Exposition « Utopies, collages contemporains » du 28 octobre au 20 novembre 2022 à l'espace Saint-Ravy

L'Espace Saint-Ravy a le plaisir d'accueillir l’exposition du collectif Fragments composé de neuf artistes : Julia Dutriez - Lucie Adélaïde - Aurélie Buridans - Jareth Figueroa - Seb.M - Adrien Tache - Amanda Goicovic - bobie - Papa Lawrence, créé en 2021. Ces derniers possèdent des profils, des récits et des horizons différents mais se réunissent autour de la pratique du collage. C’est la première fois que le groupe d’artistes expose ensemble. Ils envisagent une oeuvre in situ réalisée avec l’aide des visiteurs. De nombreux projets sont produits pour l’exposition et sont donc montrés pour la première fois.
Exposition « Utopies, collages contemporains » du 28 octobre au 20 novembre 2022 à l'espace Saint-RavyVoir l'image en grand

Par la superposition, la strate, ils invoquent tour à tour la broderie, la photographie, la peinture, le montage, la gravure ou encore le transfert. Ce sont des images poétiques, souvent à la jonction entre artisanat, design et art. Le titre, explicite, évoque un ailleurs idéal comme un commentaire sur le présent.

Vernissage jeudi 27 octobre 2022 à 18h30

Le titre de l'exposition, "Utopies, collages contemporains", fait office de manifeste. Comme pour commenter et détourner la fin des utopies comme des illusions, les œuvres du collectif éveillent les imaginations. Ils réactualisent la possibilité d'un monde meilleur.

Chacun s’est approprié la technique du collage en explorant diverses façons de composer, tresser, ajourer et juxtaposer le papier, les images, les textiles et autres matériaux recyclés. Poétiques, sensibles, leurs images imaginent un monde propice aux rêves. L’action de coller est aussi pour eux une manière de contester la définition traditionnelle de l'œuvre d’art tout en abordant des problématiques sociales, poétiques, politiques et psychologiques.

« Une partie de l’exposition sera consacrée à l’exploitation d’éléments laissés par les visiteurs dans une boîte à idées. Les artistes travaillent in situ avec les fragments recueillis pour créer et tisser un lien avec le public. Les œuvres issues de ce processus de création seront présentées le temps de l’exposition ainsi que sur les réseaux sociaux. » Le collectif Fragments

Fragments, le nom du collectif, affirme leur besoin de poser un regard sur le monde et sur notre temps. L’humain est au centre de leurs préoccupations. Les différents parcours de chaque artiste les ont amenés à se rencontrer lors de précédents événements tels que les expositions "Collages" à la Galerie N°5, à Montpellier en 2016 et "Pierre Feuille Ciseaux" chez Régal, à Montpellier en 2021. L’exposition "Utopies", à l’Espace Saint-Ravy, donne sa première impulsion au jeune collectif Montpelliérain.

« Dans cette série, j’utilise des nuanciers de peintures. Je m’approprie l’objet de l’architecte, en tant qu’artiste. En les intégrant dans mes compositions, comme support des mises en scène, je cherche à donner à ces rectangles colorés ultra standardisés une nouvelle dimension, plus sensible. Chaque collage est unique, qu’importe sa référence colorimétrique. Ces déclinaisons de collages, ludiques et colorés, traitent également d’inclusion. Si chaque couleur incarnait un individu, le nuancier me plaît car il n’a de sens qu’en unissant ces couleurs, comme un livre, une palette. Comme un fragment du collage, on existe en tant qu’individu, et on s’unit pour explorer d’autres dimensions. » Lucie Adélaïde

« Avec la série des Horloges intemporelles, Les Jours Glabres, j’interroge des thèmes qui sont récurrents dans ma démarche comme la perception de l’éphémère, du souvenir, du manque, de la trace, de l’absence. Le collage se compose intégralement toutes les 12 heures à une heure décidée en fonction de la symbolique que vous souhaitez lui donner. » Aurélie Buridans

« Mon projet d’exposition pour l’Espace Saint-Ravy s’oriente principalement autour de ma série Biomorphes. Cette série décline des figures chimériques, des êtres hybrides composés d’éléments issus du vivant, de paysages mentaux qui projettent un monde nouveau et qui abordent intrinsèquement cette idée d’utopie qui est au cœur de l’humain et de la pratique même du collage : créer ce qui n’existe pas. » Seb.M

« La série présentée pour l’exposition est en ensemble de collages sur des couvertures de livres. J’y recrée un paysage imaginaire inspiré par l'étymologie du mot Utopie = U (non) Topos (Lieu) : un lieu qui n'existe pas. » Julia Dutriez

