Ce qu’il faut savoir sur le covoiturage

 

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Vous souhaitez pratiquer le covoiturage pour vos déplacements quotidiens ? Vous envisagez un trajet de ce type pour partir en vacances ? Assurance, réglementation, aides… Tout ce qu’il faut savoir sur ce mode de transport à la fois économique et écologique.

Qu'est-ce que le covoiturage ?

Selon l’a title"« legifrance.gouv.fr » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">a"ticle L.3132-1 du code des transports, le covoiturage consiste à utiliser un véhicule de transport terrestre (le plus souvent une voiture) partagé par un conducteur non-professionnel avec un ou plusieurs passagers, dans le cadre d’un trajet effectué par le conducteur à son propre compte et qui ne donne lieu à aucune rétribution autre que celle du partage des frais de déplacement.

En ce sens, le covoiturage se distingue du transport public particulier (taxi et VTC).

On parle de covoiturage lorsque deux conditions suivantes sont remplies :

  • le trajet du conducteur est effectué pour lui-même : à l’inverse si le trajet est effectué par le conducteur pour des tiers, il ne s’agit pas d’un covoiturage,
  • les seuls échanges financiers entre le ou les passagers et le conducteur se limitent au partage des coûts du transport : il s’agit principalement des frais de carburant, des éventuels péages ou frais d’assurance, et si les passagers et le conducteur ont été mis en relation par une plateforme, la commission de cette dernière. Mais le conducteur ne doit faire aucun bénéfice sur cette rétribution.

Si l’une de ces conditions n’est pas remplie, le trajet ne peut pas s’assimiler à du covoiturage et il s’agit probablement d’une activité professionnelle. Le conducteur encourt alors des poursuites pénales si cette dernière est non déclarée.

Comment organiser un covoiturage ?

L’organisation du covoiturage, c’est-à-dire la mise en relation d’un conducteur avec un ou plusieurs passagers, peut se faire selon deux principes :

  • le covoiturage spontané, basé sur l’utilisation du trafic routier comme offre potentielle de déplacement (autostop organisé ou lignes de covoiturage, par des points d’arrêt matérialisés),
  • le covoiturage planifié entre particuliers ou par le biais de sites en ligne ou d'applications  qui favorisent la mise en relation entre conducteurs et passagers.

Comment fonctionnent les plateformes de covoiturage en ligne ?

Leurs obligations

Si le covoiturage ne nécessite pas l’intervention d’un tiers, la mise en relation entre le conducteur et les passagers se fait dans la majorité des cas via des plateformes en ligne sur internet ou sur smartphone. Ces dernières doivent respecter un certain nombre d'obligations :

  • toutes les plateformes ont l’obligation d’assurer le principe du partage des frais entre le conducteur et le ou les passagers,
  • elles ont également l’obligation d’informer leurs utilisateurs de façon loyale, claire et transparente des conditions d’utilisation et de modalités de référencement et de classement des offres,
  •  les plateformes de covoiturage doivent appliquer les règles de protections des consommateurs, notamment en informant les covoiturés des conditions d'annulation. Si l’annulation est à l’initiative du conducteur, le passager est intégralement remboursé. En revanche, si l’annulation est à l’initiative du passager, les règles peuvent varier en fonction du moment de l’annulation par rapport au trajet. Le passager peut avoir à régler le trajet en partie ou en totalité selon les cas.

