Avec l'Ifremer les lagunes de Méditerranée, leur perception, les pesticides......

 

Implantée depuis 2001 en bordure de l'étang de Thau, la Station de Sète, appellé aussi Pôle Mer et Lagunes - Centre de recherche halieutique, a une activité de recherche et d'expertise connectée aux activités maritimes majeures de cette région.
Ainsi, elle développe une recherche finalisée au profit des activités halieutiques et conchylicoles, et contribue à la protection et à la mise en valeur de l'environnement marin et lagunaire.

Voulue dès sa création comme un pôle fédérateur, la station regroupe des équipes de l'Ifremer et de l’IRD (Institut de recherche pour le Développement) au sein du Centre de Recherche Halieutique Méditerranéen.
Ces installations communes se situent à la périphérie ouest de Sète, à proximité de la mer et de l’étang de Thau.

L’IFREMER et le CNRS  ont lancé un sondage sur la perception de l'Etang par la population

Scène 21

L’IFREMER et le CNRS vous demandent votre avis dans le cadre d’une enquête sur l’évolution des perceptions du rôle de l’Etang de Thau par la population.
 
Ce sondage en ligne vous prendra quelques minutes.
Vous y trouverez quelques questions en lien avec l’environnement, les professions maritimes, le tourisme et l’impact sur l’Etang de Thau, ainsi que sur votre ressenti à vivre à proximité de celui-ci.
 
Pour compléter ce sondage, cliquez sur ce lien : 

Répondre à l’enquête 

 

Il faut savoir que l'action de l'Ifremer se structure autour de trois grandes thématiques qui dépendent des ressources vivantes, de l'aménagement et de l'environnement littoral, de la technologie marine et des systèmes d'informations :
- l'environnement côtier et les ressources aquacoles ;
- les ressources halieutiques ;
- la technologie des pêches.

L'unité "Halieutique Méditerranée" travaille sur des pêcheries qui ont en commun :
- une ressource exploitée pluri-spécifique, souvent côtière et très liée aux facteurs environnementaux ;
- une large prépondérance de la pêche artisanale polyvalente, co-existant avec des pêcheries à caractère industriel ;
- une production qui privilégie la recherche d'une valeur marchande par rapport aux quantités débarquées ;
- la recherche de mode de gestion durable adaptée à ce contexte et en situation de compétition d'usages

Le laboratoire "Environnement Ressources Languedoc Roussillon" vise à mieux prendre en compte d'une part la complexité des interactions entre les aspects conchylicoles et ceux de la qualité des eaux littorales des zones d'élevage, et d'autre part d'utiliser plus systématiquement la biologie et l'écophysiologie des mollusques dans l'interprétation des données de la surveillance.

 

 

Mais qu'en est-il selon l'Ifremer de la contamination des lagunes et de l'Etang de Thau par les Pesticides :

Peu exposé aux pesticides, l’étang de la Palme souffre néanmoins des effets du métolachlor. Réduire l’utilisation de cette substance dans son bassin versant permettrait de réduire le risque pour ces écosystèmes.© Ifremer/D. Munaron

Huit lagunes de Méditerranée sur les 10 suivies dans le cadre d’une étude pilote sont contaminées par les pesticides avec un risque préoccupant pour la santé de ces écosystèmes et leur biodiversité. C’est ce que révèlent l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse et l’Ifremer en partenariat avec l’Université de Bordeaux dans le rapport « Observatoire des lagunes (Obslag) Pesticides ». S’appuyant sur un nouvel indicateur de risque écologique, cette surveillance permettra d’orienter et de prioriser les actions de l’État et des gestionnaires pour réduire le plus efficacement possible l’utilisation des pesticides dans les bassins versants concernés.

Les lagunes de Méditerranée sont parmi les écosystèmes les plus riches en termes d’habitats et de biodiversité marine. Depuis 30 ans, leur état écologique global s’améliore progressivement : l’eutrophisation (entrainant des proliférations d’algues) et la pollution par les contaminants chimiques dits « historiques » (métaux,hydrocarbures, PCB, DDT…) diminuent. Néanmoins, ces milieux sont le réceptacle d’une autre contamination : les pesticides.

