Pourquoi les saisons météorologiques diffèrent-elles des saisons astronomiques


Selon Météo France

Si les saisons astronomiques ou calendaires débutent avec les équinoxes (printemps et automne) et les solstices (été et hiver), en météorologie, elles débutent plus tôt et correspondent à des périodes de trois mois pleins (voir les dates ci-dessous). Pourquoi un tel décalage ?

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Si le printemps calendaire débute cette année ce mercredi 20 mars, pour les météorologues il commence le 1er mars. Quelques explications sur cette différence. 

Prenons d'ailleurs l’été comme exemple. En météorologie, l’été correspond à la période de l’année la plus chaude. La durée d’ensoleillement maximale se situe autour du solstice d’été (20 ou 21 juin). Mais en raison de l’inertie de l’atmosphère, ce n’est qu’environ trois semaines plus tard que la température moyenne est généralement à son maximum, c'est-à-dire à la mi-juillet. On considère que ce moment correspond au milieu de l’été. Ainsi, en météorologie, l’été commence début juin et s’achève fin août.

Avec le même raisonnement, l’ensoleillement est minimal au solstice d’hiver (21 ou 22 décembre). Mais avec l’inertie de l’atmosphère, le pic de l’hiver se situe plutôt mi-janvier. Ainsi l’hiver météorologique commence début décembre et s’achève fin février.

Dans l’hémisphère Nord, la plupart des pays ont adopté cette règle et les saisons météorologiques sont ainsi les suivantes :

  • printemps : du 1er mars au 31 mai (mars, avril et mai) ;

  • été : du 1er juin au 31 août (juin, juillet et août) ;

  • automne : du 1er septembre au 30 novembre (septembre, octobre et novembre) ;

  • hiver : du 1er décembre au 28 ou 29 février (décembre, janvier et février).

Les saisons sont inversées dans l’hémisphère Sud.

Poursuivre : https://meteofrance.com/magazine/meteo-questions/pourquoi-les-saisons-meteorologiques-different-elles-des-saisons-astronomiques

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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