Leur mode de fonctionnement

De nombreux points communs concernant le fonctionnement, les services et les options se retrouvent sur la plupart des plateformes :

  • prélèvement d’une commission : la plupart des plateformes prélèvent une commission sur les sommes échangées entre covoitureurs. Cette commission est variable et dépend souvent du moment où la réservation a été effectuée (généralement plus elle est effectuée proche du départ plus la commission est élevée),
  • conseils aux conducteurs sur les sommes qu’ils peuvent demander aux passagers : si le montant demandé par le conducteur aux passagers au titre du partage des frais n’est ni encadré ni limité par les plateformes de covoiturage, ces dernières indiquent souvent au conducteur les sommes maximales conseillées en fonction du trajet. Cela permet d’avertir le conducteur en cas de surestimation du montant et ainsi d’éviter une requalification de l’échange financier en activité professionnelle de transport illicite,
  • paiement du trajet pouvant être réalisé via l’application : il n’existe pas d’obligation en la matière. Le paiement peut tout à fait s’effectuer en main propre le jour du trajet. En pratique, celui-ci se fait dans une grande majorité de cas directement via l’application ou le site internet, par carte bancaire ou porte-monnaie électronique,
  • possibilité de commenter et/ou noter les covoiturés : la plupart des plateformes offrent la possibilité aux passagers et aux conducteurs de faire des commentaires et de laisser des notes,
  • possibilité pour le conducteur d’accepter ou non le passager demandeur.

Quels sont vos droits en tant que passager en covoiturage ?

Dans le cas où le covoiturage entre le conducteur et le ou les passagers se fait sans intermédiaire, les règles de protection des consommateurs ne s’appliquent pas car les covoiturés sont assimilés à des particuliers et le covoiturage n’est pas une activité professionnelle. Les relations entre le chauffeur et les passagers dépendent alors des règles du droit commun. Par exemple, en cas de retard ou d’annulation du trajet, le conducteur n’a pas l’obligation d’indemniser ses passagers.

En revanche, si le covoiturage a été réservé via un professionnel (site internet ou une application) qui prend une commission, cette commission se rattache à un contrat (généralement entre le conducteur et le site internet). Ce sont alors les règles d’information et de protection des consommateurs qui s’appliquent au titre de cette prestation d’intermédiation. Le passager doit alors être informé par le professionnel, des commissions prélevées par le site, des conditions d’annulation, des indemnisations possibles, etc.

Quelles sont vos obligations en tant que conducteur en covoiturage ?

En ce qui concerne les sommes perçues

Si les sommes perçues rentrent dans les frais de covoiturage, elles sont exonérées d’impôt et vous n'avez donc pas à les déclarer.

Pour plus d'informations sur le sujet, vous pouvez consulter notre article : Covoiturage : êtes-vous imposable sur les sommes perçues ?

En ce qui concerne votre contrat d'assurance

En plus du permis de conduire, qui est bien évidemment indispensable pour le conducteur, ce dernier a l’obligation d’être en règle au niveau de son contrat d’assurance.

L’assurance obligatoire de responsabilité civile (dite aussi « assurance aux tiers ») est normalement suffisante pour le covoiturage, car ce type de garantie couvre les dommages qui peuvent être occasionnés à des tiers lors d’un sinistre. Ainsi, le passager du covoiturage est couvert par cette assurance obligatoire.

Cependant, il est vivement conseillé au conducteur de vérifier son contrat - le cas échéant directement auprès de son assureur - notamment pour s’assurer que d’éventuelles clauses n’excluent pas le covoiturage des garanties.

Le conducteur doit vérifier notamment que son contrat d’assurance couvre bien :

  • les trajets domicile/travail, notamment pour le covoiturage avec des collègues,
  • le « prêt du volant », si le conducteur souhaite confier la conduite à un passager. Certains contrats interdisent cette pratique ou la soumettent à une franchise majorée en cas de sinistre.

De quelles aides pouvez-vous bénéficier en pratiquant le covoiturage ?

Afin de répondre aux enjeux écologiques et de limiter les émissions de gaz à effet de serre plusieurs aides ont été mises en place par le Gouvernement ces dernières années pour encourager la pratique du covoiturage :

Le forfait mobilités durables

Les déplacements domicile-travail effectués en covoiturage peuvent être en partie pris en charge par l'employeur. Cette disposition concerne :

  • a title="« https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14046 » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">l"s employés du secteur privé : vous pouvez recevoir un forfait allant jusqu’à 800€/an, exonéré d’impôts sur le revenu (cette prise en charge facultative, versée par votre employeur, est exonérée de cotisations et de charges sociales pour lui),
  • a title="« https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F12163 » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">l"s agents de la fonction publique : vous bénéficiez d’un forfait mobilités durables de 300€ cumulable avec le remboursement de l’abonnement transport en commun. 