« Avec un style minimaliste, j’entends représenter de petites histoires, où les protagonistes des collages sont déracinés de leur contexte naturel pour se réincarner dans une réalité parallèle, décontextualisée, imaginative et surréaliste. » Papa Lawrence

« Le projet développé à l’occasion de l’exposition s’intitule La ola del lobo. Cette série de collages mobilise le concept d'utopie à partir d’une réflexion autour de la notion de mémoire et son rapport à l’image photographique. Ici, elle est envisagée comme un acte de reconstitution de la mémoire, ou même du présent pour accéder à l'espace utopique. Cette composition intermédiaire qui ne relève ni de la peinture ni de l’image photographique remet en question la surproduction d’images que l’on trouve sur les réseaux sociaux. » Jareth Figueroa

« C’est naturellement que j’ai rejoint le collectif du même nom. « Il y a une utopie concrète à s’exposer collectivement dans cette période assez égocentrique où la compétition entre individus tient lieu de manifeste artistique. Les quatre œuvres que je présente, Happy ? Not happy ?, Faut-il alerter les bébés ?, Showroom des écosystèmes, Comprar unicònios com bitcoins illustrent sans la paraphraser cette thématique utopique. » bobie

« Le projet pour l'exposition est une série de trois pièces intitulée Faire. Ces pièces sont composées des images que j'ai prises lors d'une résidence artistique dans les Cévennes, ancien territoire industriel textile, aujourd'hui devenu un parc peuplé de jeunes arbres. C’est une série faite de gestes, de temps et de rythmes silencieux. Avec ce travail, je cherche à interroger une société « réflexive » qui a oublié que le « faire », que l'usage de nos mains est une dimension à prendre en compte pour construire l'avenir, en changeant nos échelles de valeurs contemporaines. » Amanda Goicovic

« Lorsque je voyage avec mon Afghan Box, un appareil photo en bois incluant en son corps un labo de développement, chaque personne rencontrée et photographiée devient dès lors partie intégrante de ce studio nomade. En parallèle, je récolte, au fil de mes pérégrinations, de la matière (journaux, emballage, tickets…) afin de créer, grâce au collage, des fonds pour les portraits réalisés à l’Afghan Box. Cela permet de mieux mettre en valeur le sujet photographié et son identité. » Adrien Tache

« Les artistes travaillent in situ avec les fragments recueillis pour créer et tisser un lien avec le public. Les œuvres issues de ce processus de création seront présentées le temps de l’exposition ainsi que sur les réseaux sociaux. » Le collectif Fragments

Biographies

  • Lucie Adélaïde, née en 1990 à Tulle, n’a cessé de parcourir le sud de la France avec sa famille pour retrouver l’Hérault à l’adolescence. Sensible au monde artistique, elle se lance dans les études d’architecture et est diplômée en 2013. Ce parcours lui permet de s’éveiller à l’art contemporain.
  • Papa Lawrence, né à Milan, est installé à Montpellier depuis plus de trois ans après un Master en design de communication au Politecnico de Milan.
  • Aurélie Buridans, née en 1976 à Montpellier, mène sa carrière d’artiste, de directrice artistique freelance et de professeure à l’école ESMA (École Supérieure des Métiers Artistiques) de Montpellier. bobie (Yves Bommenel), né en Provence en 1969, travaille depuis trente ans dans la culture tout en explorant différentes formes d’expressions artistiques de manière autodidacte (textes, images, sons). Il vit à Montpellier.
  • Bobie, né en Provence en 1969, travaille depuis trente ans dans la culture tout en menant une carrière d'artiste. Il vit à Montpellier. »
  • Julie Dutriez, née en 1978 à Montpellier, est productrice freelance. Elle a étudié l’histoire de l’art à l'Ecole du Louvre de Paris.
  • Jareh Figueroa, diplômée de la Faculté des arts et du design à Mexico, vit en France depuis 2019.
  • Amanda Goicovic s’est orientée vers les arts plastiques à la fin de ses études de Commerce International dans son pays d’origine, le Chili. Elle poursuit à Montpellier ses études par un master en Arts Plastiques. Depuis 2019, elle développe une thèse de recherche-création intitulée Arts textiles : un univers paradoxal entre industrie, arts et artisanat à l'Université Paul Valéry à Montpellier.
  • Sébastien Masse, né en 1970 à Marseille, est diplômé d'un DEA d'Histoire de l'art. Il vit et travaille
  • à Montpellier.
  • Adrien Tache, né en 1990 à Montpellier, a commencé́ à se former en autodidacte à la photographie dès l'âge de 16 ans.

