distribuer, transformer, livrer Pêcher, trier, nettoyer, entretenir - Accompagner transversalité, personnalisation des aides, intervenir à domicile (cuisiner avec et pour, relier) Bénéficiaires Bénévoles = recevoir et donner = échanges de services Créer du lien, développer de nouvelles compétences, une estime de soi, s’inscrire dans la durée 3/ CULTIVER PROCHE et A PROXIMITE (vers la Qualité) L’agriculture Rapprocher la production de la ville Encourager l’installation= mieux rémunérer, permettre la création de locaux, bâtiments dédiés Préserver récupérer des terres, pré-empter, sanctuariser, répertorier et utiliser les friches agricoles Imposer un cahier des charges qualité : bio, label, circuits courts, vente directe Organiser des chantiers participatifs culture, récolte, entretien (insertion par le maraîchage) Autoriser le glanage, cueillette encadrée Adapter les cultures aux changements climatiques Utiliser mieux les ressources de la nature sauvage (cueillir et transformer ce que la nature nous offre)
La commune Créer une régie agricole Salarier des jardiniers nourriciers Cultiver partout : les ronds-points, les jardins publics, les espaces verts Mettre à dispositions les terrains communaux pour Fournir les cuisines (des cantines, hôpitaux, centres de loisir) pour les ayant faim Remplacer les arbres morts des parcs et jardins publics par des fruitiers Végétaliser les devants de portes des centres villes avec des jardinières aromatiques (Ex. : Vic-la-Gardiole) 4/ Un LIEU pour du LIEN Structure d’information, de coordination N° d’appel unique et lieu dédié « MAISON À VIVRES » sur le territoire Crée du lien : débat, forum, rencontres Rassembler les infos (initiatives privées, dons spontanés, besoins nouveaux,..) Mutualiser les compétences : fichiers, ressources, santé
Avec Solutions participatives Foyer restaurant, cantine sociale Cuisine atelier Jardins solidaires Potagers partagés : lieu de vie et d’échange, communiquer, comprendre, aider, participer, utiliser, ramasser… Structures d’autonomisation alimentaire (accompagnement personnalisé). Ex. : Food Lab à Marseillan (34) mis en place par le conseil citoyen et une élue. 5/ DES SOLUTIONS INNOVANTES Gouvernance engagée solidaire - Vers une sécurité sociale de l’alimentation (ponction sur revenus, capital, salaires) sanctuariser une partie de budget
- Augmentation du salaire minimum - Réduction de la TVA sur les produits frais locaux bio - Augmentation de la TVA sur sucré, congelé et transformé - Carte de bons d’achats pour les bénéficiaires (dignité), à utiliser auprès des producteurs locaux plutôt que des colis sociaux Imaginer
- Impliquer la restauration traditionnelle dans la ré-utilisation des denrées invendues pour une revalorisation vers les plus précaires
- Utiliser les installations des cuisines des collectivités, le soir, les week-ends et /ou pendant les vacances scolaires
- Faire entrer les plus démunis dans les écoles et les EPHAD pour échanger des services (cuisine, histoire, écriture, lecture, jeux, animations).
Créer
- des Potagers Partagés avec tirage au sort pour attribuer les parcelles (égalité des chances)
- des Épiceries mixtes (différents prix selon les revenus)
- une Ferme/un poulailler « social » = donner les invendus, les bio-déchets alimentaires ou les surplus de fin de saison aux animaux (œufs, viande, poisson)
“La femme est l’avenir de l’homme”. C’est par ce vers du poète Aragon, et repris dans la chanson du même titre de Jean Ferrat, que s’est ouverte la conférence intitulée “Les femmes dans l’histoire de Sète”, organisée par la Société d’études scientifiques de Sète et sa région, à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes célébrée mardi 8 mars 2022.
En présence de François Commeinhes et de Myriam Reynaud, conseillère municipale en charge de la condition féminine qui, dans leurs discours, ont tenu à rendre hommage aux femmes qui n’ont cessé de façonner l’histoire de Sète depuis sa création.
