Montpellier - Exposition "Peuples autochtones : odes à la nature" par Christian Puech

La ville de Montpellier organise une exposition photographique à ne pas manquer : « Peuples autochtones : odes à la nature ».  Les photographies ont été prises par Christian Puech,  qui est également le commissaire de l'exposition.  Cette exposition aura lieu  du 20 janvier au 14 février  2020 à l’Hôtel de ville de Montpellier. Entrée gratuite.

Lors du vernissage, le  20 janvier à 18 heures, aura lieu une causerie-débats avec le photographe-explorateur. 
Les 62 photographies exposées illustrent le mode de vie des Huaorani et Guarani d’Amazonie équatorienne  et brésilienne, les Afar et Bedja d’Afrique de l’ouest, les Vezo  pêcheurs nomades de  Madagascar, les Mayas du Guatemala et les Spiti Bhotia sur le toit du monde dans l’Himalaya.

L’exposition met en lumière la majestueuse beauté des lieux où vivent  ces peuples.  Elle montre également les particularités des modes de vies  durables des peuples autochtones représentés en matière  d’alimentation biologique, d’agro-foresterie, de  médecine douce et ayurvédique, de gérontologie ainsi que de gestion des ressources et  déchets…
 
L’explorateur Christian Puech souhaite sensibiliser le public sur les modes de vie durables de ces peuples et le respect de  leurs droits. La photographie de l’affiche de l’exposition représente Kampèré, un cacique indien Huaorani  d’Amazonie équatorienne, lequel dispose de plus de facilité à  communiquer avec les oiseaux de la canopée qu’avec les pétroliers qui forent et empoisonnent impunément depuis un demi-siècle la terre, l’eau douce, les poissons et l’air qui permettaient à sa communauté de survivre.
 
Le spectre des catastrophes environnementales  hante  l’année  dans laquelle  nous entrons.  Une partie de l’Amazonie brésilienne et de l'Australie sont partie en fumée cette dernière année et la canicule semble devenir de plus en plus courante dans tous les pays du monde. 

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Cette exposition permet d’accentuer la  prise de  conscience de la beauté et de la diversité de notre planète. Elle est une invitation à en prendre soin.
 
Venez nombreux découvrir l'exposition et rencontrer le photographe-explorateur.
 
Informations pratiques :
 
Exposition du 20 janvier au 14 février 2020 à l'Hôtel de Montpellier. 
Horaires d'ouverture: du lundi au vendredi de 9 h à 17 h 30
Vernissage lundi 20 janvier à 18 heures.

Jeu-concours photo régional "Regards croisés sur l’eau"

Le concours photo régional « Regards croisés sur l’Eau » est ouvert du 1er janvier au 15 février.

Il invite les citoyens d’Occitanie à exprimer leur relation et leur attachement à notre bien le plus précieux qu’est l’eau au travers de photographies. En privilégiant une approche artistique et esthétique, les participants immortalisent leur vision de l’importance de l’eau pour l’homme.

Les photographies constitueront des regards subjectifs illustrant la diversité des usages, des activités liés à cet élément mais également sa valeur esthétique et contemplative intrinsèque.

Les participants au concours sont invités à prendre dûment connaissance du règlement ci-dessous avant de compléter le formulaire.

Expo Serge et Beate Klarsfeld, nécessaire mémoire

L'exposition sur les combats de Serge et Beate Klarsfeld (de 1968 à 1978) pour établir la vérité sur la Shoah ouverte le 4 novembre 2019, sera visible jusqu'au 3 janvier 2020. L'actualité internationale donne plus de relief encore à l'action de ceux qui ont mis au jour ce que les circonstances risquaient d'occulter : le crime imprescriptible, la Shoah.

Un combat pour la mémoire des victimes de la Shoah

L'initiative de la Fondation de la mémoire de la Shoah, visant à faire connaître l'action du couple Klarsfeld de 1968 à 1978, vaut à Montpellier d'accueillir une riche exposition, après Paris, Nice, Lyon. Et certaines tendances actuelles de l'opinion européenne justifient ce travail de mémoire. En Europe de l'Est, xénophobie et antisémitisme ressurgissent et, en Allemagne, afin de conjurer les démons du passé, la chancelière Merkel se rend à Auschwitz-Birkenau. Pourtant, Beate et Serge Klarsfeld ont fait œuvre utile, avec détermination et courage. Ils ont démasqué des ex nazis coulant des jours heureux reconvertis dans l'industrie, le commerce et même la politique. Ils ont mis au jour la mémoire des victimes de la Shoah. Serge Klarsfeld à Auschwitz, où fut gazé son père Arno, s'était juré "de faire connaître l'immense souffrance du peuple juif assassiné, jamais apaisée". Et lui entendit le cri de [son] peuple et décida de démasquer les responsables du massacre et leurs complices.