 Une étude inédite en France : 72 pesticides suivis dans 10 lagunes méditerranéennes

Entre 2017 et 2019, l’équipe du laboratoire Environnement Ressources Languedoc Roussillon de l’Ifremer à Sète a traqué 72 pesticides grâce à des échantillonneurs passifs, capables de détecter les composés présents dans l’eau, même à très faible dose. Ces échantillonneurs ont été immergés durant 3 semaines à 3 périodes de l’année dans 10 lagunes : les étangs de Canet, de Bages-Sigean, de l’Ayrolle, de la Palme, de Thau, de Vic, du Méjean, de l’Or, de Berre, et de Biguglia.

« Les 72 substances suivies ont été sélectionnées parmi les 325 pesticides détectés dans les cours d’eau de la région lors d’une précédente étude, précise Karine Bonacina, directrice régionale de l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse. Nous nous doutions que leur impact écologique devait s’aggraver en aval des cours d’eau mais nous ne pensions pas que le risque dû à leur cumul serait aussi élevé pour les écosystèmes lagunaires ».

 Les principaux résultats

À l’initiative de cette étude, Dominique Munaron, chercheur en chimie de l’environnement à la station Ifremer de Sète, explique l’originalité de ce travail : « D’ordinaire, dans le cadre des suivis de la qualité des eaux, seul le « risque individuel » d’une vingtaine de substances jugées prioritaires est évalué. Le risque pour l’écosystème intervient lorsque la concentration de l’une de ces substances dépasse sa valeur-seuil, au-delà de laquelle nous savons qu’elle est toxique pour au moins une espèce vivante. Ici, nous avons évalué pour la première fois le risque lié au cumul de pesticides : même présents en-deçà de leurs valeurs-seuils individuelles, les pesticides peuvent voir leurs effets s’additionner et nuire au fonctionnement de ces écosystèmes lagunaires et aux organismes qui y vivent : à leur reproduction, leur développement ou encore leur immunité. Pour définir ce nouvel indicateur de risques cumulés, nous avons transposé aux écosystèmes marins les connaissances acquises sur les effets toxiques de ces mélanges sur l’Homme.Bien que perfectible, cet indicateur appliqué de la même manière sur l’ensemble des sites permet de préciser et comparer le risque « pesticides » en fonction des lagunes, des groupes d’espèces, des périodes ou années de suivi ».

L’étang de l’Or est la lagune où le risque lié à la présence de pesticides est le plus prégnant. Seuls les étangs de la Palme et de Biguglia présentent un risque faible.

  • Entre 15 et 39 pesticides retrouvés dans chaque lagune. Aucune substance « prioritaire », n’a dépassé sa valeur-seuil au cours de l’étude. En revanche, 10 substances considérées comme « non prioritaires » l’ont franchi, occasionnant chacune un risque pour les écosystèmes lagunaires. Deux herbicides inquiètent particulièrement les scientifiques : le s-métolachlor et le glyphosate.
  • Le cumul des pesticides constitue une problématique à part entière. Même si l’on parvenait à supprimer l’effet individuel des substances en réduisant leur concentration en deçà de leur valeur-seuil, l’effet du cumul des pesticides entraînerait encore un risque chronique pour 84 % des prélèvements réalisés dans le cadre de cette étude.

 Un regard nouveau sur les cocktails de pesticides et leurs impacts sur les écosystèmes.

"Cette étude modifie notre regard ; elle met en lumière l’urgence de prendre en compte les cocktails de pesticides et leurs effets sur ces milieux naturels." Karine Bonacina, directrice régionale de l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse.