Devant un public venu en nombre, Gustave Brugidou, président de la société d’études historiques, et Michel Ségura sont revenus sur l’histoire de la condition de la femme à travers les âges, en convoquant de grandes figures, d’Olympe de Gouges (à qui l’on doit la Déclaration des droits de la femme), à Simone Veil.
Si les femmes dans leur globalité étaient au centre de cette conférence, les Sétoises étaient les plus représentées. En effet, femmes de pêcheurs, commerçantes, mères de famille, nombreuses sont les femmes de l’île singulière à avoir marqué leur époque. Une vidéo était également projetée pour mettre à l’honneur le témoignage de Simone Clavier, centenaire sétoise. Une femme affable qui, en un siècle d’existence, a pu vivre l’évolution de la condition féminine. Dans ce message, elle exhorte les femmes “à prendre les commandes du monde et étant fières d’être des femmes.”
Dans le cadre de la Journée internationale des droits des Femmes, la ville et la Société d’Études Historiques & Scientifiques de Sète organisent ce soir, à 18h30 à la salle Tarbouriech une conférence sur le thème « les femmes dans l’histoire de Sète », animée par Gustave Brugidou, Christian Lagarde et Michel Ségura.
Des femmes célèbres aux travailleuses de l’ombre, cette soirée mettra à l’honneur les Sétoises dans leur diversité et leur singularité. Des parcours féminins aussi étonnants que passionnants, qui jalonnent l’histoire de la ville de Sète.
La Polyclinique Sainte Thérèse, au côté des représentants du Centre Régional de Coordination des Dépistages des Cancers, de la CPTS, la Ligue contre le cancer, l’Assurance maladie et L’ASSOS, organisait, ce 4 mars une journée dédiée à la sensibilisation au dépistage et la prévention du cancer colorectal. Il s’agissait d’une journée libre d’accès et gratuite, destinée au grand public mais également aux professionnels de santé. Le cancer colorectal, ou cancer du côlon-rectum, touche chaque année près de 45 000 personnes en France. Le cancer colorectal est le 2ème cancer meurtrier de France. Il est responsable de près de 18 000 décès par an. Pourtant, s'il est détecté tôt, le cancer colorectal se guérit dans 9 cas sur 10.
Dépister ce cancer est désormais plus facile grâce au test immunologique. Ce test rapide et efficace, est à faire chez soi. Il s’adresse aux femmes et aux hommes, âgés de 50 à 74 ans, invités tous les 2 ans à parler du dépistage du cancer colorectal avec leur médecin. Ce dernier vérifie si son patient ne présente pas de risque particulier nécessitant un suivi adapté, puis lui remet le test de dépistage à faire chez soi.
Malheureusement, le taux de participation aux actions de dépistage atteint à peine 30 % de la population à risque (hommes et femmes de plus de 50 ans) ciblée par les actions de santé publique.
C’est la raison pour laquelle la Polyclinique Sainte Thérèse se mobilisait en participant à MARS BLEU.
MARS BLEU est le mois de la mobilisation contre le cancer colorectal, piloté par le Ministère de la santé et l’Institut national du cancer. L'opération vise à sensibiliser la population et les professionnels de santé à l’importance du dépistage. Mars bleu a pour principaux objectifs de : - Rappeler l'enjeu et faire la pédagogie de ce dépistage à la fois simple d'usage et vital ; - Poursuivre la mobilisation des acteurs (population cible et médecins généralistes) ; - Poursuivre la communication sur les niveaux de risque, notamment vers les médecins.
Une bien belle initiative de la clinique Ste Thérèse pour cette journée de sensibilisation. De nombreuses rencontres et des échanges sur la prévention et le dépistage avec de nombreux professionnels comme le Dr Marine Guy, médecin responsable du Centre Régional de Coordination des Dépistages desCancers CRCDC.
