Projection de films d'artistes au Musée Fabre
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Ses œuvres remarquables sont présentées dans les 5 salles dédiées au peintre au musée Fabre grâce à l’exceptionnelle donation de 25 oeuvres consenties par Pierre et Colette Soulages en 2005. Pour l’occasion, les œuvres de l’artiste seront introduites par les mots et les tableaux de ses amis, artistes et écrivains.
Enfin, « Un portrait de l'artiste », connue pour ses tableaux abstraits aux nuances infinies de noir, sera accroché sur la façade et un registre de condoléances sera mis à disposition du public à l’entrée du Musée.
Par la superposition, la strate, ils invoquent tour à tour la broderie, la photographie, la peinture, le montage, la gravure ou encore le transfert. Ce sont des images poétiques, souvent à la jonction entre artisanat, design et art. Le titre, explicite, évoque un ailleurs idéal comme un commentaire sur le présent.
Vernissage jeudi 27 octobre 2022 à 18h30
Le titre de l'exposition, "Utopies, collages contemporains", fait office de manifeste. Comme pour commenter et détourner la fin des utopies comme des illusions, les œuvres du collectif éveillent les imaginations. Ils réactualisent la possibilité d'un monde meilleur.
Chacun s’est approprié la technique du collage en explorant diverses façons de composer, tresser, ajourer et juxtaposer le papier, les images, les textiles et autres matériaux recyclés. Poétiques, sensibles, leurs images imaginent un monde propice aux rêves. L’action de coller est aussi pour eux une manière de contester la définition traditionnelle de l'œuvre d’art tout en abordant des problématiques sociales, poétiques, politiques et psychologiques.
« Une partie de l’exposition sera consacrée à l’exploitation d’éléments laissés par les visiteurs dans une boîte à idées. Les artistes travaillent in situ avec les fragments recueillis pour créer et tisser un lien avec le public. Les œuvres issues de ce processus de création seront présentées le temps de l’exposition ainsi que sur les réseaux sociaux. » Le collectif Fragments
Fragments, le nom du collectif, affirme leur besoin de poser un regard sur le monde et sur notre temps. L’humain est au centre de leurs préoccupations. Les différents parcours de chaque artiste les ont amenés à se rencontrer lors de précédents événements tels que les expositions "Collages" à la Galerie N°5, à Montpellier en 2016 et "Pierre Feuille Ciseaux" chez Régal, à Montpellier en 2021. L’exposition "Utopies", à l’Espace Saint-Ravy, donne sa première impulsion au jeune collectif Montpelliérain.
« Dans cette série, j’utilise des nuanciers de peintures. Je m’approprie l’objet de l’architecte, en tant qu’artiste. En les intégrant dans mes compositions, comme support des mises en scène, je cherche à donner à ces rectangles colorés ultra standardisés une nouvelle dimension, plus sensible. Chaque collage est unique, qu’importe sa référence colorimétrique. Ces déclinaisons de collages, ludiques et colorés, traitent également d’inclusion. Si chaque couleur incarnait un individu, le nuancier me plaît car il n’a de sens qu’en unissant ces couleurs, comme un livre, une palette. Comme un fragment du collage, on existe en tant qu’individu, et on s’unit pour explorer d’autres dimensions. » Lucie Adélaïde
« Avec la série des Horloges intemporelles, Les Jours Glabres, j’interroge des thèmes qui sont récurrents dans ma démarche comme la perception de l’éphémère, du souvenir, du manque, de la trace, de l’absence. Le collage se compose intégralement toutes les 12 heures à une heure décidée en fonction de la symbolique que vous souhaitez lui donner. » Aurélie Buridans
« Mon projet d’exposition pour l’Espace Saint-Ravy s’oriente principalement autour de ma série Biomorphes. Cette série décline des figures chimériques, des êtres hybrides composés d’éléments issus du vivant, de paysages mentaux qui projettent un monde nouveau et qui abordent intrinsèquement cette idée d’utopie qui est au cœur de l’humain et de la pratique même du collage : créer ce qui n’existe pas. » Seb.M
« La série présentée pour l’exposition est en ensemble de collages sur des couvertures de livres. J’y recrée un paysage imaginaire inspiré par l'étymologie du mot Utopie = U (non) Topos (Lieu) : un lieu qui n'existe pas. » Julia Dutriez
