"Faites tout pour le ramener" : la grand-mère d'Eitan, disparu en Israël, interpelle Emmanuel Macron

 

Selon Orange.fr

Eitan, Franco-Israélien de 12 ans, est porté disparu, comme son père, depuis l'attaque du Hamas samedi 7 octobre. Sur LCI jeudi, sa grand-mère a imploré Emmanuel Macron de "le ramener".

18 Français figurent parmi les personnes disparues après l'attaque du Hamas en Israël, samedi 7 octobre. Eitan, 12 ans, aurait pour sa part été enlevé à moto par des combattants, d'après sa famille, qui s'est confiée à LCI, jeudi. "Je demande à la France de faire tout son possible pour faire revenir mon petit-fils", lance sa grand-mère, Ester. "J'ai parlé au président Macron, je lui ai dit : 'Vous avez un citoyen français, un enfant enlevé par des monstres, faites tout pour le ramener à la maison'".

 

"Je suis inquiète pour Eitan. Est-ce qu'il a à manger ? Est-ce qu'on le bat ? Est-ce qu'il a de quoi s'habiller ?", a-t-elle confié à la chaîne d'information......

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/monde/faites-tout-pour-le-ramener-la-grand-mere-d-eitan-disparu-en-israel-interpelle-emmanuel-macron-magic-CNT00000286AgP.html

Les maltraitances envers un animal domestique ou un animal sauvage apprivoisé ou tenu en captivité peuvent être signalées à la police ou à la gendarmerie, aux services vétérinaires...

 

Les maltraitances envers un animal domestique ou un animal sauvage apprivoisé ou tenu en captivité peuvent être signalées à la police ou à la gendarmerie, aux services vétérinaires de la DDPP : DDPP : Direction départementale de la protection des populations ou à une association de protection animale. Elles sont punies par le code pénal.

De quoi s'agit-il ?

Tout animal est un être sensible et doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce.

Il est interdit d'infliger des mauvais traitements à un animal domestique ou à un animal sauvage apprivoisé ou tenu en captivité.

Les actes suivants sont interdits :

  • Détenir un chien ou un chat non identifié
  • Priver un animal de nourriture et d'eau
  • Laisser un animal sans soins en cas de maladie ou de blessure
  • Placer et maintenir un animal dans un habitat ou un environnement pouvant être une cause de souffrances, de blessures ou d'accidents. Cela vaut notamment lorsque l'habitat est trop petit, n'offre pas des conditions climatiques supportables par l'animal ou comporte des matériels, installations ou agencements inadaptés à l'animal.
  • Utiliser, sauf en cas de nécessité absolue, des dispositifs d'attache, de contention, de clôture, des cages ou tout mode de détention inadaptés à l’animal ou de nature à provoquer des blessures ou des souffrances
  • Mettre en œuvre des techniques d'élevage pouvant occasionner des souffrances inutiles aux animaux compte tenu de la sensibilité de l'espèce concernée et du stade physiologique des animaux

Comment signaler une mauvais traitement ?

Sanctions

Toute personne qui élève, garde ou détient un animal et qui ne respecte pas ces obligations encourt une amende de 750 €.

La personne qui inflige, volontairement sans nécessité publiquement ou non, des mauvais traitements à un animal, encourt une amende de 750 €.

Le tribunal peut décider, en plus, de confier définitivement l'animal à une association de protection animale.

À noter

un mineur ne peut acquérir un animal de compagnie qu'avec le consentement de ses parents ou des personnes exerçant l'autorité parentale.

Lorsqu'un professionnel exerce ou laisse exercer, sans nécessité, des mauvais traitements envers les animaux placés sous sa garde, il encourt 1 an de prison et 15 000 € d'amende.

Cela concerne les établissements exerçant les activités suivantes :

  • Vente
  • Toilettage
  • Transit
  • Garde
  • Éducation
  • Dressage
  • Activités privées de sécurité, de surveillance, de gardiennage, de protection physique des personnes ou des biens
  • Refuge
  • Établissement d'abattage ou de transport d'animaux vivants
  • Élevage

Le tribunal peut prononcer la confiscation de l'animal et prévoir qu'il soit remis à une association de protection animale.