Lors de cette journée :
Vous pouviez vous renseigner auprès de 4 stands :
Le Centre Régional de Coordination des Dépistages des Cancers en Occitanie (CRCDC) : importance et moyens actuels de prévention et de dépistage
La Ligue contre le cancer 34 : animation autour du vélo smoothie, sur la sensibilisation à l’activité physique dans la prévention des cancers
L’ASSOS : Association de Soins de Support Oncologiques de Thau
La Communauté Professionnelle Territoriale de Santé du bassin de Thau : implication des professionnels de santé sur le territoire
Rencontrer un médecin de santé publique qui était en capacité de vous remettre un test de dépistage à faire chez soi (gratuit et sans rendez-vous)
Assister à des conférences à partir de 14 heures :
Dr Marine GUY, Médecin de santé publique au CRCDC : Epidémiologie du Cancer Colo Rectal en France et en Occitanie / Bénéfices du dépistage Mme Marie-Amélie PACHECO, Diététicienne Prévention : impact de l’alimentation Dr Olivier LAUCHE, Médecin oncologue Prévention :Impact du sport Dr Réda BOUDIAF, Médecin gastro-entérologue : Techniques de dépistage : Tests immunologiques / coloscopie / coloscanner Dr Eric BOULAY, Chirurgien viscéral et digestif : Traitement du cancer Colo-Rectal : Endoscopie / Chirurgie / Chimiothérapie & Radiothérapie / Traitement d’avenir
Comme annoncé dans Thau Infos, le débat organisé par le Conseil de développement de SAM sur proposition de la Coordination Nationale des Conseils de Développement et dans le cadre de l'étude du Conseil National de l'Alimentation (CNA) a bien eu lieu, à Mèze, à la salle du temps libre, au Taurus. Thierry Baëza, maire de la ville, a ouvert la séance de travail d'une quarantaine de personnes très impliquées dans la problématique proposée. Si le conflit Russo-Ukrainien rajoute des interrogations à une situation préoccupante sur un sujet très politique : la précarité alimentaire. La solidarité réciproque n'est plus ce qu'elle était et il est grand temps de s'interroger et surtout d'agir. Les colères et propos amers doivent laisser place aux élans généreux et aux idées à travers une parole libre !
Thierry Baëza, maire de la ville de Mèze et Anne Majourel, vice-présidente du Conseil de développement ouvrent la soirée
Dans un premier temps, Anne, Brigitte, Pauline, Sandrine, Hélène, Bruno ont effectué le bilan des actions menées sur le département et Sète en particulier… Après le teaser du film "La part des autres" s'en est suivi un débat en "tables réactives" animé par Mundhi-Ling (CPIE) et Fabien (SMBT). Bilans et propositions, suggestions et préoccupations émergentes remonteront au niveau national avant le 11 mars.
Un regard qui dit tout et qui doit nous interroger…
Le rôle des bénévoles est primordial et mérite le respect…
La Polyclinique Sainte Thérèse, au côté des représentants du Centre Régional de Coordination des Dépistages des Cancers, de la CPTS, la Ligue contre le cancer, l’Assurance maladie et L’ASSOS, organisait, ce 4 mars une journée dédiée à la sensibilisation au dépistage et la prévention du cancer colorectal. Il s’agissait d’une journée libre d’accès et gratuite, destinée au grand public mais également aux professionnels de santé. Le cancer colorectal, ou cancer du côlon-rectum, touche chaque année près de 45 000 personnes en France. Le cancer colorectal est le 2ème cancer meurtrier de France. Il est responsable de près de 18 000 décès par an. Pourtant, s'il est détecté tôt, le cancer colorectal se guérit dans 9 cas sur 10.
Dépister ce cancer est désormais plus facile grâce au test immunologique. Ce test rapide et efficace, est à faire chez soi. Il s’adresse aux femmes et aux hommes, âgés de 50 à 74 ans, invités tous les 2 ans à parler du dépistage du cancer colorectal avec leur médecin. Ce dernier vérifie si son patient ne présente pas de risque particulier nécessitant un suivi adapté, puis lui remet le test de dépistage à faire chez soi.
Malheureusement, le taux de participation aux actions de dépistage atteint à peine 30 % de la population à risque (hommes et femmes de plus de 50 ans) ciblée par les actions de santé publique.
