Venez fêter les 10 ans des Dimanches du Peyrou le 2 octobre
Votre enfant souhaite faire du sport, pratiquer une activité culturelle ou de loisir dans une association montpelliéraine ? La Ville de Montpellier souhaite ardemment que chaque jeune montpelliérain ait accès à la culture, au sport et aux loisirs. Ainsi, elle reconduit pour la saison 2022-2023 le dispositif Coup de Pouce Jeune dès le 1er septembre 2022 avec l'aide de 50 € par enfant !
Pour en bénéficier, il faut :
Présentez-vous aux guichets de l'Espace Montpellier Jeunesse au 1, place Francis Ponge muni des originaux et d'une copie des documents pour chaque enfant :
Une attestation Coup de Pouce Jeune vous sera remise. Vous la transmettrez à votre association qui déduira 50 € de votre adhésion. L'association se charge ensuite de remettre l'attestation dûment complétée à la Ville de Montpellier.
Le "Coup de pouce jeune" est cumulable avec le dispositif de l'État intitulé "Pass sport".
Toutes les pièces justificatives demandées sont nécessaires à l'établissement du dossier.
La Ville se réserve le droit de ne pas délivrer l'attestation en cas de pièce(s) manquante(s).
Renseignements téléphoniques : 04 34 46 68 28 (9h-18h et 9h-17h pendant les vacances scolaires)
En septembre, l’Espace Montpellier Jeunesse sera ouvert les samedis 3, 10, 17 et 24 de 12h à 17h30
Espance Montpellier Jeunesse
1, Place Francis Ponge
34000 Montpellier
Fermeture à 17h tous les jours pendant les vacances scolaires.
"Coup de pouce jeune" permet chaque année à plus de 3000 jeunes de 6 à 16 ans, de bénéficier de cette aide de 50 €. Les adhésions qui ont accompagné cette démarche ont concerné des dizaines d'associations.
La pratique d'une activité sportive, culturelle ou de loisir au sein d'une association fait désormais partie de la vie d'un nombre croissant de citoyens, et la disponibilité de services et d'équipements de proximité compte parmi les facteurs facilitateurs d'accès à ces activités.
Pour les clubs et associations, cette aide leur permet d'attirer de nouveaux adhérents et de nouveaux publics. Un soutien au dynamisme associatif bienvenu après une année de crise sanitaire difficile pour le bénévolat.
Dans le contexte de crise sanitaire et des conséquences économiques extrêmement visibles qu’elle a engendrées, la Ville de Montpellier souhaite poursuivre son soutien aux associations présentes et actives sur son territoire et encourager la pratique sportive, culturelle et de loisir, en reconduisant son dispositif d’aide financière pour une première adhésion à une association œuvrant dans ces champs. Le "Coup de pouce jeune" a aussi pour objectif de maintenir le lien social pour les acteurs du tissu associatif et ses nombreux bénévoles, ainsi que pour les Montpelliérains.
Cette mesure est également un véritable enjeu en terme de soutien économique aux familles les plus précaires, afin de permettre à leurs enfants d’accéder à ces pratiques, vecteurs d’épanouissement, de santé et d’insertion des jeunes.
Les mesures déjà engagées en faveur du pouvoir d'achat des Montpelliérains et de la vitalité du tissu associatif local :
Avec le projet Mon Appart’Eco, qui vise à informer et sensibiliser aux éco gestes, ACM HABITAT s’engage aux côtés de nombreux partenaires, de la Ville et de la Métropole de Montpellier, pour sensibiliser et accompagner ses locataires vers la sobriété énergétique. Lancé dans le quartier de Tournezy dans un bâtiment qui fera l’objet à partir de mai 2023 d’une réhabilitation, ce projet sera pérennisé jusqu’à la fin de l’hiver dans un second local, quartier Antigone, afin de former 3000 locataires aux éco gestes.