« Avant cette étude, l’état chimique de ces lagunes était considéré comme « bon » puis qu’aucun des 22 pesticides « prioritaires  » suivis d’ordinaire tous les 3 ans dans le cadre de la directive-cadre sur l’eau ne dépassait sa valeur-seuil, constate Karine Bonacina. Cette étude modifie notre regard ; elle met en lumière l’urgence de prendre en compte les cocktails de pesticides et leurs effets sur ces milieux naturels. Grâce à ces nouvelles données, nous disposons d’informations concrètes pour agir en amont sur les usages des pesticides qu’ils soient d’origine agricole, urbaine ou industrielle ».

Ce nouveau protocole de suivi sera reconduit sur l’ensemble des 10 lagunes de Méditerranée ces prochaines années et pourrait être appliqué à l’avenir aux lagunes et estuaires des autres façades maritimes françaises.

 3 questions à Wilfried Sanchez, directeur scientifique adjoint en charge de la thématique « contaminants et effets sur le milieu marin ». 

Wilfried co-pilote l’expertise collective « Phytopharmaceutiques – Biodiversité – Services Ecosystémiques » 2020-2022 portée par Inrae et l’Ifremer.

479 herbicides, insecticides et fongicides sont autorisés en Europe. Ils sont utilisés pour traiter les parcelles agricoles mais aussi les espaces verts, les terrains de sport ou encore les infrastructures de transport. Une fois répandues, toutes ces substances peuvent gagner le milieu marin, ultime réceptacle des contaminations terrestres, et alors impacter les organismes qui y vivent.

Portrait Wilfried Sanchez© Ifremer/Wilfried SANCHEZ

1. Retrouve-t-on des pesticides dans tous les écosystèmes marins ?

Oui. Et c’est grâce à des moyens de détection toujours plus performants que nous savons aujourd’hui que les pesticides sont présents dans tous les milieux marins. On les retrouve dans des lagunes à des taux suffisants pour générer un risque pour ces écosystèmes confinés, mais aussi plus au large à l’état de traces. Plus surprenant : des molécules de DDT ont été découvertes à plus de 3 000 mètres de profondeur au large de la Californie. Cet insecticide fait partie des pesticides «historiques » interdits d’utilisation depuis parfois plusieurs décennies selon les pays. Persistants, 19 d’entre eux (DDT, lindane, atrazine…)  sont toujours surveillés dans le cadre de la Directive européenne cadre sur l’eau. Le problème est qu’en mer, toutes ces molécules « historiques » et les 479 actuelles peuvent se mélanger.

2. Comment les espèces marines sont-elles affectées par ces substances ?

Les pesticides peuvent affecter la reproduction, le développement ou encore l’immunité des organismes marins. Une étude de l’Ifremer a par exemple montré que le diuron, un herbicide, modifie la structure de l’ADN de l’huître et nuit même à sa descendance. Le développement de ce mollusque est aussi perturbé par le cuivre (fongicide) qui agit sur certains de ses gènes. Plusieurs pesticides étant souvent présents simultanément dans l’environnement marin, ces effets peuvent se cumuler de manière additive (1 + 1 = 2) voire synergique (1 + 1 > 2). À ce cocktail chimique s’ajoutent les métaux, PCB et autres hydrocarbures… Potentiellement présents dans le milieu, ils ont eux aussi des effets nocifs connus sur la biodiversité marine.

3. Que doit-on faire pour en savoir plus sur leurs impacts ?

La recherche avance. Les données sur les effets de ces molécules sont nombreuses. Mais nous avons besoin de dresser un bilan des connaissances disponibles et d’identifier nos lacunes sur le sujet. C’est l’objectif de l’expertise scientifique collective qu'Inrae et l'Ifremer conduisent dans le cadre du plan ECOPHYTO II+, sur les impacts des pesticides sur la biodiversité et les services qu'elle nous rend. Ses conclusions seront rendues en 2022. Sans attendre, nous devons travailler à mieux prendre en compte la réalité de la contamination de l’environnement marin : chaque molécule est souvent présente dans de faibles concentrations, les cocktails chimiques sont variés, leurs effets peuvent se cumuler avec des répercussions en cascade sur les espèces et leur milieu de vie. Mieux comprendre et être capable de reproduire cette complexité dans nos expérimentations est un défi de taille mais essentiel si l’on veut savoir comment agir efficacement à terre pour protéger l’océan.