« Avec un style minimaliste, j’entends représenter de petites histoires, où les protagonistes des collages sont déracinés de leur contexte naturel pour se réincarner dans une réalité parallèle, décontextualisée, imaginative et surréaliste. » Papa Lawrence
« Le projet développé à l’occasion de l’exposition s’intitule La ola del lobo. Cette série de collages mobilise le concept d'utopie à partir d’une réflexion autour de la notion de mémoire et son rapport à l’image photographique. Ici, elle est envisagée comme un acte de reconstitution de la mémoire, ou même du présent pour accéder à l'espace utopique. Cette composition intermédiaire qui ne relève ni de la peinture ni de l’image photographique remet en question la surproduction d’images que l’on trouve sur les réseaux sociaux. » Jareth Figueroa
« C’est naturellement que j’ai rejoint le collectif du même nom. « Il y a une utopie concrète à s’exposer collectivement dans cette période assez égocentrique où la compétition entre individus tient lieu de manifeste artistique. Les quatre œuvres que je présente, Happy ? Not happy ?, Faut-il alerter les bébés ?, Showroom des écosystèmes, Comprar unicònios com bitcoins illustrent sans la paraphraser cette thématique utopique. » bobie
« Le projet pour l'exposition est une série de trois pièces intitulée Faire. Ces pièces sont composées des images que j'ai prises lors d'une résidence artistique dans les Cévennes, ancien territoire industriel textile, aujourd'hui devenu un parc peuplé de jeunes arbres. C’est une série faite de gestes, de temps et de rythmes silencieux. Avec ce travail, je cherche à interroger une société « réflexive » qui a oublié que le « faire », que l'usage de nos mains est une dimension à prendre en compte pour construire l'avenir, en changeant nos échelles de valeurs contemporaines. » Amanda Goicovic
« Lorsque je voyage avec mon Afghan Box, un appareil photo en bois incluant en son corps un labo de développement, chaque personne rencontrée et photographiée devient dès lors partie intégrante de ce studio nomade. En parallèle, je récolte, au fil de mes pérégrinations, de la matière (journaux, emballage, tickets…) afin de créer, grâce au collage, des fonds pour les portraits réalisés à l’Afghan Box. Cela permet de mieux mettre en valeur le sujet photographié et son identité. » Adrien Tache
« Les artistes travaillent in situ avec les fragments recueillis pour créer et tisser un lien avec le public. Les œuvres issues de ce processus de création seront présentées le temps de l’exposition ainsi que sur les réseaux sociaux. » Le collectif Fragments
Par la superposition, la strate, ils invoquent tour à tour la broderie, la photographie, la peinture, le montage, la gravure ou encore le transfert. Ce sont des images poétiques, souvent à la jonction entre artisanat, design et art. Le titre, explicite, évoque un ailleurs idéal comme un commentaire sur le présent.
Vernissage jeudi 27 octobre 2022 à 18h30
Le titre de l'exposition, "Utopies, collages contemporains", fait office de manifeste. Comme pour commenter et détourner la fin des utopies comme des illusions, les œuvres du collectif éveillent les imaginations. Ils réactualisent la possibilité d'un monde meilleur.
Chacun s’est approprié la technique du collage en explorant diverses façons de composer, tresser, ajourer et juxtaposer le papier, les images, les textiles et autres matériaux recyclés. Poétiques, sensibles, leurs images imaginent un monde propice aux rêves. L’action de coller est aussi pour eux une manière de contester la définition traditionnelle de l'œuvre d’art tout en abordant des problématiques sociales, poétiques, politiques et psychologiques.
« Une partie de l’exposition sera consacrée à l’exploitation d’éléments laissés par les visiteurs dans une boîte à idées. Les artistes travaillent in situ avec les fragments recueillis pour créer et tisser un lien avec le public. Les œuvres issues de ce processus de création seront présentées le temps de l’exposition ainsi que sur les réseaux sociaux. » Le collectif Fragments
Fragments, le nom du collectif, affirme leur besoin de poser un regard sur le monde et sur notre temps. L’humain est au centre de leurs préoccupations. Les différents parcours de chaque artiste les ont amenés à se rencontrer lors de précédents événements tels que les expositions "Collages" à la Galerie N°5, à Montpellier en 2016 et "Pierre Feuille Ciseaux" chez Régal, à Montpellier en 2021. L’exposition "Utopies", à l’Espace Saint-Ravy, donne sa première impulsion au jeune collectif Montpelliérain.