Une prime de 100 € depuis le 1er janvier 2023

Depuis le 1er janvier 2023, les conducteurs qui se lancent dans le covoiturage courte-distance, vont pouvoir recevoir une prime de 100 €, via les plateformes de covoiturage. Cette prime prendra la forme d'un versement progressif :

  • une première partie au premier covoiturage (25 € minimum)
  • et le reste au dixième covoiturage, dans un délai de trois mois à compter de son premier covoiturage.

Pour tout savoir sur les conditions de cette aide, ainsi que sur les autres aides disponibles sur le covoiturage, consultez a title="« https://www.ecologie.gouv.fr/covoiturage-en-france-avantages-et-reglementation-en-vigueur#scroll-nav__3 » dans ue nouvelle fenêtre" h" t" r">l" page dédiée sur le site du ministère de la Transition écologique

En savoir plus sur le covoiturage

Covoiturage : la réglementation applicable sur le site de la DGCCRF

a title="« https://www.ecologie.gouv.fr/covoiturage-en-france-avantages-et-reglementation-en-vigueur » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">L" covoiturage en France, ses avantages et la réglementation en vigueur sur ecologie.gouv.fr

Ce que dit la loi

  • a title="« https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000031051569&cidTexte=LEGITEXT000023086525&dateTexte=20151127&oldAction=rechCodeArticle&fastReqId=301291010&nbResultRech=1 » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">A"ticle L.3132-1 du code des transports
  • a title="« https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043158349/ » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">A"ticle 6B de l'annexe IV du code général des impôts

Soins médicaux : une personne sur quatre y a déjà renoncé pour raisons financières

 

84% des Français qui ont déjà renoncé à des soins car la mutuelle/complémentaire santé ne couvrait pas la totalité des frais.

La Pauvreté, Noir Et Blanc, Émotion

7% des Français ont déjà renoncé à des soins ou à des équipements médicaux alors qu'ils en avaient besoin, selon un sondage Ifop pour le Crédit Mutuel, publié le 21 septembre.

Un Français sur quatre (26%) a déjà renoncé à des soins ou des équipements médicaux pour des raisons financières au cours des dernières années et 17% reconnaissent même l'avoir fait à plusieurs reprises.

Selon Orange.fr

Les Français défavorisés les plus concernés

Pour 64% des Français qui ont déjà renoncé à des soins, 37% se sont déjà privés d’une consultation chez le dentiste, 20% chez l’ophtalmologue et 14% chez le dermatologue.

Les Français les plus défavorisés sont les premiers concernés par cette situation, et notamment les bénéficiaires de la Complémentaire santé solidaire (49%), ceux ayant un revenu mensuel inférieur à 900 euros (49%) et les habitants des communes rurales (43%).

 

84% des Français qui ont déjà renoncé à des soins car la mutuelle/complémentaire santé ne couvrait pas la totalité des frais et 78% parce qu'il fallait avancer le prix de la consultation.

Les médecines "alternatives" plébiscitées

Selon deux tiers des personnes interrogées, Il est normal d’augmenter le prix des consultations des généralistes et des spécialistes. Cependant, ils estiment que c’est à la Sécurité sociale de prendre en charge cette revalorisation et non aux patients...........

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/soins-medicaux-une-personne-sur-quatre-y-a-deja-renonce-pour-raisons-financieres-magic-CNT0000027wiCm.html

Congé de paternité : comment ça fonctionne ?