Exposition « Utopies, collages contemporains » du 28 octobre au 20 novembre 2022 à l'espace Saint-Ravy


L'Espace Saint-Ravy a le plaisir d'accueillir l’exposition du collectif Fragments composé de neuf artistes : Julia Dutriez - Lucie Adélaïde - Aurélie Buridans - Jareth Figueroa - Seb.M - Adrien Tache - Amanda Goicovic - bobie - Papa Lawrence, créé en 2021. Ces derniers possèdent des profils, des récits et des horizons différents mais se réunissent autour de la pratique du collage. C’est la première fois que le groupe d’artistes expose ensemble. Ils envisagent une oeuvre in situ réalisée avec l’aide des visiteurs. De nombreux projets sont produits pour l’exposition et sont donc montrés pour la première fois.
 
 
Exposition « Utopies, collages contemporains » du 28 octobre au 20 novembre 2022 à l'espace Saint-RavyVoir l'image en grand

Par la superposition, la strate, ils invoquent tour à tour la broderie, la photographie, la peinture, le montage, la gravure ou encore le transfert. Ce sont des images poétiques, souvent à la jonction entre artisanat, design et art. Le titre, explicite, évoque un ailleurs idéal comme un commentaire sur le présent.

Vernissage jeudi 27 octobre 2022 à 18h30

Le titre de l'exposition, "Utopies, collages contemporains", fait office de manifeste. Comme pour commenter et détourner la fin des utopies comme des illusions, les œuvres du collectif éveillent les imaginations. Ils réactualisent la possibilité d'un monde meilleur.

Chacun s’est approprié la technique du collage en explorant diverses façons de composer, tresser, ajourer et juxtaposer le papier, les images, les textiles et autres matériaux recyclés. Poétiques, sensibles, leurs images imaginent un monde propice aux rêves. L’action de coller est aussi pour eux une manière de contester la définition traditionnelle de l'œuvre d’art tout en abordant des problématiques sociales, poétiques, politiques et psychologiques.

« Une partie de l’exposition sera consacrée à l’exploitation d’éléments laissés par les visiteurs dans une boîte à idées. Les artistes travaillent in situ avec les fragments recueillis pour créer et tisser un lien avec le public. Les œuvres issues de ce processus de création seront présentées le temps de l’exposition ainsi que sur les réseaux sociaux. » Le collectif Fragments

Fragments, le nom du collectif, affirme leur besoin de poser un regard sur le monde et sur notre temps. L’humain est au centre de leurs préoccupations. Les différents parcours de chaque artiste les ont amenés à se rencontrer lors de précédents événements tels que les expositions "Collages" à la Galerie N°5, à Montpellier en 2016 et "Pierre Feuille Ciseaux" chez Régal, à Montpellier en 2021. L’exposition "Utopies", à l’Espace Saint-Ravy, donne sa première impulsion au jeune collectif Montpelliérain.

« Dans cette série, j’utilise des nuanciers de peintures. Je m’approprie l’objet de l’architecte, en tant qu’artiste. En les intégrant dans mes compositions, comme support des mises en scène, je cherche à donner à ces rectangles colorés ultra standardisés une nouvelle dimension, plus sensible. Chaque collage est unique, qu’importe sa référence colorimétrique. Ces déclinaisons de collages, ludiques et colorés, traitent également d’inclusion. Si chaque couleur incarnait un individu, le nuancier me plaît car il n’a de sens qu’en unissant ces couleurs, comme un livre, une palette. Comme un fragment du collage, on existe en tant qu’individu, et on s’unit pour explorer d’autres dimensions. » Lucie Adélaïde

« Avec la série des Horloges intemporelles, Les Jours Glabres, j’interroge des thèmes qui sont récurrents dans ma démarche comme la perception de l’éphémère, du souvenir, du manque, de la trace, de l’absence. Le collage se compose intégralement toutes les 12 heures à une heure décidée en fonction de la symbolique que vous souhaitez lui donner. » Aurélie Buridans

« Mon projet d’exposition pour l’Espace Saint-Ravy s’oriente principalement autour de ma série Biomorphes. Cette série décline des figures chimériques, des êtres hybrides composés d’éléments issus du vivant, de paysages mentaux qui projettent un monde nouveau et qui abordent intrinsèquement cette idée d’utopie qui est au cœur de l’humain et de la pratique même du collage : créer ce qui n’existe pas. » Seb.M

« La série présentée pour l’exposition est en ensemble de collages sur des couvertures de livres. J’y recrée un paysage imaginaire inspiré par l'étymologie du mot Utopie = U (non) Topos (Lieu) : un lieu qui n'existe pas. » Julia Dutriez

