Environnement

Un nouveau nuage de sable du Sahara va survoler la France ce week-end

Le service européen de surveillance de l'atmosphère ne sait pas encore dans quelle mesure le nuage sera visible à l'oeil nu. Début février, un nuage similaire avait touché le sud et l'est de la France, teintant le ciel de jaune ocre. 

Le ciel pourrait se teinter de jaune ocre ce week-end.

Selon le service européen de surveillance de l'atmosphère Copernicus, un nuage de poussières sahariennes va survoler l'Europe. En France, il devrait surtout toucher le nord du pays.

Lire sur https://actu.orange.fr/france/un-nouveau-nuage-de-sable-du-sahara

Bâtiments, Maisons, Toits, Ville

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Michel Garcia élu président de la Commission Locale de l’Eau

LA COMMISSION LOCALE DE L’EAU DU BASSIN DE THAU S’EST REUNIE MARDI 2 FEVRIER A L’ECOSITE A MEZE. MICHEL GARCIA CONSEILLER MUNICIPAL A VILLEVEYRAC ET VICE-PRESIDENT DE SETE AGGLOPOLE MEDITERRANEE A ETE ELU PRESIDENT. VINCENT SABATIER, ADJOINT AU MAIRE DE SETE ET CONSEILLER COMMUNAUTAIRE A ETE DESIGNE VICE-PRESIDENT.
 
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La Commission Locale de l’Eau est l’instance de concertation pour toutes les questions liées à l’eau sur le territoire des bassins versants de la lagune de Thau et de l’étang d’Ingril. Elle est également chargée d’élaborer et de veiller à la mise en œuvre du SAGE. Ce Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux fixe un cadre pour toutes les pratiques et les usages liés à l’eau.
 
Sur Thau, le SAGE a fixé quatre objectifs prioritaires : trouver un juste équilibre entre les besoins et les ressources et proposer une répartition équitable pour tous les usages (eau potable, eau agricole, eau industrielle…), veiller à la qualité des différentes masses d’eau du territoire, préserver les milieux aquatiques et les zones humides et organiser la gouvernance.
 
Composée de trois collèges : représentants des usagers, des collectivités locales et de l’Etat, la Commission Locale de l’Eau sera chargée de mettre en œuvre les mesures visant à atteindre ces quatre objectifs.
 
Si des progrès considérables ont été permis au plan de la qualité de l’eau de la lagune et de l’amélioration de la connaissance de nos sources d’alimentation en eau notamment, de nombreux chantiers restent à mener. Le programmes de restauration écologique des cours d’eau, la limitation des intrants, l’extension du réseau de surveillance du pli Ouest, ressource stratégique du territoire… sont autant de projets à concrétiser.
 
Les défis sont d’autant plus importants que l’eau est omniprésente sur le territoire de Thau et indissociable à la fois de notre identité mais également de notre économie tournée vers des activités lagunaires et maritimes.
 
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Pour aider le Président et le Vice-président dans leur tâche, trois commissions thématiques seront créées sur la gestion quantitative, sur les milieux aquatiques et zones humides et sur la qualité de l’eau. Vincent Sabatier aura plus particulièrement en charge le suivi du volet quantitatif à savoir un approvisionnement équitable pour tous les usages et l’équilibre entre les besoins et les ressources.
 
« La grande force de ce parlement de l’eau est la concertation et le travail en commun des différents acteurs afin d’avoir une connaissance la plus complète possible de l’eau dans toute ses composantes. Gérer, prévoir, agir et ensemble. Ce sont ces 4 mots que nous aurons en permanence à l’esprit dans le cadre de notre CLE », a annoncé Michel Garcia.

 

7 associations demandent l’annulation de l’arrêté réautorisant les néonicotinoïdes.

Communiqué de Générations futures au sujet de  l’annulation de l’arrêté réautorisant les néonicotinoïdes.
 
