Absence de CRS sur les plages d’Occitanie : la Région demande à l’État de s’engager auprès des communes concernées


A l’approche des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, Didier Codorniou et Muriel Abadie,représentant Carole Delga présidente de la Région Occitanie, ont adressé vendredi 5 avril un courrier au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, pour l’alerter sur l’absence de CRSsur les plages d’Occitanie cet été. Ils demandent à l’État de maintenir à minima les effectifs habituels de 297 CRS sur le littoral méditerranéen pour la saison 2025,et une participation à la prise en charge des coûts liés au recrutement et la formation de nouveaux surveillants pour cet été.

 

Père, Fille, Plage, Famille, Papa

 

« Aux côtés de mes deux vice-présidents en charge du tourisme et de la Méditerranée, j’ai souhaité porter les préoccupations de nombreux maires de notre littoral qui craignent, à juste titre, de voir les effectifs de surveillants de plage diminuer lors de la saison prochaine. Nous avons déjà connu une situation similaire en 2017, au lendemain de l’Euro de football, avec une perte de plus de 200 postes de CRS sauveteurs sur l’ensemble de nos côtes. Cela ne peut et ne doit pas se reproduire.J’y serai particulièrement attentive. De la même manière je demande au ministre de l’intérieur de prendre en compte les demandes des maires concernant la compensation financière du recrutement et de la formation de nouveaux sauveteurs destinés à pallier l’absence de CRS. Ces communes font le choix, à leurs frais, de maintenir un niveau de surveillance optimal pour la sécurité de nos habitants et de celle des touristes présents en nombre sur la période estivale. Il en va de la responsabilité de l’État d’être présent à leurs côtés », a déclaré Carole Delga.  

 

 

Le courrier adressé au Ministre de l’Intérieur.240405-Courrier_Ministre_Interieur.pdf

 

Brocante - les conseils d'un pro

Brocante - les conseils d'un pro

LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
» Amazon