« Avec un style minimaliste, j’entends représenter de petites histoires, où les protagonistes des collages sont déracinés de leur contexte naturel pour se réincarner dans une réalité parallèle, décontextualisée, imaginative et surréaliste. » Papa Lawrence

« Le projet développé à l’occasion de l’exposition s’intitule La ola del lobo. Cette série de collages mobilise le concept d'utopie à partir d’une réflexion autour de la notion de mémoire et son rapport à l’image photographique. Ici, elle est envisagée comme un acte de reconstitution de la mémoire, ou même du présent pour accéder à l'espace utopique. Cette composition intermédiaire qui ne relève ni de la peinture ni de l’image photographique remet en question la surproduction d’images que l’on trouve sur les réseaux sociaux. » Jareth Figueroa

« C’est naturellement que j’ai rejoint le collectif du même nom. « Il y a une utopie concrète à s’exposer collectivement dans cette période assez égocentrique où la compétition entre individus tient lieu de manifeste artistique. Les quatre œuvres que je présente, Happy ? Not happy ?, Faut-il alerter les bébés ?, Showroom des écosystèmes, Comprar unicònios com bitcoins illustrent sans la paraphraser cette thématique utopique. » bobie

« Le projet pour l'exposition est une série de trois pièces intitulée Faire. Ces pièces sont composées des images que j'ai prises lors d'une résidence artistique dans les Cévennes, ancien territoire industriel textile, aujourd'hui devenu un parc peuplé de jeunes arbres. C’est une série faite de gestes, de temps et de rythmes silencieux. Avec ce travail, je cherche à interroger une société « réflexive » qui a oublié que le « faire », que l'usage de nos mains est une dimension à prendre en compte pour construire l'avenir, en changeant nos échelles de valeurs contemporaines. » Amanda Goicovic

« Lorsque je voyage avec mon Afghan Box, un appareil photo en bois incluant en son corps un labo de développement, chaque personne rencontrée et photographiée devient dès lors partie intégrante de ce studio nomade. En parallèle, je récolte, au fil de mes pérégrinations, de la matière (journaux, emballage, tickets…) afin de créer, grâce au collage, des fonds pour les portraits réalisés à l’Afghan Box. Cela permet de mieux mettre en valeur le sujet photographié et son identité. » Adrien Tache

« Les artistes travaillent in situ avec les fragments recueillis pour créer et tisser un lien avec le public. Les œuvres issues de ce processus de création seront présentées le temps de l’exposition ainsi que sur les réseaux sociaux. » Le collectif Fragments

Biographies

  • Lucie Adélaïde, née en 1990 à Tulle, n’a cessé de parcourir le sud de la France avec sa famille pour retrouver l’Hérault à l’adolescence. Sensible au monde artistique, elle se lance dans les études d’architecture et est diplômée en 2013. Ce parcours lui permet de s’éveiller à l’art contemporain.
  • Papa Lawrence, né à Milan, est installé à Montpellier depuis plus de trois ans après un Master en design de communication au Politecnico de Milan.
  • Aurélie Buridans, née en 1976 à Montpellier, mène sa carrière d’artiste, de directrice artistique freelance et de professeure à l’école ESMA (École Supérieure des Métiers Artistiques) de Montpellier. bobie (Yves Bommenel), né en Provence en 1969, travaille depuis trente ans dans la culture tout en explorant différentes formes d’expressions artistiques de manière autodidacte (textes, images, sons). Il vit à Montpellier.
  • Bobie, né en Provence en 1969, travaille depuis trente ans dans la culture tout en menant une carrière d'artiste. Il vit à Montpellier. »
  • Julie Dutriez, née en 1978 à Montpellier, est productrice freelance. Elle a étudié l’histoire de l’art à l'Ecole du Louvre de Paris.
  • Jareh Figueroa, diplômée de la Faculté des arts et du design à Mexico, vit en France depuis 2019.
  • Amanda Goicovic s’est orientée vers les arts plastiques à la fin de ses études de Commerce International dans son pays d’origine, le Chili. Elle poursuit à Montpellier ses études par un master en Arts Plastiques. Depuis 2019, elle développe une thèse de recherche-création intitulée Arts textiles : un univers paradoxal entre industrie, arts et artisanat à l'Université Paul Valéry à Montpellier.
  • Sébastien Masse, né en 1970 à Marseille, est diplômé d'un DEA d'Histoire de l'art. Il vit et travaille
  • à Montpellier.
  • Adrien Tache, né en 1990 à Montpellier, a commencé́ à se former en autodidacte à la photographie dès l'âge de 16 ans.