« Dans cette série, j’utilise des nuanciers de peintures. Je m’approprie l’objet de l’architecte, en tant qu’artiste. En les intégrant dans mes compositions, comme support des mises en scène, je cherche à donner à ces rectangles colorés ultra standardisés une nouvelle dimension, plus sensible. Chaque collage est unique, qu’importe sa référence colorimétrique. Ces déclinaisons de collages, ludiques et colorés, traitent également d’inclusion. Si chaque couleur incarnait un individu, le nuancier me plaît car il n’a de sens qu’en unissant ces couleurs, comme un livre, une palette. Comme un fragment du collage, on existe en tant qu’individu, et on s’unit pour explorer d’autres dimensions. » Lucie Adélaïde
« Avec la série des Horloges intemporelles, Les Jours Glabres, j’interroge des thèmes qui sont récurrents dans ma démarche comme la perception de l’éphémère, du souvenir, du manque, de la trace, de l’absence. Le collage se compose intégralement toutes les 12 heures à une heure décidée en fonction de la symbolique que vous souhaitez lui donner. » Aurélie Buridans
« Mon projet d’exposition pour l’Espace Saint-Ravy s’oriente principalement autour de ma série Biomorphes. Cette série décline des figures chimériques, des êtres hybrides composés d’éléments issus du vivant, de paysages mentaux qui projettent un monde nouveau et qui abordent intrinsèquement cette idée d’utopie qui est au cœur de l’humain et de la pratique même du collage : créer ce qui n’existe pas. » Seb.M
« La série présentée pour l’exposition est en ensemble de collages sur des couvertures de livres. J’y recrée un paysage imaginaire inspiré par l'étymologie du mot Utopie = U (non) Topos (Lieu) : un lieu qui n'existe pas. » Julia Dutriez
« Avec un style minimaliste, j’entends représenter de petites histoires, où les protagonistes des collages sont déracinés de leur contexte naturel pour se réincarner dans une réalité parallèle, décontextualisée, imaginative et surréaliste. » Papa Lawrence
« Le projet développé à l’occasion de l’exposition s’intitule La ola del lobo. Cette série de collages mobilise le concept d'utopie à partir d’une réflexion autour de la notion de mémoire et son rapport à l’image photographique. Ici, elle est envisagée comme un acte de reconstitution de la mémoire, ou même du présent pour accéder à l'espace utopique. Cette composition intermédiaire qui ne relève ni de la peinture ni de l’image photographique remet en question la surproduction d’images que l’on trouve sur les réseaux sociaux. » Jareth Figueroa
« C’est naturellement que j’ai rejoint le collectif du même nom. « Il y a une utopie concrète à s’exposer collectivement dans cette période assez égocentrique où la compétition entre individus tient lieu de manifeste artistique. Les quatre œuvres que je présente, Happy ? Not happy ?, Faut-il alerter les bébés ?, Showroom des écosystèmes, Comprar unicònios com bitcoins illustrent sans la paraphraser cette thématique utopique. » bobie
« Le projet pour l'exposition est une série de trois pièces intitulée Faire. Ces pièces sont composées des images que j'ai prises lors d'une résidence artistique dans les Cévennes, ancien territoire industriel textile, aujourd'hui devenu un parc peuplé de jeunes arbres. C’est une série faite de gestes, de temps et de rythmes silencieux. Avec ce travail, je cherche à interroger une société « réflexive » qui a oublié que le « faire », que l'usage de nos mains est une dimension à prendre en compte pour construire l'avenir, en changeant nos échelles de valeurs contemporaines. » Amanda Goicovic
« Lorsque je voyage avec mon Afghan Box, un appareil photo en bois incluant en son corps un labo de développement, chaque personne rencontrée et photographiée devient dès lors partie intégrante de ce studio nomade. En parallèle, je récolte, au fil de mes pérégrinations, de la matière (journaux, emballage, tickets…) afin de créer, grâce au collage, des fonds pour les portraits réalisés à l’Afghan Box. Cela permet de mieux mettre en valeur le sujet photographié et son identité. » Adrien Tache
« Les artistes travaillent in situ avec les fragments recueillis pour créer et tisser un lien avec le public. Les œuvres issues de ce processus de création seront présentées le temps de l’exposition ainsi que sur les réseaux sociaux. » Le collectif Fragments
ARPAC : Exposition de Jean Marc SAULNIER du 7 au 30 octobre 2022
Les récits des témoins de l’époque et de leurs descendants seront présentés sur 6 tryptiques installés sur le parvis de l’Hôtel de Ville. Anciens élus, personnalités de la société civile ou simples citoyens, ils racontent l’expérience traumatisante de l’exil, ainsi que leur installation à Montpellier. Côté institutions, l’exploitation des Archives municipales, ainsi que les contributions de l’INA et des Archives départementales, permettront de saisir la complexité de la situation pour la municipalité, ainsi que son implication pour venir en aide à ces populations.
Cette exposition a pour vocation de transmettre cette mémoire aux jeunes générations. Elle doit permettre une meilleure compréhension de cet épisode historique, en remontant le fil des témoignages individuels pour ensuite mieux appréhender ses conséquences locales à travers des documents d’archives. L’exposition « C’était l’année 62, Mémoires d’exil, histoires d’hospitalités » vient en complément aux différents événements culturels et commémoratifs proposés durant cette année par la Ville de Montpellier (subventions mémorielles pour les cimetières européens en Algérie, cycle de conférences, supplément rédactionnel « Autre rive, autre vies », repas des associations).