 

Père, Bébé, Portrait, Paternité, Parent

La loi permet à un salarié, père d'un enfant ou conjoint d'une mère, de bénéficier d’un congé de paternité. Quelles sont les conditions pour en bénéficier ? Comment la demande de congé doit-elle être formulée ? Quelle est sa durée ? On vous dit tout.

Quels sont les salariés qui peuvent bénéficier du congé de paternité ?

Tous les salariés peuvent potentiellement bénéficier du congé de paternité, quel que soit leur contrat du travail (CDI, CDD ou contrat temporaire), ou leur ancienneté.

Dans le détail, les personnes suivantes peuvent y prétendre :

  • le père de l’enfant, quelle que soit sa situation familiale, 
  • le compagnon de la mère de l’enfant, s'ils vivent en couple (mariage, concubinage, pacs).

Quelle est la durée du congé de paternité ?

Depuis le 1er juillet 2021, la durée du congé de paternité est de :

  • 25 jours calendaires (c'est-à-dire la totalité des jours du calendrier de l'année civile, du 1er janvier au 31 décembre, y compris les jours fériés ou chômés) pour la naissance d'un enfant,
  • 32 jours calendaires en cas de naissance multiple.

La durée du congé est divisée en deux périodes :

  • une première période obligatoire de quatre jours calendaires pris immédiatement après le congé de naissance (dont la durée est de trois jours, voir le détail dans l'encadré ci-dessous).
  • une deuxième période de 21 jours calendaires ou de 28 jours en cas de naissance multiples : qui peut être soit prise en continue, soit fractionnée en deux fois maximum (chaque période devant au minimum durer cinq jours).

Congé de naissance et congé paternité : quelle différence ?

À la naissance d'un enfant (ou le premier jour ouvrable suivant la naissance), le père - ou le cas échéant le conjoint, le concubin ou la personne liée à la mère par un pacte civil de solidarité (Pacs) - a droit à un congé de naissance de trois jours à prendre immédiatement à la naissance de l'enfant. Contrairement au congé de paternité, il ne peut pas être différé.  Notez que le congé de naissance peut être plus long que trois jour, si cela est prévu par la convention ou l’accord collectif d’entreprise ou, à défaut, par la convention ou l’accord de branche.

Le congé de paternité peut débuter immédiatement après ces trois jours (ou à un autre moment).

Combien de temps après la naissance de l'enfant le congé de paternité peut-il être pris ?

Il peut être pris dans les six mois suivant la naissance de l'enfant sauf cas exceptionnel. Il peut en effet être reporté au-delà des six mois en cas d’hospitalisation de l’enfant ou en cas de décès de la mère.

Notez qu'en cas de décès de la mère :

  • si le salarié est le père de l'enfant, il peut bénéficier du congé maternité postnatal, qu'il est possible de reporter dans un délai de six mois pour prendre son congé de paternité et d'accueil de l'enfant à la date de fin du congé maternité postnatal.
  • si le salarié n'est pas le père mais qu'il vivait en couple (mariage, Pacs ou concubinage) avec la mère, il peut bénéficier du congé maternité postnatal, à condition que le père de l'enfant n'en bénéficie pas. Le salarié peut alors également demander le report dans un délai de six mois pour prendre son congé de paternité et d'accueil de l'enfant à la date de fin du congé maternité postnatal.

Comment le salarié doit-il formuler sa demande de congé de paternité ?

  • Le salarié doit vous avertir de sa demande au moins un mois avant la date à laquelle il envisage de prendre son congé de paternité. Il doit également vous préciser la date à laquelle il souhaite y mettre fin.
  • Cette demande peut être formulée par écrit ou oralement.

Vous ne pouvez pas vous opposer à une demande de congé de paternité si le délai d’un mois a bien été respecté.

Dès le début du congé du salarié, vous devez établir une attestation de salaire. C’est grâce à cette attestation que l’Assurance Maladie détermine si le salarié remplit les conditions requises pour bénéficier des indemnités journalières durant le congé.