UNE EXPO A DECOUVRIR SUR LA BANDE DESSINEE A PIERRESVIVES

 

Peut être une image de intérieur
Lewis Trondheim, célèbre auteur de bande dessinée vous propose de plonger dans son monde coloré avec ses personnages de Lapinot, Ralph Azham, Le Roi Catastrophe…
Cette expo est à découvrir au domaine départemental de Pierresvives jusqu’au 28 janvier ! Venez en famille ou entre amis et profitez de nombreux ateliers et animations sur entrée libre
Du mardi au samedi – de 10h à 19h
Visites guidées
- Les mercredis à 16h
- Les samedis à 11h et 16h
Visite Langue des signes LSF
- Samedi 3 décembre à 16h
 Découvrez le programme : https://bit.ly/3s95Rq7

Rendez-vous ce vendredi pour le vernissage de l'exposition "Après l'école. 2è Biennale artpress des jeunes artistes"

Rendez-vous ce vendredi pour le vernissage de l'exposition "Après l'école. 2è Biennale artpress des jeunes artistes" au MO.CO. Montpellier Contemporain

VENDREDI 30 septembre DE 18H00 À 21H00

Venez découvrir la deuxième édition de "Après l'école, biennale artpress des jeunes artistes" à Montpellier !
 
L'exposition réunira 32 artistes diplômés des écoles d’art publiques françaises et déjà engagés dans une carrière artistique, sélectionnés par un jury présidé par le réalisateur et artiste espagnol Albert Serra.
 
Associant la revue d’art contemporain artpress, MO.CO. Montpellier Contemporain, Montpellier Méditerranée Métropole et la Ville de Montpellier, la biennale investira plusieurs salles du Musée Fabre, l’intégralité du MO.CO. Panacée ainsi que l’Espace Dominique Bagouet, proposant ainsi aux visiteurs un véritable parcours artistique urbain. Elle entend ainsi donner aux jeunes artistes sélectionnés la possibilité d’exposer dans les meilleures conditions. Elle trouvera un écho au Frac Occitanie Montpellier et à l’École supérieure des beaux-arts qui, tous deux, accueilleront au même moment des expositions de jeunes artistes diplômés et d’étudiants.
"Après l’école" est une biennale de critique d’art. Son commissariat est assuré en complicité avec les partenaires par Étienne Hatt, rédacteur en chef adjoint d’artpress, et Romain Mathieu, enseignant en école d’art et critique. Elle ne propose pas un échantillonnage de la jeune création. Conciliant présentation généreuse de chacun des artistes et mises en dialogue et en tension, elle en donne une lecture en prise avec les pratiques et les enjeux les plus actuels.
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Artistes de l'exposition :
Saïd Afifi, Assoukrou Aké, Caroline Anezo, Elie Bouisson, Célia Cassaï, Ève Champion, Mona Convert, Louise-Margot Décombas, Guillaume Dronne, Thomas Gasquet, Jérémy Griffaud, Matthieu Hemmer, Linh Jay, Yongkwan Joo, Sam Krack, Ugo Lange, Coline Lasbats, Melisa Liebenthal, Raphaël Maman, Mélissa Medan, Raphaël-Bachir Osman, Eva Pelzer, Lorette Pouillon, Laure Tiberghien, Vehanush Topchyan, Céline Turlotte et Jérémy Bindi, Valentin Tyteca, Amalia Vargas, Bowen Zhao, Alexandre Zhu, Yunyi Zhu
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"Après l'école, biennale artpress des jeunes artistes"
Exposition du 1er octobre 2022 au 8 janvier 2023
 MO.CO. Panacée, 14 rue de l'Ecole de Pharmacie, Montpellier | Entrée gratuite
 Musée Fabre, 39 boulevard Bonne Nouvelle (ouverture le 30 septembre de 16h à 18h) | Entrée gratuite sur présentation du carton d’invitation
 Espace Bagouet, Esplanade Charles de Gaulle (ouverture le 30 septembre de 16h à 18h) | Entrée gratuite

 

Les expositions du festival Sète-Palermo continuent !

 

palermo55Capture d’écran 2022-09-21 131956La première partie du festival international d’art contemporain Sète-Palermo s’est achevée ce dimanche 18 septembre à la Librairie l’Echappée Belle après 7 jours de rencontres artistiques et culturelles à Sète et à Montpellier. Les expositions restent ouvertes les prochaines semaines !
 
Artistes et public se sont retrouvés pendant les temps forts du festival : performances artistiques, vernissages, lectures et soirées conviviales étaient au programme. Véritable marathon artistique aux airs méditerranéens, les expositions se poursuivent et se visitent gratuitement dans les 8 lieux de cette 2ème édition.
 