Pour annoncer cette exposition et continuer d’explorer cette histoire qui relie les deux rives de la Méditerranée, la compagnie « Action d’espace » présentera son spectacle itinérant « Les Fils des hommes », le vendredi 16 septembre à 17h, place du Nombre d’Or. Il s’agit d’un déambulation théâtrale dans l’espace public réalisée par deux comédiens, qui jouent avec un cube rouge et le décor urbain, dans le but d’aborder les tabous de la mémoire existants autour de la guerre d’Algérie.
Après les accords d’Evian, plus de 800 000 Français d’Algérie arrivent en métropole dans des conditions dramatiques. La situation des familles harkies qui ont pu suivre le même chemin (enlever les virgules) est encore plus difficile. À son échelle, Montpellier s’efforce de les accueillir au mieux, dans l’urgence. Cette politique volontariste de la municipalité lui permettra ensuite, en prenant appui sur cet afflux de population qui dynamise la région, d’accélérer son développement, jusqu’à devenir capitale régionale. Grâce à l’exposition « Mémoires d’exil, histoires d’hospitalité », revivez ou découvrez cet épisode historique en remontant le fil des témoignages individuels, pour ensuite mieux appréhender ses conséquences locales à travers des documents d’archives.
C'était l'année 62 : mémoires d'exil, histoires d'hospitalité
À l’occasion des commémorations du 60e anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie, la Ville de Montpellier et Montpellier Méditerranée Métropole organisent tout au long de l’année 2022 des rencontres, expositions, projections, recueils de témoignages, éditions…
Les récits des témoins de l’époque et de leurs descendants seront présentés sur 6 tryptiques installés sur le parvis de l’Hôtel de Ville et dans la salle Danielle Mitterrand. Anciens élus, personnalités de la société civile ou simples citoyens, ils racontent l’expérience traumatisante de l’exil, ainsi que leur installation à Montpellier. Côté institutions, l’exploitation des Archives municipales, ainsi que les contributions de l’INA et des Archives départementales, permettront de saisir la complexité de la situation pour la municipalité, ainsi que son implication pour venir en aide à ces populations.
Cette exposition a pour vocation de transmettre cette mémoire aux jeunes générations. Elle doit permettre une meilleure compréhension de cet épisode historique, en remontant le fil des témoignages individuels pour ensuite mieux appréhender ses conséquences locales à travers des documents d’archives. L’exposition vient en complément aux différents événements culturels et commémoratifs proposés durant cette année par la Ville de Montpellier (subventions mémorielles pour les cimetières européens en Algérie, cycle de conférences, supplément rédactionnel « Autre rive, autre vies », repas des associations).
Inauguration de l'exposition " samedi 17 septembre 2022 à 12h en présence de Michaël Delafosse et de Patricia Miralles.
Entrée libre
« Je n'étais jamais venu en métropole auparavant [...]
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« À Montpellier, l'accueil était meilleur qu'ailleurs pour les rapatriés »
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« Avant l'arrivée des rapatriés, il n'y avait pas de restauration rapide en centre-ville [...]
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Un magazine spécial a été édité par la Ville de Montpellier pour rappeler que l’histoire des rapatriés et des harkis est liée à notre territoire. Le témoignage de leur arrivée nous plonge 60 ans dans le passé, et nous invite aussi à mieux construire notre avenir.
Bonne lecture !
Pour annoncer cette exposition et continuer d’explorer cette histoire qui relie les deux rives de la Méditerranée, la compagnie « Action d’espace » présentera son spectacle itinérant « Les Fils des hommes », le vendredi 16 septembre à 17h, place du Nombre d’Or.
Il s’agit d’une déambulation théâtrale dans l’espace public réalisée par deux comédiens, qui jouent avec un cube rouge et le décor urbain, dans le but d’aborder les tabous de la mémoire existants autour de la guerre d’Algérie.
GRATUIT - en libre accès Exposition : Feu ! - 6ème salon Art Nature Contemporain Du 10 septembre au 9 octobre Le feu objet de tous les paradoxes : il réchauffe et réconforte, guérit, purifie….Il vient de la terre, de l’atome. Le feu, objet de fascinations, de créations, de sentiments les plus fous, de l’évolution humaine… mais aussi le feu à l’origine de destructions environnementales importantes, causes et conséquences du changement climatique. Eteignons le feu, « rallumons la flamme » de nos consciences pour pouvoir retrouver un monde plus accueillant. Vernissage le vendredi 9 septembre à 18h30 Exposition de l’Artothèque Exposition au rez-de-chaussée du château Horaires : Du lundi au vendredi : 8h30 à 12h30 et 13h30 à 17h30 Le week-end : 14h à 18h (et 17h30 à partir de fin octobre) Fermeture les jours fériés Vous ne voulez rien manquer de notre programmation, notre actualité : inscrivez-vous à notre newsletter en quelques clics sur le site internet : http://domainederestinclieres.herault.fr
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