Consultez sur le site Onisep les Journées Portes Ouvertes 2020/2021 dans l'enseignement secondaire

Avec les nouvelles mesures mises en place vendredi par le ministère de l'Education, les enseignants ne sont plus considérés systématiquement comme cas contact et il n'y a pas de fermeture automatique de la classe en cas de contamination d'un élève au variant détecté au Royaume-Uni.
"Un jour, vous êtes cas contact. Le lendemain, vous ne l'êtes plus. C'est extrêmement compliqué de suivre", explique à franceinfo Gilles Langlois, secrétaire national du syndicat des enseignants SE-Unsa. Le ministère de l'Education nationale a modifié, vendredi 12 février, le protocole sanitaire en vigueur................................................................................
A la rentrée 2020, l’obligation de formation a donc été prolongée de 16 à 18 ans. Dans le cadre du plan « 1 jeune, 1 solution », le gouvernement a mis en place, depuis le 14 janvier 2021, un numéro vert national d’accompagnement : le 0 800 122 500.
L’objectif est d’orienter les jeunes et de répondre aux interrogations des familles. Le service est accessible gratuitement du lundi au vendredi, de 9 h à 11 h 30 et de 14 h à 17 h. Au bout du fil, des conseillers évaluent la situation, puis guident les jeunes vers des acteurs régionaux pour trouver des solutions d’accompagnement au niveau local.
La FAQ Ministère de l’Education nationale, de la Jeunesse et des Sports
a été mise à jour, cliquez pour découvrir les ajouts https://www.education.gouv.fr/node/308567
La CGEAC (Convention de généralisation de l’éducation artistique et culturelle), signée en avril 2019 par la ville, les ministères de la Culture et de l’Éducation nationale, peut se targuer d’un bilan annuel positif. Cette convention, visant à développer l’éveil à l’art dès le plus jeune âge, a donné lieu à de nombreuses actions d’éducation artistique au cours de l’année 2020.
Les projets programmés ont dû s’adapter à la situation sanitaire, et certains, initiés en 2020 sont encore en cours. C’est le cas de « Couleurs sétoises » à l’école Paul Bert qui se finalise actuellement. Les enfants ont été invités à découvrir différentes pratiques, telles la peinture et la chorégraphie. Sous la conduite de Claire Giordano, ils ont réalisé une fresque en s’inspirant de « la Danse du soleil », l’œuvre d’André Cervera accrochée durant l’année dans l’école. La chorégraphe Germana Civera, de la Compagnie Inesperada, s’est également inspirée de ce tableau pour créer une chorégraphie. La fresque sera inaugurée au mois de mars.
En 2021, le programme de la CGEAC continuera d’être florissant, avec pas moins de 28 projets prévus durant les temps extrascolaires et périscolaires. Cela représente environ 20 000 jeunes participants sur le territoire du bassin de Thau, dont environ 30 % sont situés dans les quartiers prioritaires de la ville. Les thématiques seront déclinées autour du chant, de la musique, de la photographie, du théâtre, des arts plastiques, de la danse et du cirque.
Pixabay
En raison de l'évolution de la circulation du coronavirus et de l'apparition de variants plus contagieux, les règles concernant l'isolement des cas contact dans une classe évoluent. Désormais, les classes de maternelle fermeront pendant une semaine si un élève est positif. Dans les écoles primaires, les collèges et les lycées, où le port du masque est obligatoire pour tout le monde, la classe est fermée lorsque 3 cas de Covid-19 sont confirmés. S'il s'agit d'un test positif dû à un nouveau variant, un seul cas suffira désormais à fermer la classe quel que soit le niveau.
Dans sa mise à jour du 1er février 2021, la foire aux questions proposée par l'Éducation nationale précise de nouvelles mesures relatives à l'identification des cas contacts et à la fermeture des classes.