Le tribunal peut aussi prononcer à l'égard du professionnel, auteur des maltraitances, les peines complémentaires suivantes :

  • Interdiction, définitive ou non, de détenir un animal
  • Et interdiction d'exercer définitivement ou pour une durée maximale de 5 ans une activité professionnelle ou sociale si cette activité a permis de préparer ou de commettre les actes de maltraitance.

Cette interdiction ne peut toutefois pas concerner l'exercice d'un mandat électif ou de responsabilités syndicales.

L'établissement employeur du professionnel, auteur des maltraitances, encourt une amende de 75 000 € et les peines suivantes :

  • Fermeture définitive ou pour une durée de 5 ans
  • Confiscation des animaux
  • Interdiction définitive ou pour une durée de 5 ans maximum d'avoir une activité en lien avec les animaux

Le fait d'enregistrer volontairement, par quelque moyen que ce soit et sur quelque support que ce soit, des images de mauvais traitements infligés à un animal constitue un acte de complicité. L'auteur de l'enregistrement encourt une amende de 675 €.

Le fait de diffuser sur internet l'enregistrement de telles images est puni de 2 ans de prison et de 30 000 € d'amende. Cela ne s'applique pas si l'enregistrement, la détention, la diffusion ou la consultation de ces images a pour but d'apporter une contribution à un débat public d'intérêt général ou à servir de preuve en justice.

L'abandon d'un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de 3 ans de prison et de 45 000 € d'amende.

Le fait d’abandonner l'animal, en connaissance de cause, dans des conditions présentant un risque de mort immédiat ou imminent constitue une circonstance aggravante.

Lorsque l'abandon est commis avec circonstance aggravante, l'auteur encourt 4 ans de prison et 60 000 € d'amende, sauf si l'abandon a entraîné la mort de l'animal.

Si l'abandon a entraîné la mort de l'animal, l'auteur encourt 5 ans de prison et 75 000 € d'amende.

En cas de condamnation du propriétaire de l'animal ou si le propriétaire est inconnu, le tribunal statue sur le sort de l'animal, qu'il ait été ou non placé au cours de la procédure judiciaire.

Le tribunal peut prononcer la confiscation de l'animal et prévoir qu'il soit remis à une association de protection animale.

Le tribunal peut aussi prononcer les peines complémentaires suivantes :

  • Interdiction, définitive ou non, de détenir un animal
  • Et interdiction d'exercer définitivement ou pour une durée maximale de 5 ans une activité professionnelle ou sociale si cette activité a permis de préparer ou de commettre l'abandon.

Cette interdiction ne peut toutefois pas concerner l'exercice d'un mandat électif ou de responsabilités syndicales.

Le juge peut, à la place ou en même temps que l'emprisonnement, ordonner que le condamné accomplisse un stage de sensibilisation à la prévention et à la lutte contre la maltraitance animale.

La durée maximale du stage est d'un mois. Il est effectué aux frais du condamné. Son coût ne peut pas dépasser 450 €.

Le stage doit être exécuté dans les 6 mois suivant la date de la condamnation définitive, sauf si le comportement ou la situation du condamné rend l'exécution impossible dans ce délai de 6 mois.

 

Le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de 3 ans de prison et de 45 000 € d'amende.

Le fait d'exercer les sévices ou de commettre l'acte de cruauté sur un animal détenu par un agent qui exerce une mission de service public constitue une circonstance aggravante du délit.

Le fait d'être le propriétaire ou le gardien de l'animal constitue une circonstance aggravante.

Le fait d'exercer les sévices ou de commettre l'acte de cruauté en présence d'un mineur constitue une circonstance aggravante.

Lorsque les faits sont commis avec circonstance aggravante, l'auteur encourt 4 ans de prison et 60 000 € d'amende, sauf si les faits ont entraîné la mort de l'animal.

