Le 16 septembre ce sera la Journée Internationale de la protection de la couche d'ozone

 

En 1994, l'Assemblée générale de l'ONU a proclamé le 16 septembre, date anniversaire de la signature, en 1987, du Protocole de Montréal relatif à des substances qui appauvrissent la couche d'ozone, Journée internationale de la protection de la couche d'ozone (résolution 49/114 du 19 décembre).

Fragile enveloppe

Les États ont été invités à consacrer cette journée spéciale à l'encouragement d’activités concrètes conformes aux objectifs du Protocole de Montréal et de ses amendements. La couche d'ozone, fragile écran de gaz, protège la Terre des rayons dangereux du soleil, préservant ainsi la vie sur notre planète...

Suite à la mise en évidence de l'appauvrissement de la couche d'ozone au début des années 70, deux traités internationaux pour la protection de la couche d’ozone, la Convention de Vienne et le Protocole de Montréal ont été négociés sous l'égide du Programme des Nations Unies pour l'Environnement PNUE et signés respectivement en 1985 et 1987. Ces traités ont été ratifiés par la plupart des pays du monde. Ils ont permis d'obtenir comme premiers résultats une réduction de plus de 80% de la production et de la consommation des substances appauvrissant la couche d'ozone.

Vingt cinq ans après...

Le sujet est toujours préoccupant, inutile de se le cacher. Cependant, des mesures récentes montrent qu'en certains endroits, la couche d'ozone a commencé sa reconstitution. Une occasion de se réjouir ?

Allez, elles ne sont pas si nombreuses !

Un site à visiter : www.notre-planete.info

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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