Le projet Mon Appart’Eco fait plus largement partie d’un Plan d’Urgence Logement Energie (PULE) lancé par le bailleur qui s’inscrit au cœur de l’action de la Ville et de la Métropole de Montpellier face à la crise énergétique. Le plan PULE regroupe 9 mesures de soutien au pouvoir d’achat des locataires et d’amélioration de la performance énergétique :
Les partenaires du projet : CLCV, EDF, Erca Initiatives - Gammes, Compagnons bâtisseurs, Face Hérault, Protection civile, l'ALEC, Montpellier 3M, l'APIEU
Ce tableau, classé au titre des Monuments historiques et propriété de la Ville de Montpellier, a pris à nouveau place dans l’église Notre-Dame des Tables, située 43 rue de l’Aiguillerie, dans le quartier Centre.
Le sujet est issu de l’Evangile selon Saint Luc : « Les bergers accoururent à la hâte et trouvèrent Marie et Joseph avec l’Enfant couché dans la crèche ». La composition réunit devant des ruines (colonne en arrière-plan), l’enfant Jésus au centre, captant l’attention, source de lumière, la Vierge, des anges au-dessus annonciateurs de la venue du Sauveur, tenant un phylactère portant l’inscription « Gloria in Excelsis Deo ». Autour de l’enfant Jésus, se trouvent Joseph et les bergers, accompagnés de personnages et d’animaux dont certains à peine visibles dans le feuillage. En cette nuit de Noël, tous ont le regard porté vers l’enfant Jésus qui illumine le visage de la mère et de manière plus atténuée ceux des autres personnages. La finesse du traitement de certains visages comme celui de Marie est particulièrement remarquable. La restauration a permis d’enlever de nombreux repeints et de découvrir la figure de Joseph qui se tient à la gauche de Marie.
Classé au titre des Monuments historiques en 1911, comme école française XVIIIe siècle, ce tableau, dont on ignore la provenance et l’auteur, est toujours l’objet d’interrogations des spécialistes. Selon les dernières hypothèses, il pourrait provenir de la chapelle de la famille de Sarret de l’église du couvent des Récollets de Montpellier et avoir été peint par un artiste local influencé par le flamand Louis Finson (1574-1617) et les maîtres de la peinture italienne du XVIIe siècle.
Photo : Ville de Montpellier
Les récits des témoins de l’époque et de leurs descendants seront présentés sur 6 tryptiques installés sur le parvis de l’Hôtel de Ville. Anciens élus, personnalités de la société civile ou simples citoyens, ils racontent l’expérience traumatisante de l’exil, ainsi que leur installation à Montpellier. Côté institutions, l’exploitation des Archives municipales, ainsi que les contributions de l’INA et des Archives départementales, permettront de saisir la complexité de la situation pour la municipalité, ainsi que son implication pour venir en aide à ces populations.
Cette exposition a pour vocation de transmettre cette mémoire aux jeunes générations. Elle doit permettre une meilleure compréhension de cet épisode historique, en remontant le fil des témoignages individuels pour ensuite mieux appréhender ses conséquences locales à travers des documents d’archives. L’exposition « C’était l’année 62, Mémoires d’exil, histoires d’hospitalités » vient en complément aux différents événements culturels et commémoratifs proposés durant cette année par la Ville de Montpellier (subventions mémorielles pour les cimetières européens en Algérie, cycle de conférences, supplément rédactionnel « Autre rive, autre vies », repas des associations).
Pour annoncer cette exposition et continuer d’explorer cette histoire qui relie les deux rives de la Méditerranée, la compagnie « Action d’espace » présentera son spectacle itinérant « Les Fils des hommes », le vendredi 16 septembre à 17h, place du Nombre d’Or. Il s’agit d’un déambulation théâtrale dans l’espace public réalisée par deux comédiens, qui jouent avec un cube rouge et le décor urbain, dans le but d’aborder les tabous de la mémoire existants autour de la guerre d’Algérie.
Après les accords d’Evian, plus de 800 000 Français d’Algérie arrivent en métropole dans des conditions dramatiques. La situation des familles harkies qui ont pu suivre le même chemin (enlever les virgules) est encore plus difficile. À son échelle, Montpellier s’efforce de les accueillir au mieux, dans l’urgence. Cette politique volontariste de la municipalité lui permettra ensuite, en prenant appui sur cet afflux de population qui dynamise la région, d’accélérer son développement, jusqu’à devenir capitale régionale. Grâce à l’exposition « Mémoires d’exil, histoires d’hospitalité », revivez ou découvrez cet épisode historique en remontant le fil des témoignages individuels, pour ensuite mieux appréhender ses conséquences locales à travers des documents d’archives.