L’équipe de Sète-Palermo est très heureuse de cette seconde édition, particulièrement marquée par des moments de convivialité et des oeuvres de qualité, qui se répondent les unes les autres grâce au travail de Frederica Fruttero, commissaire d’exposition et de Mr & Mr, les scénographes du festival.
 
Ceux qui en parlent le mieux sont encore les artistes, sétois, montpelliérains et palermitains qui se sont côtoyés toute la semaine et se retrouveront à Palerme du 17 au 23 octobre 2022 pour le « match-retour » du festival.palermo4Capture d’écran 2022-09-21 131912palermo22Capture d’écran 2022-09-21 131738
 
 
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Inauguration de l'exposition « Mémoires d’exil, histoires d’hospitalité » du 17 septembre au 21 octobre 2022 a l’hôtel de ville de Montpellier

Aujourd'hui, Samedi 17 septembre 2022, Michaël DELAFOSSE, Maire de la Ville de Montpellier, Président de Montpellier Méditerranée Métropole et Patricia MIRALLES, Secrétaire d'État auprès du ministre des Armées, chargée des Anciens combattants et de la Mémoire ont inauguré l'exposition " Mémoires d'Exil, histoires d'hospitalité".
Inauguration de l'exposition « Mémoires d’exil, histoires d’hospitalité » du 17 septembre au 21 octobre 2022 a l’hôtel de ville de MontpellierVoir l'image en grand

Exposition "C'était l'année 62, mémoires d'exil, histoires d'hospitalité"

Les récits des témoins de l’époque et de leurs descendants seront présentés sur 6 tryptiques installés sur le parvis de l’Hôtel de Ville. Anciens élus, personnalités de la société civile ou simples citoyens, ils racontent l’expérience traumatisante de l’exil, ainsi que leur installation à Montpellier. Côté institutions, l’exploitation des Archives municipales, ainsi que les contributions de l’INA et des Archives départementales, permettront de saisir la complexité de la situation pour la municipalité, ainsi que son implication pour venir en aide à ces populations.

Cette exposition a pour vocation de transmettre cette mémoire aux jeunes générations. Elle doit permettre une meilleure compréhension de cet épisode historique, en remontant le fil des témoignages individuels pour ensuite mieux appréhender ses conséquences locales à travers des documents d’archives. L’exposition « C’était l’année 62, Mémoires d’exil, histoires d’hospitalités » vient en complément aux différents événements culturels et commémoratifs proposés durant cette année par la Ville de Montpellier (subventions mémorielles pour les cimetières européens en Algérie, cycle de conférences, supplément rédactionnel « Autre rive, autre vies », repas des associations). 

Spectacle "les fils des hommes"

Pour annoncer cette exposition et continuer d’explorer cette histoire qui relie les deux rives de la Méditerranée, la compagnie « Action d’espace » présentera son spectacle itinérant « Les Fils des hommes », le vendredi 16 septembre à 17h, place du Nombre d’Or. Il s’agit d’un déambulation théâtrale dans l’espace public réalisée par deux comédiens, qui jouent avec un cube rouge et le décor urbain, dans le but d’aborder les tabous de la mémoire existants autour de la guerre d’Algérie.

La ville de Montpellier, terre d’accueil

Après les accords d’Evian, plus de 800 000 Français d’Algérie arrivent en métropole dans des conditions dramatiques. La situation des familles harkies qui ont pu suivre le même chemin (enlever les virgules) est encore plus difficile. À son échelle, Montpellier s’efforce de les accueillir au mieux, dans l’urgence. Cette politique volontariste de la municipalité lui permettra ensuite, en prenant appui sur cet afflux de population qui dynamise la région, d’accélérer son développement, jusqu’à devenir capitale régionale. Grâce à l’exposition « Mémoires d’exil, histoires d’hospitalité », revivez ou découvrez cet épisode historique en remontant le fil des témoignages individuels, pour ensuite mieux appréhender ses conséquences locales à travers des documents d’archives.