C’est la raison pour laquelle la Polyclinique Sainte Thérèse se mobilisait en participant à MARS BLEU.
MARS BLEU est le mois de la mobilisation contre le cancer colorectal, piloté par le Ministère de la santé et l’Institut national du cancer. L'opération vise à sensibiliser la population et les professionnels de santé à l’importance du dépistage. Mars bleu a pour principaux objectifs de : - Rappeler l'enjeu et faire la pédagogie de ce dépistage à la fois simple d'usage et vital ; - Poursuivre la mobilisation des acteurs (population cible et médecins généralistes) ; - Poursuivre la communication sur les niveaux de risque, notamment vers les médecins.
Une bien belle initiative de la clinique Ste Thérèse pour cette journée de sensibilisation. De nombreuses rencontres et des échanges sur la prévention et le dépistage avec de nombreux professionnels comme le Dr Marine Guy, médecin responsable du Centre Régional de Coordination des Dépistages desCancers CRCDC.
Lors de cette journée :
Vous pouviez vous renseigner auprès de 4 stands :
Le Centre Régional de Coordination des Dépistages des Cancers en Occitanie (CRCDC) : importance et moyens actuels de prévention et de dépistage
La Ligue contre le cancer 34 : animation autour du vélo smoothie, sur la sensibilisation à l’activité physique dans la prévention des cancers
L’ASSOS : Association de Soins de Support Oncologiques de Thau
La Communauté Professionnelle Territoriale de Santé du bassin de Thau : implication des professionnels de santé sur le territoire
Rencontrer un médecin de santé publique qui était en capacité de vous remettre un test de dépistage à faire chez soi (gratuit et sans rendez-vous)
Assister à des conférences à partir de 14 heures :
Dr Marine GUY, Médecin de santé publique au CRCDC : Epidémiologie du Cancer Colo Rectal en France et en Occitanie / Bénéfices du dépistage Mme Marie-Amélie PACHECO, Diététicienne Prévention : impact de l’alimentation Dr Olivier LAUCHE, Médecin oncologue Prévention :Impact du sport Dr Réda BOUDIAF, Médecin gastro-entérologue : Techniques de dépistage : Tests immunologiques / coloscopie / coloscanner Dr Eric BOULAY, Chirurgien viscéral et digestif : Traitement du cancer Colo-Rectal : Endoscopie / Chirurgie / Chimiothérapie & Radiothérapie / Traitement d’avenir
« Que faut-il faire pour que chaque personne ait un accès digne
à une alimentation suffisante et de qualité ? »
Un débat organisé par le Conseil de développement du Sète Agglopole Méditerranée
sur proposition de la Coordination Nationale des Conseils de Développement
Dans le cadre de l’étude menée par le Conseil National de l’Alimentation
Co-animé par Anne Majourel et Brigitte Bellego
Le programme
A 18 h : Ouverture, Présentation
- Par Anne Majourel VP du Conseil de Développement
Avec Thierry BAESA maire de Mèze
Puis introduction avec Brigitte Bellego (membre du Conseil de Développement, coach, sophrologue) Le Conseil National de l’Alimentation c’est quoi ? Pourquoi ce débat ?
Pour Parler d’un sujet fondamental et sociétal, une préoccupation majeure et d’actualité
A 18 h 20
De quoi parle-t-on ? par Pauline Scherrer (Territoire à vivre et projet SOLACI)
Qu’est-ce que la Précarité Alimentaire ?
Bien manger : qu’est ce que ça implique et combien ça coute
18h30
Illustration film « La part des autres »
18h35
Notre territoire est-il touché ? avec Sandrine Clair ou Hélène Gauthrin (CCAS de SETE)
Situation actuelle, état des lieux, sur la ville de SETE
Chiffres, situation, Actions déjà menées ou en cours de réalisation, volontés affichées difficultés, contraintes, limites, obstacles
18h45
Débat en « Tables créatives » de 50 à 60 mn
avec un état d’esprit : participatif et constructif
sans jugement / seulement des constats
sans propos amers/ seulement des élans généreux
sans politique, sans récupération / seulement une parole libre
sans colère / avec seulement des idées et des rêves
pour 3 ou 4 préconisations, recommandations, propositions, et suggestions pour chaque table récréative
qui remonteront à la CN des Conseils de Développement et au CNA avant le 11 mars
Débat
19h45
Retour en plénière
- Un citoyen afficheur de chaque groupe viendra énoncer et afficher sur un panneau mural les 3 ou 4 suggestions/idées/préoccupations émergentes de son groupe
La Nouvelle Librairie Sétoise et le collectif Bancs Publics qui se bat contre la construction d'un parking sous-terrain place Aristide Briand vous invitent à une rencontre avec la philosophe Joëlle Zask.