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"Fin juillet 2020, plusieurs représentants de la CGB (planteurs de betteraves), soutenus par des présidents de Région, interpellaient le ministère de l’Agriculture pour demander le retour des néonicotinoïdes et permettre, par dérogation, l’usage de ces insecticides en protection de semences afin de lutter contre la jaunisse, maladie induite par la présence de pucerons verts. Malgré notre mobilisation et le rejet des citoyen.nes du retour de ces insecticides « tueurs d’abeilles », une loi a été promulguée le 14 décembre validant ce retour. "
 
"Certaines de nos organisations ont à nouveau fait entendre leur voix à la fois lors de la consultation publique portant sur l’arrêté d’application de la loi et dans le cadre du comité de surveillance où siège notre association. Or, à l’heure actuelle, ces actions n’ont pas atteint l’objectif escompté: stopper le retour des néonicotinoïdes.
 
Ainsi, comme annoncé, nous avons  souhaité, dès publication de cet arrêté d’application, engager des recours juridiques contre ce texte. C’est ce que nous faisons  aujourd’hui, dans le cadre d’une procédure devant les tribunaux administratifs de Toulouse et Lyon.
 
Les recours.
 
Par le biais de nos avocats, nous déposons ce jour plusieurs recours pour demander l’annulation de l’arrêté réautorisant les néonicotinoïdes.
 
Voici pourquoi (entre autres) :
 
  • l’exposition des abeilles à ces néonicotinoïdes sera, entre autres, générée par la flore spontanée et sauvage présente dans et en marge de la zone betteravière, ce qui représente un risque impossible à maîtriser,
  • l’implantation de ce type de semences engendrera une diminution des ressources alimentaires pour les pollinisateurs,
  • les néonicotinoïdes sont persistants dans les sols et rémanents dans les cultures,
  • le sol est une voie d’exposition de la biodiversité, voie d’exposition non prise en compte dans le cadre de cet arrêté,
  • le texte fait l’impasse sur les effets induits par ces insecticides sur les oiseaux et autres mammifères sauvages ainsi que sur la pollution de l’eau et de l’environnement,
  • l’arrêté ne prévoit aucun dispositif spécifique de contrôle renforcé,
  • les pucerons – visés par l’utilisation des néonicotinoïdes – ne sont pas les seuls responsables des baisses de rendements. Les conditions climatiques et particulièrement la sécheresse sont également responsables de cette baisse. Or l’arrêté fait l’impasse sur ce fait.
 
 
Conclusion
 
Pour toutes les raisons développées dans nos requêtes, nos organisations demandent l’annulation de cet arrêté qui aurait comme conséquence d’induire des effets néfastes pour la biodiversité en générale et pour les pollinisateurs en particulier.
 
Alors que se discute en ce moment même le futur référendum voulu par Emmanuel Macron lui-même visant à garantir dans la Constitution « la préservation de la biodiversité », il parait tout à fait contradictoire de laisser revenir sur le marché ces substances très nocives. Nos ONG espèrent donc que la justice saura nous entendre sur ce point."

Ligne LGV : l’Observatoire du Pays de Thau a rencontré à sa demande, les élus de Sète Agglopole Méditerranée

Le 12 janvier 2021, l’Observatoire du Pays de Thau a rencontré à sa demande, les élus de Sète Agglopole Méditerranée pour présenter ses observations relatives aux questions environnementales suscitées par trois dossiers importants très impactants autour de la lagune de Thau.
 
L’Observatoire du Pays de Thau précise à ce sujet :
 
"Dossier 1 : La ligne LGV : un projet obsolète au regard de la crise actuelle.
Les élus ont pris note de nos observations. Ils ont indiqués qu’ils étaient conscients, qu’effectivement, notre territoire subira les inconvénients et les contraintes directes de cette future ligne sans bénéficier d’aucun avantages si ce n’est l’augmentation des offres TER sur la ligne actuelle, grâce à la diminution du trafic LGV (à terme y aura t-il encore une desserte TGV à Sète ? ; l’OPT en doute fortement).
Le viaduc prévu dans la plaine de Poussan, construit sur 1,4 km de long et 28 m de haut, sera une cicatrice de béton dans notre paysage et le danger d’un accident ferroviaire n’est pas à exclure avec les conséquences catastrophiques pour la Crique de l ’Angle.
L’absence de gare TGV à proximité de Sète va complètement enclaver notre territoire.
Le viaduc de Poussan ressemblera à cette ”plaie de Béton ”
 
L’OPT se mobilise en organisant dès que possible une réunion publique en invitant élus et sncf‐réseau afin d’informer au mieux la population des conséquences environnementales et paysagères du projet."
 