L'apparition d'un cas confirmé parmi les enseignants, dès lors qu'il porte un masque grand public de catégorie 1 (tels que ceux fournis par le ministère de l'Éducation nationale), n'implique pas que les élèves de la classe soient considérés comme contacts à risque. De même, l'apparition d'un cas confirmé parmi les élèves n'implique pas que les personnels soient identifiés comme contacts à risque. Ils ne sont donc pas invités à s'isoler.
En revanche, l'apparition d'un cas confirmé parmi les élèves implique que les autres élèves de la classe soient identifiés comme contacts à risque et s'isolent pendant sept jours chez eux. La classe doit donc être fermée pendant cette période.
Dans le cas où trois élèves d'une même classe (de fratries différentes) sont positifs au Covid-19, alors les personnels de la classe doivent également être considérés comme contacts à risque.
Le port du masque grand public de catégorie 1 étant obligatoire tant pour les personnels que pour les élèves dans tous les espaces et en particulier dans les salles de classe, l'apparition d'un cas confirmé parmi les enseignants ou les élèves n'implique pas automatiquement de contacts à risque dans la classe. Les autres élèves de la classe ne sont pas considérés comme cas contacts.
Toutefois, dans le cas où 3 élèves d'une même classe (de fratries différentes) sont positifs au Covid-19, alors les élèves et les personnels de la classe doivent être considérés comme contacts à risque et la classe fermée.
Attention : De la maternelle au lycée, sur signalement de l'ARS, l'apparition d'un seul cas confirmé d'un des variants parmi les personnels ou les élèves, implique la fermeture de la classe concernée.
Après le baccalauréat, les étudiants qui se destinent aux métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation s'inscrivent en licence. L'obtention de la licence (ou d'un diplôme équivalent), leur permet d'accéder au master métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation (MEEF), au cours duquel se déroulent les concours de recrutement des enseignants. Pour devenir enseignant, des parcours en alternance sont possibles dès la 1ère année de licence.
Le parcours préparatoire au professorat des écoles (PPPE) est adossé à un parcours de licence généraliste. Il est dispensé en partie dans un lycée et en partie dans une université pendant les trois années de licence (L1, L2 et L3).
Ce parcours préparatoire au professorat des écoles permet de se préparer à devenir professeur des écoles avec :
Les étudiants, tout en obtenant un diplôme national de licence, bénéficient donc d’un enseignement spécifique de renforcement disciplinaire afin de mieux appréhender le professorat des écoles.
24 parcours préparatoires au professorat des écoles, couvrant 22 académies, sont expérimentés à compter de la rentrée 2021 pour des promotions de 30 à 40 étudiants pour chaque parcours. La grande diversité des parcours de licence auxquels sont adossés les PPPE (mathématiques, lettres, sciences de l’éducation, sciences, administration économique et sociale, STAPS, arts plastiques) témoigne de la large ouverture des voies d’accès au professorat des écoles.
Pour postuler, rendez-vous sur Parcoursup.
Téléchargez le dépliant d'information pour les élèves
Téléchargez le dépliant d'information pour les professeurs
Téléchargez l'affiche "Choisissez le nouveau parcours préparatoire au professorat des écoles"
Afin de redresser durablement l’économie française, un plan de relance exceptionnel de 100 milliards d’euros est lancé par le gouvernement. Retrouvez toutes les actions relatives à ce Plan de relance dans le champ de l’éducation nationale.
Les nouvelles "cordées de la réussite" visent à être, de l'accompagnement à l'orientation, un réel levier d'égalité des chances.
Grâce au Plan de relance, le nombre d’élèves accompagnés sera plus que doublé pour atteindre un total de 200.000 élèves sur tout le territoire dès l’année scolaire 2020/2021.
Les nouvelles cordées de la réussite bénéficient d’une dotation de 10 M€ dans le cadre du Plan France relance du Gouverneme
Le but des Cordées de la réussite est de lutter contre l'autocensure des élèves par un accompagnement continu dès la classe de 4e, jusqu'au baccalauréat et au-delà.