Plus d'informations :

C'était l'année 62 : mémoires d'exil, histoires d'hospitalité

Programme de l'exposition

C'était l'année 62 : mémoires d'exil, histoires d'hospitalité

 

À l’occasion des commémorations du 60e anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie, la Ville de Montpellier et Montpellier Méditerranée Métropole organisent tout au long de l’année 2022 des rencontres, expositions, projections, recueils de témoignages, éditions…

Rencontres au centre Rabelais et à la médiathèque Emile Zola, avril - juin 2022

 

Exposition à l'Hôtel de ville, 17 septembre - 21 octobre 2022

« Rapatriés, harkis : quel accueil à Montpellier ? Témoignages et archives »

Les récits des témoins de l’époque et de leurs descendants seront présentés sur 6 tryptiques installés sur le parvis de l’Hôtel de Ville et dans la salle Danielle Mitterrand. Anciens élus, personnalités de la société civile ou simples citoyens, ils racontent l’expérience traumatisante de l’exil, ainsi que leur installation à Montpellier. Côté institutions, l’exploitation des Archives municipales, ainsi que les contributions de l’INA et des Archives départementales, permettront de saisir la complexité de la situation pour la municipalité, ainsi que son implication pour venir en aide à ces populations.

Cette exposition a pour vocation de transmettre cette mémoire aux jeunes générations. Elle doit permettre une meilleure compréhension de cet épisode historique, en remontant le fil des témoignages individuels pour ensuite mieux appréhender ses conséquences locales à travers des documents d’archives. L’exposition vient en complément aux différents événements culturels et commémoratifs proposés durant cette année par la Ville de Montpellier (subventions mémorielles pour les cimetières européens en Algérie, cycle de conférences, supplément rédactionnel « Autre rive, autre vies », repas des associations).

Inauguration de l'exposition " samedi 17 septembre 2022 à 12h en présence de Michaël Delafosse et de Patricia Miralles.

Entrée libre

« Je n'étais jamais venu en métropole auparavant [...]
De la neige sur le sable ! » 
Guy O.

« À Montpellier, l'accueil était meilleur qu'ailleurs pour les rapatriés » 
Jean-Paul S.

« Avant l'arrivée des rapatriés, il n'y avait pas de restauration rapide en centre-ville [...]
Montpellier, cette "belle endormie de province", a changé sous l'impulsion des rapatriés » 
André M.

Un magazine spécial a été édité par la Ville de Montpellier pour rappeler que l’histoire des rapatriés et des harkis est liée à notre territoire. Le témoignage de leur arrivée nous plonge 60 ans dans le passé, et nous invite aussi à mieux construire notre avenir.

Bonne lecture !

Télécharger le supplément

Spectacle "Les Fils des hommes"

Pour annoncer cette exposition et continuer d’explorer cette histoire qui relie les deux rives de la Méditerranée, la compagnie « Action d’espace » présentera son spectacle itinérant « Les Fils des hommes », le vendredi 16 septembre à 17h, place du Nombre d’Or.

Il s’agit d’une déambulation théâtrale dans l’espace public réalisée par deux comédiens, qui jouent avec un cube rouge et le décor urbain, dans le but d’aborder les tabous de la mémoire existants autour de la guerre d’Algérie.

EXPOSITION : FEU ! - 6ÈME SALON ART NATURE CONTEMPORAIN

EXPOSITION : FEU ! - 6ÈME SALON ART NATURE CONTEMPORAIN

 
Samedi 10 Septembre 2022

 

Domaine du Département Restinclières
Copie de au feu

GRATUIT - en libre accès Exposition : Feu ! - 6ème salon Art Nature Contemporain Du 10 septembre au 9 octobre Le feu objet de tous les paradoxes : il réchauffe et réconforte, guérit, purifie….Il vient de la terre, de l’atome. Le feu, objet de fascinations, de créations, de sentiments les plus fous, de l’évolution humaine… mais aussi le feu à l’origine de destructions environnementales importantes, causes et conséquences du changement climatique. Eteignons le feu, « rallumons la flamme » de nos consciences pour pouvoir retrouver un monde plus accueillant. Vernissage le vendredi 9 septembre à 18h30 Exposition de l’Artothèque Exposition au rez-de-chaussée du château Horaires : Du lundi au vendredi : 8h30 à 12h30 et 13h30 à 17h30 Le week-end : 14h à 18h (et 17h30 à partir de fin octobre) Fermeture les jours fériés Vous ne voulez rien manquer de notre programmation, notre actualité : inscrivez-vous à notre newsletter en quelques clics sur le site internet : http://domainederestinclieres.herault.fr 

 

 

Découvrez le Domaine de Restinclières - Prades -le-Lez: LES + DU DOMAINE DE RESTINCLIERES 240 hectares d'Espaces Naturel Sensible (ENS) Ouverture 7j/7 Parking gratuit Aire de jeux Aires de pique-nique Divers sentiers de randonnées et de balades Accès libre et gratuit à tous les équipements Des animations toutes l'année : €

Exposition « Pourquoi s'embêter à le peindre ? » à découvrir du 3 au 24 septembre 2022 à l'espace Saint-Ravy

Pour ouvrir sa nouvelle saison artistique, l’Espace Saint-Ravy a le plaisir d’accueillir le peintre Frédéric Plumerand.