C'était l'année 62 : mémoires d'exil, histoires d'hospitalité
La réaction d’Olivier Dall’Oglio au micro de Philippe Sers après MHSC-RCSA (2-1) :
« On a besoin de prendre des points, besoin que la roue tourne aussi un petit peu, quand on prend un but à la 84ème on se dit que la roue ne tourne pas trop, mais on a su retourner la situation. Je pense que c’est une victoire importante pour les têtes, une victoire qui récompense l’abnégation, tout n’a pas été parfait, loin de là mais il y a une détermination, une envie, nos supporters qui ont chanté pendant tout le match, donc je suis content pour eux et pour les joueurs, ça prouve que quand on ne lâche pas l’affaire tôt ou tard on est récompensés. On était plus sereins en première mi-temps, on a eu quelques belles occasions, on en a une ou deux sur la deuxième mi-temps, il y en a une très très belle avec Elye Wahi sur un centre qui doit plus arriver, on aurait aussi pu mener deux à zéro à la mi-temps, ils ont eu aussi des occasions de leur côté la deuxième mi-temps a été plus difficile, on s’est un peu aplati sur notre but, ce n’était pas une volonté, je pense que par moment face à leur puissance physique on a eu un peu de mal. On prend les trois points ça va nous permettre d’avancer, on va retrouver aussi quelques joueurs qui étaient blessés, avec les joueurs qui vont rentrer et les jeunes qui avancent bien et qui voient que quand on bosse on est récompensés. »
À l’occasion des commémorations du 60e anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie, la Ville de Montpellier et Montpellier Méditerranée Métropole organisent tout au long de l’année 2022 des rencontres, expositions, projections, recueils de témoignages, éditions…
Les récits des témoins de l’époque et de leurs descendants seront présentés sur 6 tryptiques installés sur le parvis de l’Hôtel de Ville et dans la salle Danielle Mitterrand. Anciens élus, personnalités de la société civile ou simples citoyens, ils racontent l’expérience traumatisante de l’exil, ainsi que leur installation à Montpellier. Côté institutions, l’exploitation des Archives municipales, ainsi que les contributions de l’INA et des Archives départementales, permettront de saisir la complexité de la situation pour la municipalité, ainsi que son implication pour venir en aide à ces populations.
Cette exposition a pour vocation de transmettre cette mémoire aux jeunes générations. Elle doit permettre une meilleure compréhension de cet épisode historique, en remontant le fil des témoignages individuels pour ensuite mieux appréhender ses conséquences locales à travers des documents d’archives. L’exposition vient en complément aux différents événements culturels et commémoratifs proposés durant cette année par la Ville de Montpellier (subventions mémorielles pour les cimetières européens en Algérie, cycle de conférences, supplément rédactionnel « Autre rive, autre vies », repas des associations).
Inauguration de l'exposition " samedi 17 septembre 2022 à 12h en présence de Michaël Delafosse et de Patricia Miralles.
Entrée libre
« Je n'étais jamais venu en métropole auparavant [...]
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« À Montpellier, l'accueil était meilleur qu'ailleurs pour les rapatriés »
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« Avant l'arrivée des rapatriés, il n'y avait pas de restauration rapide en centre-ville [...]
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Un magazine spécial a été édité par la Ville de Montpellier pour rappeler que l’histoire des rapatriés et des harkis est liée à notre territoire. Le témoignage de leur arrivée nous plonge 60 ans dans le passé, et nous invite aussi à mieux construire notre avenir.
Bonne lecture !
Pour annoncer cette exposition et continuer d’explorer cette histoire qui relie les deux rives de la Méditerranée, la compagnie « Action d’espace » présentera son spectacle itinérant « Les Fils des hommes », le vendredi 16 septembre à 17h, place du Nombre d’Or.
Il s’agit d’une déambulation théâtrale dans l’espace public réalisée par deux comédiens, qui jouent avec un cube rouge et le décor urbain, dans le but d’aborder les tabous de la mémoire existants autour de la guerre d’Algérie.