Beate Klarsfeld, née Künzel le 13 février 1939, connut la vie difficile à Berlin d'après le nazisme et son effondrement. Refusant un destin traditionnel tout tracé, elle gagne Paris en 1960 où elle est jeune fille au pair et intègre en 1964 l'Office franco-allemand pour la jeunesse en tant que secrétaire bilingue.

1968, Beate adresse une gifle au chancelier Kiesinger

Et c'est elle qui va frapper le premier coup contre le mur du conformisme érigé par l'Establishment. En 1966, le ministre président du Bade-Wurtemberg, Kurt Georg Kiesinger, est élu chancelier au sein d'une coalition avec le SPD. Après un article du Spiegel rappelant son rôle dans l'appareil nazi, le scandale éclate en Allemagne. A Paris, Beate fait paraître un article indigné dans Combat. Alors, l'OFAOS la licencie pour "faute grave". Entre temps, elle a épousé S. Klarsfeld en 1963. Celui-ci assure le quotidien du ménage, ayant quitté l'ORTF pour la firme céréalière "Continental". Mais du jour de l'élection de Kiesinger et face à la décision inique qui frappe Beate, le couple réagit et déclare : "Notre décision est prise. Nous allons nous battre et ce combat se poursuivra". Et dans l'immédiat, Beate va stigmatiser Kiesinger, le nazi. Le 4 avril 1968, depuis la tribune du public du Parlement de Bonn, elle interrompt le chancelier : "Kiesinger, nazi, démissionne". Le scandale est pire quand le 7 novembre 1968 à la séance du congrès CDU, elle gifle l'homme politique. Une photo de France-Soir témoigne du geste qui vaut à Beate un an de prison ferme.

 

Mais, "au nom de 50 millions de cadavres [sa] main s'est abattue sur le mufle de 10 millions de nazis". Sa peine est allégée en appel. Son mari Serge lui rendra hommage, estimant plus tard que "Beate est la plus fiable et la plus solide".

Hervé Le Blanche

Jusqu’au vendredi 3 janvier 2020
Hall de l’Hôtel de Ville de Montpellier
1, place Georges Frêche
Horaires : Lundi, mardi, mercredi, vendredi de 8h30 à 17h30 - Jeudi de 10h à 19h

Tramway 1 et 3 arrêt Moularès Hôtel de ville
Tramway 4 arrêt Georges Frêche - Hôtel de Ville

Marc Déotte va exposer ses clichés à la cave coopérative de Cournonsec

Photographies sur les caves coopératives héraultaises
Marc Déotte connu pour son travail en argentique va exposer ses clichés à partir du 5 décembre 2019 à la cave coopérative de Cournonsec.
 
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D'un côté, il est photographe voyageur entre Afrique, Amériques Caraïbes, Europe pour photographier entre autres des personnes.
De l'autre, il est photographe urbain, d'architectures industrielles telles les coopératives viticoles du Languedoc, coins de villes, petits détails insignifiants en couleur et en noir et blanc.

Depuis 50 ans, il ne fait que de la photo argentique sans aucune retouche ou recadrage. Il donne aussi des cours de photographie...

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De Bacchus en Dyonisos

Ce sont les images fortes de Marc Déotte, ce photographe dont la réputation n’est plus à faire, qui nous donne à voir dans ses clichés l’architecture et les ambiances des coopératives viticoles languedociennes. Des images uniques d’un patrimoine vieux d’un siècle qui ont marqué notre jeunesse, et qui, à présent, disparaissent très rapidement sous les coups des bulldozers et autres marteaux piqueurs, pour des raisons économiques.

Le témoignage d'une économie viticole languedocienne en pleine mutation

Ce patrimoine industriel est celui qui fait la richesse du Languedoc ; ces images qui datent de 10 à 20 ans, sont les seules existantes. Un travail de mémoire exceptionnel avant leur complète disparition de notre paysage.

Marc Déotte est photographe argentique depuis un demi-siècle.

Vernissage le 12 décembre à 18h

Une exposition pleine de poésie et de nostalgie à ne manquer sous aucun prétexte !

LES TERROIRS DE LA VOIE DOMITIENNE à Cournonsec

Que de chemin parcouru depuis la création de la cave coopérative à Gigean, en 1937 !