Comment la crise sanitaire a eu un impact sur la qualité de l'air en 2020 ?

Les premières estimations permettent de voir comment la baisse des activités humaines a permis d'améliorer la qualité de l'air en 2020.

Atmo Occitanie revient sur la situation pour l'année 2020 et pour le premier confinement.

"L’année 2020 est une année de rupture brutale des activités humaines impactant la qualité de l’air : la mobilité, les activités économiques… Les données d’émissions de polluants atmosphériques, les cartographies et les évaluations de population exposée en 2020 intègrent des données d’activités estimées pour 2020. Elles seront actualisées avec les données réelles en 2022. Atmo Occitanie gardera assurément le souvenir d’une année 2020 exceptionnelle. Déstabilisante dans nos vies et nos habitudes quotidiennes, ses conséquences seront durables sur les plans social, économique, psychologique… tout simplement humain.

Herbe, Pelouse, Vert, Été, Nature

Elle nous lance des défis inédits : dans un contexte et des organisations méconnues, nous devons avancer, nous réinventer, nous dépasser.

 

Atmo Occitanie a réagi dès le début de cette crise, dans un esprit de responsabilité, de solidarité et d’efficacité.

Thierry Suaud, Président d’Atmo Occitanie précise :

"Je salue ici la force collective dont Atmo Occitanie a fait preuve, que ce soit de la part des administrateurs, des adhérents et de nos collaborateurs. Nous avons poursuivi l’exercice de nos missions réglementaires de surveillance et d’information. Nous avons continué à construire les perspectives d’évolution de la surveillance vers des missions nouvelles. Nous avons aussi maintenu nos efforts pour défendre et faire progresser un modèle de financement multi-partenarial gage d’indépendance et de transparence. Vous le découvrirez dans ce bilan, la qualité de l’air en 2020 est nettement impactée par la crise sanitaire. Comme lors d’une expérimentation à grande échelle d’un scénario jamais imaginé, nous avons évalué et mesuré l’impact de la disparition quasi-totale de la plupart des activités humaines et de nos déplacements durant la première phase de confinement. Cette année nous rappelle à quel point nos modes de vie quotidiens sont impactants pour la qualité de l’air et plus largement pour l’environnement. Nous aurons à tirer des enseignements de cette période inédite, et d’ores et déjà, à faire preuve d’une certaine humilité en considérant la place de l’homme dans l’écosystème de la vie. "

 

Un état des lieux pour le dioxyde d'azote, l'ozone et les particules

Atmo Occitanie rajoute :

La qualité de l’air en 2020 est nettement impactée par la crise sanitaire. Comme lors d’une expérimentation à grande échelle d’un scénario jamais imaginé, Atmo Occitanie a évalué et mesuré l’impact de la disparition quasi-totale de la plupart des activités humaines et de nos déplacements durant la première phase de confinement.

Cette année nous rappelle à quel point nos modes de vie quotidiens sont impactant pour la qualité de l’air et plus largement pour l’environnement. Nous aurons à tirer des enseignements de cette période inédite, et d’ores et déjà, à faire preuve d’une certaine humilité en considérant la place de l’homme dans l’écosystème de la vie.

 

Atmo Occitanie présente l'ensemble des résultats de la surveillance de la qualité de l'air de la région Occitanie pour l'année 2020

En tenant compte de l'impact de la crise sanitaire sur l'évaluation de la qualité de l'air, ces indicateurs ont été évalués en 2020 sur la base de données d'activités estimées. Ils seront actualisés en 2022, lorsque les données réelles d'activités seront disponibles.