Joëlle Zask s’intéresse aux conditions d’une culture démocratique partagée. Ses réflexions l’amènent à plonger dans des domaines aussi différents que ceux de l’éducation, l’agriculture, l’économie, l’art, les politiques publiques et bien sûr l’écologie !
Elle est l’auteure de plusieurs ouvrages, dont La Démocratie aux champs (La Découverte, 2016) et, aux éditions Premier Parallèle, Quand la forêt brûle (2019) - prix Pétrarque 2020 - et Zoocities (2020).
En écho à la lutte pour la préservation de la place Aristide Briand et à une ville partagée pour ses habitants, LES PARTICIPANTS à la rencontre s'intéresseront plus particulièrement à son ouvrage qui vient de paraître en poche qui interroge la façon dont nos places publiques sont le reflet de nos démocraties !
Se réunir. Du rôle des places dans la cité, éditions Premier Parallèle
On connaît les places léguées par Jules César, Louis XIV, NapoléonIII, Hitler, Staline ou Mao Zedong. Royales, impériales,nationalistes ou fascistes, elles jalonnent encore aujourd’hui nos villes et nos villages. Mais pourquoi les démocrates n’ont-ils pas, eux aussi, réfléchi au rôle politique des places ? D’où vient cette lacune ? Quelle est la nature de l’inconscient politique qui nous les rend invisibles ? Et comment y remédier, l’heure où la démocratie a plus que jamais besoin d’être re vitalisée ? Joëlle Zask enquête sur les conditions matérielles qui rendent l’exercice de la démocratie possible. Car « en démocratie, plus on se réunit, plus grandes sont nos libertés,plus les institutions qui nous protègent sont fortes »
> Près d’une douzaine de projets ont été pris en charge depuis le lancement de la plateforme d'innovation territoriale collaborative BlueThauLab par le SMBT et ses partenaires. D'autres ont été rapidement repérés depuis. Rappelons que sa vocation est de favoriser l'émergence des projets en faveur de la protection littorale et environnementale en accompagnant et coordonnant l’expérimentation et le déploiement de produits-services-systèmes, éprouvés à l’échelle du bassin de Thau, en tant que laboratoire à ciel ouvert…
Des acteurs clés, d’ici et d’ailleurs, vous parlent de protection littorale, d'émergence de projets, de produits-services-systèmes, d’expérimentations en cours sur le bassin de Thau....
La conférence proposée ce mercredi 9 février par le Comité Local d’Ethique (CLE) des Hôpitaux du BASSIN DE THAU a été très appréciée par l’ensemble des participants
Plus de 50 personnes ont pu entendre le Pr Jacques BRINGER, président de l’Espace Ethique Occitanie sur la thématique de l’Ethique appliquée aux pratiques de soin. Il a notamment insisté sur l’importance de toujours penser ce que l’on fait et aux conséquences sur l’autre et pas uniquement de penser à ce que l’on fait.
Il a rappelé les grands principes et les dilemmes du questionnement éthique dans le double contexte actuel de développement des innovations et notamment de l’intelligence artificielle et de cette épidémie de covid qui a bouleversé les repères des professionnels, des patients, des familles...
Le Dr TOUREN HAMONET, Présidente du CLE a insisté sur l’importance de la collégialité préalable à la prise de décision avec le souci de toujours préserver la personne humaine en respectant au maximum son autonomie.
Mars bleu a pour principaux objectifs de :