Un établissement encordé et des établissements têtes de cordée mettent en place des actions pour donner à chaque élève les moyens de sa réussite dans l'élaboration de son projet d'orientation, quel que soit le parcours envisagé, poursuite d'études dans l'enseignement supérieur ou insertion professionnelle.Une "Cordée de la réussite" repose sur le partenariat entre :
Ce partenariat se traduit par un ensemble d'actions d'accompagnement mises en œuvre dans le collège ou le lycée "encordé" en faveur des élèves volontaires. Il ne se résume pas à une seule mise en relation entre un élève et un étudiant mais se concrétise par un programme d'accompagnement global conçu conjointement entre la tête de cordée et les établissements "encordés", avec le soutien des autorités académiques.
Le dispositif peut être mis en place dès la classe de 4e. Il concerne les collégiens et les lycéens. Il y a une continuité de suivi du collège au lycée. Sont prioritairement concernés par le dispositif :
Il n'y a pas de sélection parmi les élèves d'un établissement encordé. Tous ceux qui sont souhaitent bénéficier des cordées de la réussite le peuvent. Il n'est pas nécessaire d'avoir de très bons résultats scolaires. Les élèves qui manquent de confiance en eux et qui n'oseraient pas le faire de leur propre initiative, sont d'ailleurs encouragés à s'y engager par l'équipe pédagogique et éducative. Les élèves en situation de handicap sont également concernés par ce dispositif, qui est pleinement inclusif.
Afin de constituer le groupe d'élèves concernés, le chef d'établissement informe les familles.
Il met en avant la plus-value du dispositif pour l'élève en termes d'accompagnement à l'orientation et d'élaboration progressive de son parcours. En dialoguant avec les familles, les élèves et les équipes pédagogiques, il arrête fin septembre la liste des élèves volontaires. Le chef d'établissement est également garant du suivi des élèves bénéficiaires du dispositif.
Le saviez-vous ?
Chaque année une semaine nationale des Cordées de la réussite se déroule la troisième semaine de janvier.
Afin d’aider l’élève à construire son parcours de réussite du collège au lycée et du lycée vers la poursuite d’études de l’enseignement supérieur ou vers l’insertion professionnelle, l’équipe éducative s’appuie sur plusieurs actions. Celles-ci sont adaptées au degré de maturation du projet d’orientation de l’élève :
Les familles sont particulièrement associées au processus d'orientation des enfants.
Les élèves bénéficiaires des "cordées de la réussite" profitent ainsi :
Ces tutorats et parrainages sont permis par la mobilisation des associations complémentaires de l'Éducation nationale
Une "Cordée de la réussite" repose sur le partenariat entre :
Ce partenariat se traduit par un ensemble d'actions d'accompagnement mises en œuvre dans le collège ou le lycée "encordé" en faveur des élèves volontaires. Il ne se résume pas à une seule mise en relation entre un élève et un étudiant mais se concrétise par un programme d'accompagnement global conçu conjointement entre la tête de cordée et les établissements "encordés", avec le soutien des autorités académiques.
Comment encorder mon établissement ?
Un chef d'établissement ou un professeur qui souhaiterait faire adhérer son établissement à une cordée, pourra contacter le référent académique désigné par le recteur d'académie.
Pour en savoir plus, retrouvez toutes les ressources pour les établissements sur éduscol
Un engagement des étudiants au service des jeunes
Une Cordée de la réussite repose sur le partenariat entre, d'une part, une "tête de cordée" qui est un établissement d'enseignement supérieur (universités, grande école, école du service public) ou un lycée comportant une classe préparatoire au grandes écoles (CPGE) ou une section de techniciens supérieurs (STS) et, d'autre part, des établissements dits "encordés" : collèges et lycées de la voie générale, technologique ou professionnelle.
nt afin d'accompagner la montée en charge du dispositif.