Si les sévices ou l'acte de cruauté ont entraîné la mort de l'animal, l'auteur encourt 5 ans de prison et 75 000 € d'amende.

En cas de condamnation du propriétaire de l'animal ou si le propriétaire est inconnu, le tribunal statue sur le sort de l'animal, qu'il ait été ou non placé au cours de la procédure judiciaire.

Le tribunal peut prononcer la confiscation de l'animal et prévoir qu'il soit remis à une association de protection animale.

Le tribunal peut aussi prononcer les peines complémentaires suivantes :

  • Interdiction, définitive ou non, de détenir un animal
  • Et interdiction d'exercer définitivement ou pour une durée maximale de 5 ans une activité professionnelle ou sociale si cette activité a permis de préparer ou de commettre les sévices graves ou l'acte de cruauté

Cette interdiction ne peut toutefois pas concerner l'exercice d'un mandat électif ou de responsabilités syndicales.

Le juge peut, à la place ou en même temps que l'emprisonnement, ordonner que le condamné accomplissent un stage de sensibilisation à la prévention et à la lutte contre la maltraitance animale.

La durée maximale du stage est d'un mois. Il est effectué aux frais du condamné. Son coût ne peut pas dépasser 450 €.

Le stage doit être exécuté dans les 6 mois suivant la date de la condamnation définitive, sauf si le comportement ou la situation du condamné rend l'exécution impossible dans ce délai de 6 mois.

Le fait d'enregistrer volontairement, par quelque moyen que ce soit et sur quelque support que ce soit, des images des sévices ou acte de cruauté commis sur l’animal constitue un acte de complicité. L'auteur de l'enregistrement encourt les mêmes peines que l'auteur des sévices ou acte de cruauté selon qu'il y a circonstance aggravante ou non et mort de l'animal ou non.

Le fait de diffuser sur internet l'enregistrement de telles images est puni de 2 ans de prison et de 30 000 € d'amende. Cela ne s'applique pas si l'enregistrement, la détention, la diffusion ou la consultation de ces images a pour but d'apporter une contribution à un débat public d'intérêt général ou à servir de preuve en justice.

Les atteintes sexuelles sur un animal domestique, apprivoisé ou tenu en captivité sont punies de 3 ans de prison et de 45 000 € d'amende.

Lorsque les faits sont commis en réunion, en présence d'un mineur ou par le propriétaire ou le gardien de l'animal, ces peines sont portées à 4 ans de prison et 60 000 € d'amende.

En cas de condamnation du propriétaire de l'animal ou si le propriétaire est inconnu, le tribunal peut prononcer la confiscation de l'animal et prévoir qu'il soit remis à une association de protection animale.

 

Pile, Animaux, La Nature, Natrure

Le tribunal peut aussi prononcer les peines complémentaires suivantes :

  • Interdiction définitive de détenir un animal
  • Et interdiction d'exercer définitivement une activité professionnelle ou sociale si cette activité a permis de préparer ou de commettre le atteintes sexuelles sur l'animal.

Cette interdiction ne peut toutefois pas concerner l'exercice d'un mandat électif ou de responsabilités syndicales.

Le fait d'enregistrer volontairement, par quelque moyen que ce soit et sur quelque support que ce soit, des images d'atteintes sexuelles commises sur un animal constitue un acte de complicité. L'auteur de l'enregistrement encourt les mêmes peines que l'auteur des atteintes sexuelles.

Le fait de diffuser sur internet l'enregistrement de telles images est puni de 2 ans de prison et de 30 000 € d'amende. Cela ne s'applique pas si l'enregistrement, la détention, la diffusion ou la consultation de ces images a pour but d'apporter une contribution à un débat public d'intérêt général ou à servir de preuve en justice.

Le fait de proposer ou de solliciter des actes constitutifs d'atteintes sexuelles sur un animal, par quelque moyen que ce soit, est puni d'un an de prison et de 15 000 € d'amende.

Le fait de fabriquer, de transporter, de diffuser des images pornographiques impliquant un ou plusieurs animaux est puni de 3 ans de prison et de 75 000 € d'amende si ces images peuvent être vues par un mineur.