Qu’advient-il du contrat de travail qui vous lie ?

Pendant le congé de paternité, le contrat de travail est suspendu. Le salaire n’est pas maintenu.Cependant, en cas d’arrêt complet d’activité, le bénéficiaire du congé peut percevoir des indemnités journalières de sécurité sociale. Celles-ci sont attribuées et calculées dans les mêmes conditions que les indemnités journalières de maternité.

Le bénéficiaire du congé peut démissionner pendant le congé.

Quelle est la situation du salarié à la fin de son congé de paternité ?

À l’issue de son congé de paternité, vous devez permettre au salarié de retrouver son précédent emploi ou un emploi similaire avec une rémunération au moins équivalente.

Notez qu'il n'est pas possible - sauf faute grave - de licencier un salarié pendant son congé de paternité.

En savoir plus sur le congé de paternité

 

Ce que dit la loi

Entreprendre durant vos études, c'est possible grâce au statut d'étudiant-entrepreneur !

 

 

Vous êtes étudiant ou jeune diplômé et vous avez un projet entrepreneurial ? Le statut d’étudiant-entrepreneur vous est destiné. Découvrez comment.

 

Le statut national d'étudiant entrepreneur, qu'est-ce que c'est ?

Disponible depuis 2014, le statut national d'étudiant entrepreneur (SNEE) s'adresse aux étudiants et aux jeunes diplômés de moins de 28 ans qui souhaitent concrétiser un projet entrepreneurial.

Il peut s’agir d’une :   

  • création d’entreprise,   
  • reprise d’entreprise.

Il permet de préparer le diplôme « étudiant-entrepreneur » (D2E).

Ce diplôme privilégie l'apprentissage par l'action et permet au jeune porteur de projet de bénéficier d'une formation sur mesure, selon ses besoins.

Le statut national d'étudiant entrepreneur, quels avantages ?

La conciliation des études et du temps de travail :   

  • aménagez votre emploi du temps,   
  • continuez à gagner des crédits ECTS,   
  • en guise de stage, poursuivez votre projet d'entreprise,   
  • en tant que jeunes diplômés, conservez le statut étudiant et les avantages associés (couverture sociale, bourses, tarifs réduits...).

Le bénéfice de nombreuses prestations pour lancer vos projets :   

  • une aide à la recherche de financements,   
  • un accompagnement personnalisé par deux tuteurs dont un référent du réseau PEPITE,   
  • un accès à l'espace de coworking du réseau PEPITE pour favoriser la mise en réseau des étudiants-entrepreneurs et des partenaires praticiens,   
  • une formation à l’entrepreneuriat et à la gestion avec le diplôme étudiant-entrepreneur (D2E)
  • La possibilité de signer un contrat d'appui au projet d'entreprise (CAPE)

Quelles conditions pour bénéficier du statut national d'étudiant entrepreneur ?

Pour prétendre au statut d’étudiant-entrepreneur, vous devez remplir trois conditions : 

  • avoir le bac ou un diplôme équivalent,   
  • être inscrit dans un établissement d’enseignement supérieur ou être diplômé d’un de ces établissements,   
  • être âgé de moins de 28 ans.

Comment obtenir le statut national d'étudiant entrepreneur ?

Pour obtenir le statut d'étudiant entrepreneur, vous devez remplir un dossier en ligne dans lequel vous donnerez des éléments sur votre projet d’entreprise.

Votre dossier sera examiné par votre pôle étudiant pour l'innovation, le transfert et l’entrepreneuriat (PEPITE) de rattachement. Le réseau PEPITE comprend 30 pôles sur le territoire français.

Bien que le statut d'étudiant-entrepreneur ne soit délivré qu'à titre individuel, rien ne vous empêche de mener des projets collectifs !

Dans ce cas, chaque personne doit déposer un dossier individuel de demande de statut national étudiant-entrepreneur et indiquer sur celui-ci qu'elle fait partie d'une équipe projet.