 

Printemps météo : les prévisions saisonnières de Météo France

Chaque mois, un groupe d'experts de Météo-France et de Mercator Ocean (le centre français d'analyses et de prévisions océaniques) élabore des prévisions pour les trois mois à venir. Les prévisions saisonnières permettent de dégager une tendance générale à l'échelle de l'Europe de l'Ouest sur le trimestre qui suit (plus ou moins chaud, ou plus ou moins humide que la normale).

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Le phénomène La Niña s’affaiblit progressivement au cours du trimestre, cependant il influence encore fortement le climat sur de nombreuses régions du globe, notamment autour de l’océan Pacifique et de l’océan Indien.
Son impact est bien moindre sur l'Atlantique Nord et l'Europe, ce qui rend plus difficile la prévision. Une majorité de modèles s’accorde malgré tout pour prévoir des conditions anticycloniques renforcées sur le proche Atlantique et une partie du continent européen.

Retrouvez l'intégralité du bulletin de prévisions saisonnières ici.

Températures en Europe

Sur la Scandinavie, l’est de l’Europe et l’est du bassin méditerranéen, la probabilité d'un scénario chaud est majoritaire. Sur la façade atlantique de l’Europe, le scénario « proche des normales » est le plus probable. Ailleurs, aucune option n'est privilégiée.

Infographies sur : https://meteofrance.com/actualites-et-dossiers/actualites/climat/

Les bonnes eaux de l'Hérault

Thématiques Environnement Agriculture Aménagement du territoire Développement durable Economie & Entreprises Géographie L'aide aux communes Littoral Territoire

On ne le dira jamais assez, l’eau est un bien précieux, d'autant plus en climat méditerranéen. Nous avons de la chance, l’Hérault dispose de formidables ressources naturelles.

Chaque jour, 500 millions de litres d’eau jaillissent des 300 points de captage du territoire. Une richesse géologique exceptionnelle qu'il faut préserver pour faire face au réchauffement climatique et à l’évolution démographique ! Alors que 96 % de l’eau du robinet provient du sous-sol héraultais, un gros travail est réalisé pour lutter contre la pollution, notamment sur le traitement des eaux usées. Et pour s’assurer que les habitants de l’Hérault ont accès à une ressource la plus pure possible, les nappes phréatiques sont régulièrement analysées. Il leur suffit d’ouvrir le robinet pour boire une eau de qualité sûre et de faible coût. Ceci n’empêche pas de déguster, aussi, les eaux minérales naturellement pétillantes La Salvetat et Vernière. Mais attention : si s’hydrater est un geste quotidien essentiel, économiser l’eau en est un autre.

Testez l’eau de votre robinet

Ça pétille !

En 2019, l’eau Vernière a été classée seconde meilleure eau gazeuse du monde au Concours international des Eaux Gourmet organisé par l’Agence pour la valorisation des produits agricoles. Et c'est à Lamalou-les-Bains, en plein cœur du parc régional du Haut-Languedoc que cette eau aux fines bulles pétillantes jaillit et doit son excellence. Avec une teneur en minéraux essentiels de 1400 mg/L, dont un très apport en calcium, magnésium et bicarbonates, ses vertus minérales et digestives sont largement reconnues. Vernière est commercialisée par le groupe Roxane, propriétaire des eaux Cristalline et Vichy-St-Yorre.