Le fait de faire commerce de telles images est puni des mêmes peines si ces images peuvent être vues par un mineur.

Le fait, sans nécessité, publiquement ou non, de donner volontairement la mort à un animal domestique, apprivoisé ou tenu en captivité, en dehors de toute activité légale, est puni de 6 mois de prison et de 7 500 € d'amende.

Le tribunal peut aussi prononcer les peines complémentaires suivantes :

  • Interdiction, définitive ou non, de détenir un animal
  • Et interdiction d'exercer définitivement ou pour une durée maximale de 5 ans une activité professionnelle ou sociale si cette activité a permis de préparer ou de commettre la mort de l'animal.

Cette interdiction ne peut toutefois pas concerner l'exercice d'un mandat électif ou de responsabilités syndicales.

Le juge peut, à la place ou en même temps que l'emprisonnement, ordonner que le condamné accomplissent un stage de sensibilisation à la prévention et à la lutte contre la maltraitance animale.

La durée maximale du stage est d'un mois. Il est effectué aux frais du condamné. Son coût ne peut pas dépasser 450 €.

Le stage doit être exécuté dans les 6 mois suivant la date de la condamnation définitive, sauf si le comportement ou la situation du condamné rend l'exécution impossible dans ce délai de 6 mois.

Blesser ou tuer involontairement un animal domestique ou apprivoisé ou tenu en captivité est puni de 450 € d'amende.

Cela vaut que la blessure ou la mort soit causée par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou non respect d'une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi.

En cas de condamnation du propriétaire de l'animal ou si le propriétaire est inconnu, le tribunal peut décider de remettre l'animal à une association de protection animale.

Nouvelle Campagne de recrutement de Gardien de la Paix 2024

 

La police nationale recrute de futurs gardiens de la paix

Plus de 4 000 postes sur toute la France !

La police nationale organise un concours pour recruter et former des futurs gardiens de la paix.

Les inscriptions sont ouvertes en ligne jusqu’au 03 janvier 2024.

Les épreuves d’admissibilité débuteront le 20 février 2024.

 

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Avantages du métier

  • être au plus près de l’action de police de terrain ;

  • découvrir la diversité des métiers aux multiples facettes : policier « maître-chien », policier motocycliste, policier en brigade des stupéfiants, policier en police-secours… ;

  • accéder aux fonctions et aux grades à responsabilités (de brigadier-chef à commissaire de police) par examens et concours internes ;

  • une rémunération mensuelle attractive de 2 198 euros nets une fois titularisé à 3 641 euros nets en fin de carrière (nets par mois en Ile de France au 1er janvier 2023) ;

  • bénéficier de formations pour se spécialiser et évoluer tout au long de sa carrière.

  • Qualités requises

  • capacité d’adaptation ;

  • goût pour le travail en équipe ;

  • sens du contact ;

  • honnêteté et impartialité.

  • Conditions d’accès *

  • de 17 à moins de 45 ans ;

  • titulaire d’un Bac (ou 3 ans d’activité dans la même catégorie socio-professionnelle) ;

  • nationalité française ;

  • en règle avec le service national (JDC, ou ex JAPD) ;

  • bonne condition physique ;

  • casier judiciaire vierge.

* les limites d’âge et les conditions de diplôme peuvent faire l’objet de dérogations.

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Missions

Généraliste de la police, le gardien de la paix travaille au plus près du public. Il porte aide et assistance aux personnes, prévient la délinquance ou poursuit les malfaiteurs.
Son travail s’effectue dans des services d’enquête, de renseignement, dans des unités spécialisées (motocycliste, maître-chien, instructeur de tir, etc.), d’intervention ou encore de maintien de l’ordre.

Formation

Les élèves gardiens de la paix suivent une formation rémunérée (1 537 euros nets) de 12 mois à l’école nationale de police (ENP). La scolarité alterne formation en école et stages sur le terrain. Elle recouvre les missions principales qu’un gardien de la paix est amené à exécuter une fois affecté.

