Ce livre propose un nouveau prisme, un nouveau modèle métaphysique, pour mieux appréhender (et mieux s'armer contre) tout ce qui nous arrive : changement climatique, covid, triomphe mortifère de l'idéologie libérale, Poutine, dictature de l'informatique et des réseaux sociaux qui prennent la main sur nos pensées, relativisme généralisé empêchant de discerner le vrai du faux, régression sans précédent de la mixité sociale pourtant au cœur de la cohésion sociétale, montée corrélative des racismes, de tous les intersectionnels et autres communautaristes, au détriment d'une vision universelle, égoïsme exacerbé des Etats, déteignant sur les individus. Décidément, sale temps pour l'humanité !

"Le rôle de la philosophie, capital, n'est-il pas désormais, de nous alerter sans relâche, contre toute théorie globalisante de l'humain, sans pour autant entraver la créativité pour en produire sans cesse de nouvelles ? N'a-t 'on pas là la clef de la maîtrise de tous ces défis qui s'offrent à l'humanité ?" Précise José Cohen Aknine

https://www.editions-harmattan.fr/livre_les_enclaves_de_conscience_s_l_ostracisme_unique_mode_de_fonctionnement_de_la_conscience_jose_cohen_aknine-9782140255489-72974.html

 Café littéraire  ce 22 mars 2022 à 18h à la Médiathèque F. Mitterrand à Sète avec Tino Di Martino qui recevait le romancier Serge Joncour pour son dernier roman "NATURE HUMAINE" publié aux éditions Flammarion (Prix Fémina)

Dans ce roman :

"La France est noyée sous une tempête diluvienne qui lui donne des airs, en ce dernier jour de 1999, de fin de monde. Alexandre, reclus dans sa ferme du Lot où il a grandi avec ses trois soeurs, semble redouter davantage l'arrivée des gendarmes. Seul dans la nuit noire, il va revivre la fin d'un autre monde, les derniers jours de cette vie paysanne et en retrait qui lui paraissait immuable enfant. Entre l'homme et la nature, la relation n'a cessé de se tendre. A qui la faute ?"

Un grand roman de la "nature humaine", où Serge Joncour orchestre presque trente ans d'histoire nationale où se répondent jusqu'au vertige les progrès, les luttes, la vie politique et les catastrophes successives qui ont jalonné la fin du 20ème siècle, percutant de plein fouet une famille Française. En offrant à notre monde contemporain la radiographie complexe de son enfance,, il nous instruit magnifiquement sur notre humanité en péril.A moins que la nature ne vienne reprendre certains de ses droits...

 Serge Joncour est l'auteur d'une douzaine de livres, parmi lesquels UV(le dilettante, prix France Télévisions 2003), et, aux Editions Flammarion, L'Idole 2005, Combien de fois je t'aime 2008, L'amour sans le faire 2012, L'Ecrivain National (prix des Deux Magots 2014), Repose toi sur moi (prix Interallié 2016), et Chien-Loup (Prix du Roman d'Ecologie, prix Landerneau 2018).

Le café littéraire, dirigé par Tino Di Martino, a organisé une rencontre à la médiathèque Mitterrand, entre les Sétois et Patrick de Carolis, écrivain, ancien patron de France Télévision et maire de la ville d’Arles.  Il présentait, jeudi 24 février, accompagné de Carol-Ann De Carolis, son épouse, leur roman écrit à quatre mains. Intitulée Bianca, l’âme damnée des Médicis, cette œuvre revient sur le destin de Francesco Ier de Médicis et Bianca Cappello.

Unis par le mariage en juin 1578, le grand-duc de Toscane François Ier de Médicis épouse Bianca Cappello, son amour de jeunesse et sa maîtresse. Un outrage pour sa famille, opposée à cette union allant à l’encontre de l’ordre établi. Le roman des époux De Carolis plonge le lecteur dans l’univers des riches familles florentines et vénitiennes, où l’hubris et les vendettas entre richissimes familles sont de mise.