Clair comme de l’eau de roche

  Nereus a été élue "PME de l'année", avec son système de micro-filtration des eaux usées. Implantée au Pouget, l’entreprise Nereus propose des équipements de retraitement des eaux usées totalement innovants.

Et si on valorisait l’eau recyclée tout en protégeant l’environnement ? Au Pouget, l’entreprise Nereus fondée en 2013, fabrique des machines qui séparent l’eau des autres composants d’un liquide. Grâce à l’utilisation de membranes céramiques, ce procédé innovant et breveté, permet de trier les eaux usées, boues de méthanisation, effluents agroalimentaires et eaux porteuses de microalgues et d'en extraire une eau potable de très haute qualité

Les autres matières sont réutilisées comme engrais ou pour produire du biogaz.

Retrouvez le dossier sur l'eau dans le magazine Mon Hérault n°21

AVIS DU CESER SUR LES POLLUTIONS PAR LES PLASTIQUES EN MÉDITERRANÉE

Cet avis est à l’initiative du CESER Occitanie. Il a été élaboré après expertises et auditions des acteurs locaux, et validé par le Bureau du CESER du 14 octobre 2019.

Publié par le Céser le 15 décembre 2020 :

"La mer Méditerranée est une zone d’accumulation importante du plastique, car il s’agit d’une mer semi-fermée dont les côtes sont très urbanisées et industrialisées et avec des activités très intenses de transport maritime, touristique, de pêche et aquaculture. De plus, elle possède un temps de renouvellement des eaux de 90 ans, alors que la persistance des plastiques est très largement supérieure à 100 ans.

Ceci expliquerait pourquoi les résultats des modélisations au niveau mondial y prédisent les plus importantes concentrations de plastiques flottants dans le monde. L’accumulation de plastiques dans les eaux ou sur les fonds, notamment au niveau des estuaires, entraîne la dégradation voire la destruction d’habitats d’espèces marines, et peut de surcroît entraîner une pollution physico-chimique du milieu. Par ailleurs, cette pollution a des effets sur la santé humaine car les produits alimentaires que nous consommons sont largement contaminés par les plastiques altérant les fonctions du système endocrinien.

Ce fléau a également des impacts sociaux (vulnérabilité de la pêche et de l’aquaculture…) et économiques (réduction de la fréquentation touristique…) et renvoie à la responsabilité des collectivités territoriales, pacte alimentation, compétence GEMAPI (Gestion des Milieux Aquatiques et Prévention des Inondations) quant à la solidarité amont/aval des territoires concernés par un cours d’eau. Se pose alors la question des matières premières renouvelables et des bioplastiques en remplacement des plastiques actuels, en examinant dès le début de leur conception quel sera l’impact futur sur la biodiversité marine pour ne pas reproduire les erreurs du passé."

La Commission européenne a développé une initiative intitulée «BlueMed», pour faire de la Méditerranée une mer saine, productive et résiliente aux pressions subies. Une action spécifique est mise en place concernant « la Méditerranée sans plastiques ». Dans le cadre de l’Eurorégion, une déclaration commune a été cosignée en 2019 par les 3 présidents des CESER de Catalogne, des Baléares et d’Occitanie sur les questions de pollutions par les plastiques et le réchauffement climatique. L’avenir des peuples méditerranéens est entièrement lié à cette mer, aujourd’hui trop polluée et pourtant berceau de notre histoire. L’enjeu est considérable, nous ne pouvons plus l’ignorer.