 Plus  d’informations sur le site carrière : https://www.devenirpolicier.fr/

Inscriptions : https://www.devenirpolicier.fr/nous-rejoindre/concours-externe/gardien-de-la-paix#xtor=AD-5

Une question, un renseignement ? Contactez-les :

Allocution d'Emmanuel Macron : "Israël a le droit de se défendre en éliminant les groupes terroristes comme le Hamas" mais "en préservant les populations civiles", affirme le chef de l'Etat

 

Selon France Info : 

Après avoir réuni les chefs des partis politiques à la mi-journée, le président de la République s'est adressé aux Français depuis 20 heures.

Ce qu'il faut savoir sur : https://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/direct-allocution-d-emmanuel-macron-suivez-

Lors de son allocution à 20 heures, jeudi 12 octobre, Emmanuel Macron a annoncé la mort d'un treizième ressortissant français, après l'attaque du Hamas contre Israël. "Jamais, depuis l'attentat de Nice, en 2016, autant de Français avaient été assassinés par des terroristes", a rappelé le chef de l'Etat qui aussi dénoncé la "faute" de ceux qui "confondent la cause palestinienne et la justification du terrorisme". Suivez le direct...

Futnet : Une première historique

 

Ce samedi 30 septembre 2023 a débuté la saison inaugurale d’une nouvelle pratique compétitive nationale : Le championnat de D1 Futnet sous l’égide de la FFF.

 

Réunissant 18 clubs issus de 7 ligues régionales pour sa première édition, le championnat de D1 Futnet se déroulera en deux phases :

– Une phase régulière avec neuf journées où chaque équipe affrontera les dix-sept autres. Lors de chaque journée, quatre sites accueilleront quatre équipes pour quatre matches et un site en recevra deux pour une unique rencontre ; 

– Une phase de play-offs avec les six premiers de la phase régulière pour désigner le club Champion de France de Futnet.

La Ligue de Football d’Occitanie compte 2 clubs concernés par le championnat de France D1 de futnet. Le FC Sète Tennis Ballon (34)  et le Tennis Ballon Lourdais (65).

Pour cette première journée, le club de Sète a su se défaire facilement (3 sets à 0) de Saint-Raphaël, avant de s’incliner face à Aubagne (3 sets à 2). Les Lourdais ont subi 2 défaites (3 sets à 0) contre Saint-Raphaël et (3 sets à 1) face à Aubagne.

A cette occasion, la Fédération Française de Football et la Ligue de Football d’Occitanie étaient représentées par Jean Deloffre (Président de la commission des compétitions de futnet) et Michel Caussade (Comité Directeur en charge des Finances). IMPORTANT

Pour cette saison 2023 / 2024 la Ligue de Football d’Occitanie, va proposer dans les prochains jours une compétition Régionale de futnet.

Championnat de France D1 de futnet.

 

 Phase régulière : 

·         Journée 1 : 30 septembre 2023

·         Journée 2 : 14 octobre 2023

·         Journée 3 : 18 novembre 2023

·         Journée 4 : 2 décembre 2023

·         Journée 5 : 16 décembre 2023

·         Journée 6 : 20 janvier 2024

·         Journée 7 : 10 février 2024

·         Journée 8 : 24 février 2024

·         Journée 9 : 9 mars 2024

 

Phase de play-offs :

Samedi 23 et dimanche 24 mars 2024

Création d’une entreprise de l’économie sociale et solidaire : mode d’emploi

 

Savez-vous que votre entreprise peut adhérer aux valeurs de l’économie sociale et solidaire ? Ce statut présente des avantages, notamment au regard des aides et de l'accompagnement accordés lors de la création de votre entreprise. En contrepartie, vous devez respecter un certain nombre d'engagements. On vous explique !

 

Médias Sociaux, Social

Qu’est-ce que l’économie sociale et solidaire ?