Un regroupement de caves commencé en 1990 aboutit à la construction d’une unité de vinification à Cournonsec en 2006. Ultra perfectionnée, cette nouvelle cave permet de mettre en valeur la diversité des terroirs et des cépages, afin de satisfaire une clientèle d’amateurs, locale ou de passage, comme les plus grands négociants français. Regroupant 250 vignerons répartis sur huit communes qui exploitent un vignoble s’étendant du pied de la Gardiole aux premières pentes du massif de la Moure, les Terroirs de la Voie Domitienne disposent d’un espace de vente de 170 m² sur le site de production.

Ils ont obtenu plusieurs prix : Médailles d’or, de bronze pour leurs sélections rigoureuses. 

Horaires d’ouverture :

Du lundi au samedi, de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h 30
RD 5 Chemin des Romains

34660 Cournonsec
04 67 68 67 50 

Georges Cantin

Exposition Photo à Lavérune : Portrait ?

Rendez-vous au Musée Hofer-Bury à Lavérune du 16 novembre au 01 décembre 2019

Vernissage le 15 novembre à 18h30.

Conférence sur le Portrait le 21 novembre par Christian Maccotta

Portraits ?
Un collectif de photographes d’Objectif Image Montpellier, s’est interrogé sur la question du portrait. Comment peut-on représenter une personne, et finalement a-t-on toujours besoin de l’individu face à l’appareil photo ?
L’enjeu est de permettre au spectateur de s’interroger et de se réapproprier la notion du portrait, dépasser le premier regard, ne pas chercher à reconnaître mais plutôt à se connaître.

Du 16 novembre au 01 décembre 2019
Musée Hofer-Bury – Château des évêques
34880 Lavérune

Ouvert du Jeudi au Dimanche - 15h>18h - Entrée Libre
Rencontre avec les auteurs chaque dimanche à 15h30

Contact Julien VINBER : 06.52.36.49.27 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


Musée HOFER-BURY
Château des évêques
34880 Lavérune
Entrée Libre  

5èmes Rencontres Régionales de la Photographie

Samedi 16 Novembre 2019

En 5 ans, cet événement grand public est devenu le lieu de rencontre privilégié des amateurs de photos.Cette année encore,vous aurez deux jours pour découvrir 300 clichés rigoureusement sélectionnés par les 18 clubs photo co-organisateurs de l’événement avec la Mairie de Juvignac, complété avec un programme diversifié de conférences, une librairie éphémère, ainsi qu'une animation studio photo de rue pour vous faire tirer le portrait.

D’un côté des portraits de rencontres, de voyages capturés par Dominique Becam, photographe globe-trotter et artiste humaniste, et de l’autre, les objets, mains et masques, issus des travaux récents de Marc Gosselin.

Le vernissage clôturera en chansons, avec le duo « Frangins », la première journée des rencontres de la photographie 2019.

Juvignac - du 6 AU 29 Novembre - Hall de l'Hôtel de Ville

Les créations photographiques de Johann Fournier

L'exposition "Ce qui naît de la brume" autour de l’œuvre photographique de Johann Fournier jusqu'au 30 novembre 2019.

La Maison des Consuls – musée d’Arts et d’Archéologie en Grand Pic Saint- Loup -  située au Nord de Montpellier, aux  Matelles poursuit la thématique du paysage pour sa deuxième exposition temporaire de l’année 2019, en offrant une plongée dans un monde onirique, aux frontières entre rêve et réalité, à travers une vingtaine d’œuvres du photographe Johann Fournier.

Photographe, scénographe, vidéaste, Johann Fournier est un artiste multiple. Ses œuvres sont issues d’un processus créatif singulier dont le concept poétique prend sa source dans les paysages que le photographe parcourt.

Il traduit ce concept en images, en mélangeant des procédés qu’il combine et réinvente constamment. 

Né en 1982, Johann Fournier mélange des procédés qu’il combine et réinvente constamment aux photographies s’ajoutent techniques classiques et de techniques digitales (textures numérisées de peintures, tissus, dessins etc...). Il vit aujourd’hui dans le Gard, et expose en France et en Europe.

Du 14 septembre au 30 novembre 2019, une exposition organisée par le service Culture-Patrimoine de la Communauté de communes du Grand Pic Saint-Loup.

Maison des Consuls – musée d’Arts et d’Archéologie en Grand Pic Saint-Loup Rue des Consuls – 34 270 LES MATELLES

Tél. 04 99 63 25 46

Du mercredi au dimanche et jours fériés de 14h à 18h.

Exposition « Photographies de Voyages » de Ludivine Pépin

Le Crès vous fait voyager avec l’expo-photo de Ludivine Pépin du 8 au 22 novembre 2019. Le vernissage aura lieu le 8 novembre à 18h30 en présence de l’artiste. 