(Pixabay)

 

Tous ensemble, luttons pour sauver la Méditerranée. Le CESER Occitanie s’appuie à travers ses préconisations sur 3 axes forts :

  • 1 - Une grande action internationale, ‘’Sauvons la Méditerranée’’ Bâtir, sous l’impulsion du CESER Occitanie, une stratégie de lutte contre la pollution en Méditerranée commune aux trois Conseils Économiques et Sociaux régionaux membres de l’Eurorégion, tout en élargissant ce réseau d’abord au niveau national : Régions Sud et Corse, puis à l’ensemble des pays riverains volontaires de la Méditerranée. Se donner ainsi, à l’échéance du 1er trimestre 2022, les moyens d’une Conférence internationale : « Sauvons la Méditerranée », avec pour objectif de doter l’Eurorégion Pyrénées-Méditerranée de la dimension évidente pour être un acteur de référence aux yeux des instances européennes.
  • 2 - Renforcer les programmes d’éducation à interagir avec l’environnement Encourager et soutenir les actions menées par les associations d’Éducation à l’Environnement et au Développement Durable (EEDD), pour sensibiliser les jeunes, dès le plus jeune âge, et tous les citoyens.
  • 3 - Élaborer des politiques publiques volontaristes Soutenir les acteurs et les actions qui contribuent à réduire la production de déchets plastiques et à faire évoluer les comportements tant des industriels que des consommateurs.

FAIRE SON JARDIN EN BIODYNAMIE CA SE CULTIVE !

Au domaine départemental de Restinclières on profite de la fin de l’hiver pour planter des arbres fruitiers.
Quel plaisir de cultiver ses propres fruits aux saveurs incomparables.
 Préparer la terre, associer les espèces, économiser l’eau, respecter les saisons… apprenez à cultiver votre jardin de façon éco-responsable
 Informations : https://bit.ly/3qvkG4b
 
Semis, Jardinage, À Effet De Serre
Pixabay jardin

Préparez dès maintenant votre potager et verger du printemps avec le CPIE !

Ce dimanche 21 février de 9h à 16h30, le Collectif des semeurs du Lodévois-Larzac vous invite à participer à une bourse d’échange de graines et plants, à Lodève (esplanade de la sous-préfecture près de la brocante).
Vous y trouverez également des semences paysannes sur le stand du collectif et des artisans semenciers présents.Aucune description de photo disponible.

LPO : À la découverte de la plaine de Fabrègues-Poussan

À la découverte de la plaine de Fabrègues-Poussan

6 mars  de 10 h à 12 h 00 min

La plaine de Fabrègues Poussan est une zone riche en oiseaux ! De ce fait, elle est classée Zone Natura 2000.

Au cours d’une balade au départ de Cournonsec, venez découvrir les paysages et oiseaux de cet espace et comprendre comment l’agglomération de Montpellier agit pour le préserver !

Réservation par SMS au 06.62.77.17.97

Froid et neige : des épisodes plus rares avec le changement climatique ?

Notre pays subit actuellement un épisode de neige et de froid comme on en connaît peu ces dernières décennies avec le changement climatique. Dans un climat réchauffé, ces épisodes se font plus rares, et moins intenses. Retour sur quelques vagues de froid historiques.

Neige : un seul épisode remarquable depuis 2000

Mercredi soir, on mesurait 5 à 10 centimètres de neige vers le nord de la Bourgogne et la Haute-Marne, les Vosges, la Haute-Saône, le nord du Doubs, le Territoire-de-Belfort et le sud alsacien. Des cumuls de 5 à 10 cm ont été observés en Bretagne. 

Il faut remonter à 2013 pour trouver un épisode avec plus de neige. En effet , les 11 et 12 mars 2013, on avait relevé 26 cm à Caen (14), 30 cm à Deauville (14) et 55 cm à Cherbourg (50). Avec le vent, on avait par endroits observé des congères de 1,5 à 2 mètres.

Quelques autres épisodes plus anciens sur https://meteofrance.com/actualites-et-dossiers/actualites/froid-et-neige-des-episodes-plus-rares-avec-le-changement

Et infographies.................

Paris : des couches 2 fois moins épaisses en 30 ans

Cette année, il est tombé à Paris 2 cm lors de cet épisode et 4 cm le 16 janvier. Si on compare les chutes de neige dans la capitale sur les périodes 1991/2020 et 1961/1990, on se rend compte qu’avoir une couche de 5 cm désormais est aussi probable qu’avoir une couche de 10 cm il y a 30 ans.....