L’économie sociale et solidaire (ESS) est reconnue comme une alternative pertinente de production qui se soucie davantage du partage des richesses, du développement des territoires, de la qualité des emplois créés, de l’implication des citoyens dans les projets et de la responsabilité sociale des entreprises. Les valeurs des acteurs de l’ESS sont l’utilité sociale et la solidarité.

Les structures de l'économie sociale et solidaire (ESS) peuvent prendre des formes juridiques différentes :   

  • coopérative,   
  • mutuelle ou d’union relevant du code la mutualité, de société d’assurance mutuelle relevant du code de l’assurance,   
  • fondation,   
  • association régie par la loi 1901,   
  • certaines sociétés commerciales qui par leurs statuts remplissent les conditions prévues par la loi du 31 juillet 2014 et dont la reconnaissance de la qualité ESS est établie auprès des greffes du Tribunal de commerce.

Les entreprises de l’économie sociale et solidaire doivent remplir plusieurs conditions :   

  • un but poursuivi autre que le seul partage des bénéfices, l’humain doit être au cœur des préoccupations dans l’ESS (participer au développement local, aider à la réinsertion et lutter contre l’exclusion),   
  • une gouvernance démocratique,   
  • une gestion conforme aux principes suivants :  les bénéfices sont essentiellement consacré au maintien et au développement de l’activité, les réserves obligatoires ne peuvent pas être distribuées et en cas de liquidation, le « boni de liquidation » est redistribué à une entreprise de l’économie sociale et solidaire.

Adhérer à l’économie sociale et solidaire : quels avantages et quels financements ?

En adhérant à l’ESS, vous inscrivez votre entreprise dans une démarche citoyenne, qualité que vous pouvez valoriser dans votre communication auprès de vos clients, qu’il s’agisse d’acteurs privés ou publics. Adhérer à l’ESS est aussi l’opportunité de se démarquer lors de vos recrutements, en séduisant des professionnels soucieux de l’impact de leur activité sur la société.

Par ailleurs, intégrer l’ESS donne accès à des financements spécifiques, au niveau régional et national, que le site internet de bpifrance répertorie.

Enfin, vous pouvez intensifier votre engagement en obtenant l’agrément « Entreprise solidaire d’utilité sociale » (ESUS) qui permet notamment à vos investisseurs de bénéficier d'une réduction d’impôt dans le cadre du financement de votre structure grâce au dispositif Madelin, aussi appelé IR-PME.

L’agrément ESUS permet aussi aux entreprises de l’économie sociale et solidaire d’accéder à des financements grâce à des dispositifs d’épargne solidaire. En effet, les entreprises qui mettent en place des plans d’épargne salariale ont l’obligation de proposer à leurs salariés de souscrire à un fonds d’épargne salariale solidaire. Ces fonds sont investis à hauteur d’au moins 5 %, et jusqu’à 10%, dans des entreprises labélisées ESUS.

La direction du Trésor du Ministère de l’Économie et des Finances tient à jour une liste nationale des agréments « Entreprise solidaire d’utilité sociale ».

Quelles démarches effectuer pour inscrire son entreprise dans le champ de l’économie sociale et solidaire ?

Modifiez les statuts de votre entreprise

Faire adhérer votre entreprise aux principes de l’économie sociale et solidaire a des conséquences sur son mode de fonctionnement. Aussi, cette adhésion transparaît dans ses statuts qui participent à définir ses moyens de fonctionnement.

Votre adhésion a des conséquences sur trois éléments constitutifs des statuts de votre société :   

  • son objet social : son activité doit avoir comme but d’apporter du soutien à des personnes en situation de fragilité et/ou contribuer au développement du lien social et/ou contribuer à l’éducation à la citoyenneté et/ou de concourir au développement durable, à la transition énergétique, à la promotion culturelle ou à la solidarité internationale,   
  • son mode de gouvernance : sa gouvernance doit être démocratique en prévoyant notamment l’information et la participation des associés et des salariés,   
  • sa gestion financière : ses bénéfices doivent être consacrés au maintien ou au développement de l’entreprise et ses réserves obligatoires sont non distribuables.