Ce bilan montre les épisodes de pollution dans l'année, le suivi réglementaire des valeurs moyennes annuelles pour les principaux polluants réglementés. Le bilan dispose également d’un zoom sur chaque département.

Armo Occitanie présente aussi les actions et partenariats déployés en région, ainsi que les perspectives pour 2021.

Lire le rapport sur : https://www.atmo-occitanie.org/herault-evaluation-de-la-qualite-de-lair-2020

 

Industrie, Sunrise, Brouillard

Environnement : la production de plastique dans le monde a reculé en 2020

Selon FranceInfo.fr

"Bonne nouvelle pour l'environnement. La production annuelle mondiale de plastique a reculé en 2020, a annoncé jeudi 10 juin l'association européenne des producteurs de plastique. En Europe, où 55 millions de tonnes de plastiques neufs sont sortis des usines l'an passé, le recul de production s'élève à 5,1%, et le phénomène de baisse est encore plus accentué en France, où la production a chuté de 11% en 2020, a précisé jeudi l'association PlasticsEurope."

"Avec 367 millions de tonnes de plastiques produites en 2020................................."

Lire sur : https://www.francetvinfo.fr/sante/environnement-et-sante/environnement-la-production-de-plastique

 

Bouteilles En Plastique, Bouteilles

2021-2022 : Peau-Bleue engage une campagne de recensement des hippocampes de l’étang de Thau !

Mission Hippocampes from FFESSM Occitanie PM on Vimeo.

 
Vous êtes plongeur expérimenté ? Rejoignez l’équipe de plongeurs bénévoles qui  aident Peau Bleue.
Dimanches 13 et 27 juin, ponton de la Bordelaise : 2 occasions de faire connaissance et de vous former au recensement et à la photo-identification des hippocampes.
Pour vous inscrire (niveau 2 et licence FFESSM requis) : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. (Pascal Girard)
Plus d’infos sur le sujet : https://vimeo.com/533941217
Ces deux plongées sont organisées par la FFESSM (Codep 34 et Pyrénées-Méditerranée Ffessm ) en partenariat avec Peau-Bleue et le CPIE Bassin de Thau (Les Sentinelles de la Mer Occitanie ).

Du 4 au 6 juin 2021, vous avez rendez-vous aux jardins !

La 18e édition des Rendez-vous aux jardins, organisée du 4 au 6 juin 2021, a choisi cette année pour thème « La transmission des savoirs ». Cette manifestation est l'occasion de mettre en place des animations : visites guidées, démonstrations de savoir-faire, expositions, promenades musicales, jeux/concours, lectures de textes, poésies, animations théâtrales, etc. Ce ne sont pas moins de 2 300 parcs et jardins, publics ou privés, qui vous invitent partout en France.

D'une durée de 3 jours, cet événement culturel est plus particulièrement dédié le vendredi 4 juin au public scolaire. Les samedi 5 et dimanche 6 juin, les jardins vont s'ouvrir plus largement à tous les publics.Peut être une image de une personne ou plus et texte qui dit ’RENDEZ-VOUS AUX JARDINS VENDREDI 4, SAMEDI 5 ET DIMANCHE 6JUIN 2021 sur le thème "Là transmission des savoirs"’

Le thème de la « transmission des savoirs », initialement prévu en 2020 donne d'un coup de projecteur sur toutes les formes de transmissions des savoirs :

  • la transmission écrite (traités d'art des jardins, plans, modèles de parterres, gravures...) ;
  • la transmission par l'enseignement (blogs ou vidéos pédagogiques) ;
  • la transmission des voyageurs (Compagnons du Tour de France par exemple) ;
  • la transmission enfin grâce aux des guides conférenciers (visites commentées de jardins).

Vous pouvez découvrir le programme complet à l'aide d'une carte dynamique sur le site des Rendez-vous aux jardins. La recherche peut s'effectuer par région en France ou par pays en Europe. Vous pouvez également trouver les événements proches de chez vous ou bien taper directement votre requête si vous connaissez le lieu ou le jardin choisi.

