Marthe Dolphin et Louis Vial (Sétois), lauréats de la bourse d'Arcy de France Télévisions

 

Les deux étudiants en journalisme se sont vu décerner un contrat de travail à durée déterminée à France Télévisions. 

Selon France Info :

 

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La bourse Jean d’Arcy a été remise, vendredi 31 mai, à deux étudiants : Marthe Dolphin, de l’Institut de journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), en tant que rédactrice, et Louis Vial, de l’école de journalisme de Toulouse (EJT), en tant que journaliste reporter d'images. Les deux lauréats se sont vu remettre leur prix par la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, et par le directeur de l'information de France Télévisions, Alexandre Kara.

La bourse d'Arcy fête cette année ses 40 ans. Elle a été créée en 1984 par Hervé Bourges en hommage à Jean d’Arcy, qui a été l'un des grands pionniers de la télévision. C’est le premier prix de journalisme en télévision qui, au lieu de récompenser son lauréat par de l’argent, le récompense par un contrat au sein d'une entreprise. D’abord à TF1, quand c'était une chaîne publique, puis à Antenne 2, à partir de 1989, après la privatisation de TF1.

Dix mois de CDD pour chacun

La bourse Jean d’Arcy est, depuis, "le" concours de journalisme de France Télévisions, sa voie "royale"...................

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/economie/medias/marthe-dolphin-et-louis-vial-laureats-de-la-bourse-d-arcy-de-france-televisions_6576536.html

Brocante - les conseils d'un pro

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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