Les dossiers seront ainsi instruits en même temps par le PEPITE afin que le même traitement soit réservé aux différents membres de l'équipe.

La solution trouvée par le Gouvernement pour faire face à la pénurie de médicaments

 

Selon Orange.fr

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Antidouleurs, antidiabétiques, antibiotiques… depuis quelque temps, la France doit faire face à une pénurie de médicaments. Pour éviter une situation délicate cet hiver, la vente à l'unité va être généralisée, a appris franceinfo.
Dans les pharmacies, le constat est net : des médicaments manquent à l'appel. "Aujourd’hui, une ordonnance sur deux, je ne peux pas la délivrer en intégralité. Entre moi, mes adjoints, mes préparateurs, nous passons entre deux et quatre heures par jour entre les appels aux médecins, les appels aux fournisseurs, pour avoir des produits", expliquait un pharmacien à franceinfo il y a une semaine. Depuis la pandémie de Covid-19, les pénuries de médicaments sont nombreuses et l'hiver qui se profile inquiète au plus haut point le ministère de la Santé.
 
 
 
Alors, pour faire face à de potentielles ruptures, et surtout limiter la casse, le Gouvernement va rendre obligatoire la distribution de médicaments à l'unité, a appris franceinfo. Cela veut dire tout simplement que lorsqu'un patient présentera une ordonnance, le pharmacien devra lui délivrer les antibiotiques cachet par cachet, et non la boîte entière comme auparavant. Le Gouvernement veut éviter un gâchis et une perte inutile de médicaments qui restent dans la boîte lorsqu'elle n'est pas utilisée entièrement.
Relocaliser en France......................... Poursuivre : https://actu.orange.fr/france/la-solution-trouvee-par-le-gouvernement-pour-faire-face-a-la-penurie-de-medicaments-magic-CNT0000027uHCE.html

Menaces de mort à l'encontre de Nicolas Sarkozy et son fils Jean : une enquête ouverte

 

Selon Orange.fr :
Une plainte a été déposée à Paris, après des menaces téléphoniques.
 

 
Une enquête pour menaces de mort réitérées à l'encontre de Nicolas Sarkozy et de son fils Jean a été ouverte mercredi 20 septembre. Elle est confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP). "Nous avons été avisés d'une plainte déposée ce matin au commissariat du XVIe arrondissement de Paris", indique le parquet de Paris à l'AFP, confirmant une information d'Actu17. Le site affirme que la plainte a été déposée par l'intermédiaire du chef de la sécurité de l'ancien président.
La plainte dénonce, toujours selon Actu17, un coup de fil menaçant passé dimanche dernier à la soeur de Nicolas Sarkozy. Un inconnu lui aurait dit "souhaiter la mort de Nicolas et Jean Sarkozy, le plus tôt possible. Qu'ils meurent". Le parquet n'a pas confirmé la teneur des propos menaçants..................................

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/politique/menaces-de-mort-a-l-encontre-de-nicolas-sarkozy-et-son-fils-jean-une-enquete-ouverte-magic-CNT0000027uU6v.html

Visite de Charles III : le roi et la reine d'Angleterre sont arrivés au château de Versailles pour le dîner d'Etat

 

Selon France Info :

Quelque 160 invités ont été conviés : les acteurs Hugh Grant, Charlotte Gainsbourg et Emma Mackey, l'écrivain Ken Follett, le chanteur Mick Jagger et l'ex-entraîneur de l'Arsenal FC Arsène Wenger.

Ce qu'il faut savoir

C'est l'effervescence des grands jours au château de Versailles. Le roi Charles III et la reine Camilla y sont reçus pour un dîner d'Etat, mercredi 20 septembre, en présence d'Emmanuel Macron et de Brigitte Macron. Ils ont été précédés par quelque 160 invités. Parmi eux, les acteurs Hugh Grant, Charlotte Gainsbourg et Emma Mackey, l'écrivain Ken Follett, le chanteur Mick Jagger et l'ex-entraîneur de l'Arsenal FC Arsène Wenger. Suivez notre direct.