Premières participations et ouvertures exceptionnelles

Pour la première fois ou à titre exceptionnel, de nouveaux jardins participent aux Rendez-vous aux jardins. Entre jardin de curé, parc dessiné au XVIIe siècle, jardin de création récente, jardin vivrier ou de plantes aromatiques, ces nouveaux participants illustrent la richesse et la diversité du patrimoine vert sur l'ensemble du territoire.

Les Rendez-vous aux jardins sont organisés par le ministère de la Culture et mis en œuvre par les directions régionales des affaires culturelles.

  A noter : En 2019, deux millions de visiteurs ont participé à cette grande fête des jardins et plus de 3 000 jardins ont ouvert leurs portes dont 2 300 en France et 600 dans les autres pays européens participants.

COMMENT PROTÉGER LES ABEILLES ?

 

Le saviez-vous ? 80% des fruits et légumes que nous consommons dépendent directement des abeilles et autres pollinisateurs
Pourtant elles disparaissent massivement.. Pour les protéger, découvrez 6 petits gestes du quotidien à mettre en place chez vous : https://bit.ly/3tDKj3k

Oiseaux : 30 ans de suivi en France : le déclin atteint moins 30 %

Selon : 30 millions d'amis : 30 ans de suivi des oiseaux en France : le déclin atteint moins 30 % pour les espèces des milieux urbains et agricoles !

30 millions d'amis précise :

"Oiseaux des villes et des champs voient leurs populations s'effondrer à cause des activités humaines, alertent la Ligue de Protection des Oiseaux – partenaire de la Fondation 30 Millions d’Amis –, le Muséum national d’Histoire naturelle et l’Office français de la biodiversité. Un constat issu de 30 ans de suivi participatif dans l’hexagone.

Pas de quoi siffler comme un merle ?"

Lire l'article de 30 Millions d'amis sur : https://www.30millionsdamis.fr/actualites/article/21036-30-ans-de-suivi-des-oiseaux-en-france

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Pixabay Chardonneret

Bulletin hebdomadaire EID Moustiques du 24 mai au 30 mai 2021 dans La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée.

 
 Au cours de la semaine du 24 mai 2021 :
Le niveau des populations de moustiques communs issus des zones humides littorales et rétro-littorales a augmenté, globalement, plus particulièrement sur certains secteurs proches des territoires non contrôlés, où le ressenti en zones agglomérées pourrait être significatif lors de journées clémentes.
Au cours de la semaine du 24 mai, quelques traitements ont été mis en œuvre sur plus de 100 hectares de zones humides, portant le total actuel en 2021 à près de 8 800 hectares.
Les traitements en ville visant l’espèce Culex pipiens ont concerné 3 400 avaloirs, soit un total de 6 700, à ce jour, en 2021.
On observe également des nuisances diurnes intradomiciliaires liées aux moustiques-tigres (Aedes albopictus).
 
 
 À compter du 31 mai 2021 :
Les vents de mer pourraient favoriser le déplacement des moustiques des marais et ainsi générer des nuisances localisées sur d’autres secteurs.Département de l' Hérault :
 
Toujours un bruit de fond lié aux moustiques « ruraux », qui ne se déplacent pas vraiment. Peu de risque de nuisance sur l’ensemble de la zone d’action, hormis la proximité immédiate des zones à fortes irrigations, où quelques moustiques adultes pourraient être ressentis. En ville, on observe les premières apparitions de moustiques-tigres Aedes albopictus.Peut être une image de carte et texte qui dit ’EID MÉDITERRANÉE Certifé Risque de nuisance liée aux moustiques- 2021 du 31 mai au juin Montpellier Aigues- Mortes Béziers Saint-Chamaş Narbonne Port-Saint-Louis-du-Rhone Port-Saint-Lo du-Rhône EUD Perpignan 10 20 30 40 Communes de la zone d'action de I'EID Méditerranée Risque de nuisance en zone agglomérées Faible Moyen Fort 50km’