Le but des Cordées de la réussite est de lutter contre l'autocensure des élèves par un accompagnement continu dès la classe de 4e, jusqu'au baccalauréat et au-delà.
Un établissement encordé et des établissements têtes de cordée mettent en place des actions pour donner à chaque élève les moyens de sa réussite dans l'élaboration de son projet d'orientation, quel que soit le parcours envisagé, poursuite d'études dans l'enseignement supérieur ou insertion professionnelle.Une "Cordée de la réussite" repose sur le partenariat entre :
Ce partenariat se traduit par un ensemble d'actions d'accompagnement mises en œuvre dans le collège ou le lycée "encordé" en faveur des élèves volontaires. Il ne se résume pas à une seule mise en relation entre un élève et un étudiant mais se concrétise par un programme d'accompagnement global conçu conjointement entre la tête de cordée et les établissements "encordés", avec le soutien des autorités académiques.
Le dispositif peut être mis en place dès la classe de 4e. Il concerne les collégiens et les lycéens. Il y a une continuité de suivi du collège au lycée. Sont prioritairement concernés par le dispositif :
Il n'y a pas de sélection parmi les élèves d'un établissement encordé. Tous ceux qui sont souhaitent bénéficier des cordées de la réussite le peuvent. Il n'est pas nécessaire d'avoir de très bons résultats scolaires. Les élèves qui manquent de confiance en eux et qui n'oseraient pas le faire de leur propre initiative, sont d'ailleurs encouragés à s'y engager par l'équipe pédagogique et éducative. Les élèves en situation de handicap sont également concernés par ce dispositif, qui est pleinement inclusif.
Afin de constituer le groupe d'élèves concernés, le chef d'établissement informe les familles.
Il met en avant la plus-value du dispositif pour l'élève en termes d'accompagnement à l'orientation et d'élaboration progressive de son parcours. En dialoguant avec les familles, les élèves et les équipes pédagogiques, il arrête fin septembre la liste des élèves volontaires. Le chef d'établissement est également garant du suivi des élèves bénéficiaires du dispositif.
Le saviez-vous ?
Chaque année une semaine nationale des Cordées de la réussite se déroule la troisième semaine de janvier.
Afin d’aider l’élève à construire son parcours de réussite du collège au lycée et du lycée vers la poursuite d’études de l’enseignement supérieur ou vers l’insertion professionnelle, l’équipe éducative s’appuie sur plusieurs actions. Celles-ci sont adaptées au degré de maturation du projet d’orientation de l’élève :
Les familles sont particulièrement associées au processus d'orientation des enfants.
Les élèves bénéficiaires des "cordées de la réussite" profitent ainsi :
Ces tutorats et parrainages sont permis par la mobilisation des associations complémentaires de l'Éducation nationale
Une "Cordée de la réussite" repose sur le partenariat entre :
Ce partenariat se traduit par un ensemble d'actions d'accompagnement mises en œuvre dans le collège ou le lycée "encordé" en faveur des élèves volontaires. Il ne se résume pas à une seule mise en relation entre un élève et un étudiant mais se concrétise par un programme d'accompagnement global conçu conjointement entre la tête de cordée et les établissements "encordés", avec le soutien des autorités académiques.
Comment encorder mon établissement ?
Un chef d'établissement ou un professeur qui souhaiterait faire adhérer son établissement à une cordée, pourra contacter le référent académique désigné par le recteur d'académie.
Pour en savoir plus, retrouvez toutes les ressources pour les établissements sur éduscol
Un engagement des étudiants au service des jeunes
Une Cordée de la réussite repose sur le partenariat entre, d'une part, une "tête de cordée" qui est un établissement d'enseignement supérieur (universités, grande école, école du service public) ou un lycée comportant une classe préparatoire au grandes écoles (CPGE) ou une section de techniciens supérieurs (STS) et, d'autre part, des établissements dits "encordés" : collèges et lycées de la voie générale, technologique ou professionnelle.