Déclarez votre adhésion à l'ESS

Une société commerciale peut adhérer aux principes de l’ESS dès sa création ou à tout moment de son existence, vous réalisez la déclaration de la formalité sur le site du guichet unique des formalités des entreprises.

Ce guichet transmettra votre déclaration auprès des organismes compétents : l’INPI pour son inscription au registre national des entreprises (RNE) et le greffe pour son inscription au registre du commerce et des sociétés (RCS).

 

Journée nationale de la sécurité routière : ce sera le 13 octobre

 

Inscrite parmi les priorités gouvernementales, la lutte contre l’insécurité routière est une cause qui progresse lentement dans les mentalités et, même si les accidents corporels de la circulation diminuent régulièrement, le bilan reste trop lourd et la barre des 3000 morts semble bien difficile à franchir.

2780 personnes tuées en France en  2020

 

Crash, Auto, Accident De Voiture

Les chiffres 2020 sont encourageants si on songe qu'en 2019, le nombre de tués était de 3 239.
Mais attention, il s'agissait d'une année Covid où, lors du premier confinement, la circulation routière était extrêmement réduite.

Tout au long de l’année, des opérations destinées à sensibiliser le public au nécessaire respect des règles de sécurité routière sont menées, mais elles ne sensibilisent guère que les personnes déjà sensibilisées !

Agir sur les comportements

La généralisation de certains comportements délictueux (le téléphone en voiture, la consommation d'alcool ou de stupéfiants) a considérablement fait reculer la sécurité routière, notamment pour les piétons et les cyclistes. Les pouvoirs publics restent peu efficaces pour éradiquer ces phénomènes, préférant visiblement se retrancher dérrière la traque des seuls excès de vitesse.

Une initiative à saluer

Les jeunes chauffeurs sont repérés grâce à un auto-collant "A" durant les trois premières ananées de leur permis de conduire. C'est une chose. Les seniors agissent aussi et tentent aujourd'hui de promouvoir la pose d'un auti-collant "S" à l'arrière des véhicules concernés  (voir le site www.signalsenior.com). Cela permettra peut-être d'éviter quelques accidents.

Un site à visiter : securite-routiere.gouv.fr

Des milliers de foyers des Alpes-Maritimes et le Var plongés dans le noir Des milliers de foyers des Alpes-Maritimes et le Var plongés dans le noir

 

Une panne sur le réseau a plongé plusieurs villes des Alpes-Maritimes et du Var dans l'obscurité totale ce mercredi soir. Près de 300 000 foyers auraient été impactés dans une zone allant de Cannes à Monaco.

Une coupure d'électricité géante a frappé les Alpes-Maritimes et le Var ce mercredi 11 octobre, dans la soirée. Plusieurs villes azuréennes, dont Nice, ont été impactées, rapporte Franceinfo. Sur le réseau social X, Christian Estrosi a indiqué que "130 000 personnes" de sa ville seraient touchées par cette panne de grande ampleur. "Les équipes de RTE sont en cours d'intervention pour un retour à la normale dans les meilleurs délais", a-t-il affirmé. Par ailleurs, toujours sur les réseaux sociaux, la police nationale a demandé aux Niçois de "ne pas saturer le 17 pour laisser libres les lignes d'urgence".

Selon Orange.fr : À Cannes, le match de Ligue A féminine de volley qui opposait les azuréennes à Vandœuvre-Nancy a dû être interrompu après que les lumières du palais des Victoires se sont brutalement éteintes....... Sur :  https://actu.orange.fr/france/des-milliers-de-foyers-des-alpes-maritimes-et-le-var-plonges-dans-le-noir-magic-CNT00000285lHL.html

"Désobéissance fiscale" : un couple refuse de payer une partie de sa taxe foncière, à cause de la LGV Bordeaux-Toulouse

 

Selon OrangefrTrain, Tgv, Rame 746, Lgv

"Désobéissance fiscale" : un couple refuse de payer une partie de sa taxe foncière, à cause de la LGV Bordeaux-Toulouse.