Autodidacte, cette jeune Lunelloise de 28 ans s’est passionnée pour la photographie dès son plus jeune âge. A 8 ans, on lui offre son plus beau cadeau, un petit compact avec des pellicules. C’est alors qu’elle commence à immortaliser des moments de vie, les repas de famille, les vacances scolaires… « Pour me souvenir. J’avais une obsession ne rien oublier ! », confie-t-elle. 

Aujourd’hui, son style s’est affirmé. Son travail fut d’ailleurs remarqué lors du « Plus grand concours photos du Monde » où elle fut finaliste et publiée par la suite dans « PHOTO Magazine ». Une belle récompense pour cette artiste curieuse et créative. Ce qu’elle recherche avant tout lorsqu’elle photographie, c’est provoquer l’émotion au travers d’un regard, d’un moment complice, d’un paysage ou stimuler l’imagination grâce à des prises de vue insolites. Ses photos sont très contrastées pour accentuer les traits et les contours et ainsi donner du corps à ses images. Elle aime les couleurs vives ou au contraire les noirs et blancs profonds et s’amuse avec les différents angles de vue. 

Pour cette exposition, Ludivine Pépin nous embarque avec elle dans ses voyages. Elle a fait le tour de la France et plusieurs pays d’Europe et veut montrer que certains endroits proches de chez nous peuvent nous amener au bout du monde. « On peut voyager autrement qu’en partant loin, un coucher de soleil, un chemin fleuri, un plat cuisiné, un enfant qui joue… peuvent faire voyager » s’émerveille-t-elle. Il suffit de prendre le temps de regarder… Alors n’hésitez pas. Venez pousser les portes de la bibliothèque Molière pour un beau moment d’évasion ! 

Entrée libre.

Bibliothèque Molière – 19 Avenue des Cévennes - 34920 Le Crès

Les photographies de Mehdy Mariouch dans des décors kitsch

Exposition photographique intitulée "Studios" du 23 juillet au 22 septembre 2019 dans le cadre du festival Arabesques plateforme des arts du monde arabe en Europe

Mardi 23 juillet, vernissage à 18h30 de “Studios” de Mehdy Mariouch à l'hôtel Mercure Montpellier centre, partenaire hôtelier du festival Arabesques le plus important rendez-vous en Europe dédié aux Arts du monde Arabe qui débutera le 10 septembre 2019 dans ces mêmes lieux.

La pratique de Mehdy Mariouch est limitrophe entre le photo-journalisme et l’art. Diplômé de l’École Supérieure des Beaux-Arts de Casablanca, où il vit et travaille, Mehdy Mariouch a d’abord étudié les arts plastiques et le design graphique avant de basculer vers la photographie.

Un hommage aux photographes algériens et marocains

Il a réalisé différentes séries de reportages et shootings pour différents journaux et magazines nationaux. Pluridisciplinaire, il troque souvent ses objectifs pour des bombes de peinture afin de réaliser des graffitis et des collages urbains.
L’idée de ce projet est de porter un regard sur chaque photographe, dans son studio, où il a photographié des milliers de personnes.
Un cadre hors-champ, hors-temps qui adopte un style désordonné en apparence, proche du kitsch, flash ou au beau milieu de tout cela, le photographe se fera à son tour photographié. 

Hôtel Mercure - 6 rue de La Spirale - Montpellier
Tram ligne 1 arrêt Antigone
04 67 99 89 89

Exposition "La vie au village" du photographe Marcel Quéralt

En septembre, "les amis de la chapelle" font leur rentrée à la Chapelle des Pénitents de Cournonterral, le temps d'un week-end les 28 et 29 septembre.

Depuis des années, Marcel Quéralt passionné de traditions locales a la générosité de partager gracieusement les instants magiques de moments festifs, magiques de nos traditions pailhasses, échelle, corso, tambourin, chevalet, tribus lupis...
Il n'en manque pas à Cournonterral !
Quel est celui d'entre nous qui ne sait pas vu photographié par cet œil amateur mais averti ?
Ce regard mérite bien le nôtre et le vôtre.
Qui sait au détour de votre visite vous vous reconnaîtrez?

  • Samedi 28 septembre

10h : Inauguration et ouverture au public
Danse du Chevalet - Place Viala
18h : Spectacle folklorique avec La Garriga Lengadociana accompagnée des musiciens du Chevalet - Place Viala
19h : Apéritif Chapelle des Pénitents 

  • Dimanche 29 septembre

11h / 12h30 : animation musicale de la rue de la Chapelle par la classe d'instruments du Chevalet
17h : Concert de chants Occitans avec la Chorale de St Guilhem le Désert sous la direction de Marie et Philippe Carcasses.

Toutes les photographies de Marcel Quéralt sont proposées à la vente.