>> Transition, "clin d'œil", "relation chaleureuse"… Ces symboles autour de la visite du roi Charles III en France

Arc de triomphe et descente des Champs-Elysées....... Lire sur : https://www.francetvinfo.fr/monde/royaume-uni/roi-charles-iii/direct-visite-de-charles-iii-suivez-l-arrivee-en-france-du-roi-et-de-la-reine-d-angleterre_6071766.html

Bretagne : 30 retraités bientôt mis à la porte de leur résidence senior

 

Selon Orange.fr :

À Pont-Aven en Bretagne, la trentaine de pensionnaires d’une résidence senior vont devoir quitter les lieux sous trois semaines après la faillite de l’organisme.

Trente retraités d’une résidence senior de Pont-Aven en Bretagne seront bientôt sans logement. Comme l’indique RTL.fr, ils ont trois semaines pour quitter les lieux ont-ils appris dans une lettre. L’organisme qui leur louait les appartements a fait faillite et de ce fait, ils n’ont plus le droit d’y habiter. Les pensionnaires sont scandalisés et sous le choc. "Je ne peux pas comprendre qu'il nous arrive une chose pareille à notre âge", regrette Yvonne, 89 ans, qui va partir en Belgique s’installer chez sa fille. "C'est une décision brutale. On vous met le couteau sous la gorge. Mon chien est mieux traité que moi", ajoute Louis, un retraité de 87 ans.

 

Les retraités cherchent "désespérément" d’autres logements à Pont-Aven. Tous autonomes, ils refusent d’aller en Ehpad. Mais certains sont prêts à résister à l’expulsion, comme Gérard, 90 ans, qui s’exclame : "Moi, je ne pars pas. Ils viendront me chercher avec l'armée s'il le faut. J'ai vendu le camping-car, je n'ai plus rien."

Le maire cherche des solutions

Au micro de TF1, Sophie Di Rosa explique que les loyers demandés sont devenus beaucoup trop onéreux. La direction est gestionnaire de la résidence et non propriétaire, c’est pour cela qu’elle n’a pas le pouvoir d’aider les résidents........... Aller plus loin : ........ https://actu.orange.fr/france/bretagne-30-retraites-bientot-mis-a-la-porte-de-leur-residence-senior-magic-CNT0000027uoYS.html

Pourquoi la visite de Charles III en France marque un réchauffement des relations diplomatiques

Le monarque et son épouse effectuent leur premier déplacement, à Paris puis à Bordeaux, depuis l'accession au trône de Charles. Londres espère bien en profiter pour resserrer ses liens avec la France et l'Europe.
 
Avec France Info :

 

  La première visite de Charles III en France marque un réchauffement des relations diplomatiques entre Londres et Paris. (JONATHAN BRADY / MAXPPP)

La visite de Charles III en France, du mercredi 20 au vendredi 22 septembre, peut sembler anodine. Elle a pourtant une portée politique. La venue du couple royal britannique, une première en France depuis l'accession au trône de Charles, à Paris puis à Bordeaux, envoie un message important. 

Le gouvernement britannique a voulu ce déplacement. On le sait peu, mais aucun voyage officiel à l'étranger du roi d'Angleterre n'a lieu sans l'assentiment du Premier ministre. Ainsi, Charles III n'a pas pu se rendre à la COP27, la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique, en Egypte, en mars 2023. Downing Street lui a opposé un refus.

La couronne est un élément d'influence. Par conséquent, le monarque ne se rend pas n'importe où, de même qu'il ne reçoit pas n'importe qui.

 

Retisser des liens avec l'Europe........... Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-choix-franceinfo/pourquoi-la-visite-de-charles-iii-en-france-marque-un-rechauffement-des-relations-diplomatiques_6045185.html