Apparue sur les feuilles d’impôts afin de financer la ligne ferroviaire à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, certains habitants de la région ont décidé de ne pas payer cette nouvelle taxe, selon Le Républicain.

Les propriétaires de 2.340 communes en Nouvelle-Aquitaine et en Occitanie ont constaté l’apparition d’une nouvelle ligne sur leur avis d’impôt foncier. Il s’agit d’une taxe spéciale sur l’équipement (TSE) qui a pour but de contribuer à financement de la ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse. Pour montrer leur désaccord avec ces travaux, certains habitants ont décidé de ne pas payer, comme le rapporte Le Républicain, mercredi 11 octobre.

"Aujourd’hui, cela nous paraît être le seul levier pour montrer notre désaccord", estime un couple vivant à Balizac, à 800 mètres du tracé de la LGV. "C’est une façon de nous faire entendre car nous considérons que ce projet, d’un point de vue social, sociétal, écologique, ne fait pas sens".

Majoration : un risque qui vaut le coût ?

"Il faut les dégommer" : Enrico Macias dérape et s’en prend à LFI, critiquée pour ses propos sur le conflit Israël-Hamas

 

Selon Orange.fr

Mardi 10 octobre, Enrico Macias a réagi à la position des députés LFI sur le Hamas. Menaçant les élus, le chanteur a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux, selon le Huffington Post.

Invité de l’émission L’Heure des Pros 2 sur la chaîne CNEWS, Enrico Macias a choqué le plateau de Pascal Praud ainsi que les internautes, mardi 10 octobre. Le chanteur, d’origine algérienne juive, s’est emporté contre La France Insoumise et Jean-Luc Mélenchon et leur refus de qualifier définitivement le Hamas d’organisation terroriste, après l’attaque menée contre Israël dès le 7 octobre, comme le rapporte le Huffington Post.

 

"Quand j’entends l’extrême gauche, qui se défausse devant cette horreur, vous m’obligez à dire ce que je ne voulais pas dire : il faut les dégommer, ces gens-là", a lancé Enrico Macias au cours de l’émission. Si le reste du plateau nuance en précisant que l’image employée par le chanteur ne concerne que la politique, le chanteur poursuit : "Oui, bien sûr… mais peut-être aussi physiquement. En réagissant comme ça, ils sont complices." Depuis le début du conflit en Israël, La France Insoumise est très critiquée par le reste de la classe politique....................... En savoir plus : https://actu.orange.fr/france/il-faut-les-degommer-enrico-macias-derape-et-s-en-prend-a-lfi-critiquee-pour-ses-propos-sur-le-conflit-israel-hamas-magic-CNT00000283Pba.html

CM 2023 : Pour l'intelligence artificielle, l'Irlande triomphera

 

Selon Orange Sports : Selon Opta, l'Irlande va remporter la Coupe du Monde 2023 contre la France.


L'intelligence artificielle est en train de révolutionner la planète. Ce qu'aiment certains, et ce que redoutent d'autres. Capable de faire beaucoup de choses dans de nombreux domaines, elle peut aussi s'illustrer dans le domaine du sport au niveau des pronostics. Rien de dangereux là, d'autant qu'il s'agit d'Opta, la célèbre entreprise de statistiques, dans le cas présent en rapport avec la Coupe du Monde de rugby 2023.

Alors que l'on connaît l'affiche des quarts de la finale de la 10eme édition du Mondial, Opta a compilé des milliers de données, comme la société l'avait fait avant la compétition, afin de délivrer un favori pour la victoire finale au Stade de France, le 28 octobre prochain. Plusieurs millions de combinaisons possibles ont ainsi été analysées grâce à plusieurs critères comme les résultats des équipes sur les derniers mois, leurs performances lors des dernières Coupes du Monde, les niveaux de chaque poule ou les résultats lors des derniers affrontements directs.

Aller plus loin : https://sports.orange.fr/rugby/coupe-du-monde/article/cm-2023-pour-l-intelligence-artificielle-l-irlande-triomphera-exclu-CNT00000282CWY.html