Exposition « Pourquoi s'embêter à le peindre ? » à découvrir du 3 au 24 septembre 2022 à l'espace Saint-Ravy Voir l'image en grand

Pour cette exposition, l’artiste présente près de quarante-cinq toiles, sortes de fenêtres mêlant imaginaire, reflets de vie et sujets d’actualité. Le peintre met principalement en scène des femmes et des enfants qui semblent chercher une ouverture dans un dédale architectural quelque peu surréaliste.

Chaque œuvre recèle une atmosphère étrange d’où se dégage une tension qui tient le visiteur en haleine lui donnant envie de parcourir les couloirs et de pousser la porte.

Vernissage le vendredi 2 septembre à 18h30

Frédéric Plumerand explique sa démarche artistique pour la réalisation de ses peintures à l’huile :

« Je procède en plusieurs étapes : A une vision, issue d’un sentiment, d’une rencontre, d’un fait d’actualité, d’un récit du monde ou du quotidien, succède une minutieuse récolte d’images ou de clichés personnels. J’opère ensuite un travail de sélection entre assemblage et disjonction. Ainsi je me sers des logiciels de retouche et de traitement de photographies numériques qui m’ont accompagné pendant tant d’années. Je joue alors à enchevêtrer ce qui était séparé et décomposer ce qui faisait continuité : comme le changement historique et culturel, les religions ou le prétendu ordre du monde. Mes œuvres ne sont réalisées sans exprimer une tension entre les dimensions de la vie (sociale, politique, psychologique) et les dimensions des corps et des objets: une perte de gravité, de repères dans l’espace-temps et une confusion entre le dehors et le dedans. Questionner la porosité des frontières est donc mon leitmotiv où se mêlent intériorité (intime) et intérieur (domestique), réel et fantasmagorique.

Si mes premières productions me tiraient vers l’abstrait, je trouvais par la suite mon équilibre dans un certain figuratif qui brouille les pistes en même temps qu’une méthode de travail et une esthétique qui ne me quittera plus. Mes créations portent certainement les marques de Francis Bacon, Edward Hopper ou de René Magritte, mais elles sont également empreintes des registres du 7ème art. Mes tableaux possèdent une dramaturgie qui vacille entre les atmosphères d’Alfred Hitchcock, Frederico Fellini, et Ken Loach.

Le public averti ou néophyte pourra au cours de la visite passer tour à tour d’un monde joyeux, burlesque, fellinien voire surréel, à un monde plus étrange où se mêleront territoire du subconscient et territoire domestique et social où la figure féminine et les âges de la vie ont une part belle dans un environnement d’intrigue hitchcockienne. Enfin, une autre partie sera tournée vers l’état du monde, des Ailleurs où l'actualité se fait l'écho des bouleversements de notre univers, pour un jour ou pour l'éternité.

“Si on peut le dire, pourquoi s'embêter à le peindre ?” dit un jour Francis Bacon qui avait l’art et la manière de s’exprimer avec humour et philosophie sur son art. Pour ma part, peindre est dévoiler au-delà des mots. C’est exposer mon imaginaire pétri d’histoires recomposées des jours anciens et présents. »

Biographie :

Frédéric Plumerand est né en 1956 à Nevers. Depuis ses 17 ans, âge de son arrivée avec sa famille sur Montpellier, il ne l'a plus quittée. C’est la ville où il découvre la peinture. Il y suit les cours du soir de l’Ecole des Beaux-Arts. Puis son itinéraire le conduit ensuite à l’école Brassart d’Art Graphique de Tours de 1974 à 1978.

L’obligation sous-jacente de l’époque le pousse à se professionnaliser. Il trouve alors un compromis, le métier de graphiste-illustrateur. Rétrospectivement, ses vingt-cinq années de profession sont moins une séparation avec la peinture qu’une prise d’élan vers la création ininterrompue.

Les années 2000 sont pour lui un tournant essentiel, où il décide de mettre de côté son poste de graphiste pour se consacrer exclusivement, presque frénétiquement, à la peinture à l’huile. Conjointement, Frédéric Plumerand s'engage auprès d’associations et de collectifs qui accompagnent des personnes dans la précarité comme le Secours Populaire ou la Maison des Chômeurs. Il y propose son soutien en tant que citoyen mais surtout comme artiste. Son univers est en effet perméable à sa sensibilité pour le social, les problématiques actuelles et globales autant que le quotidien des marginalisés.

En 2019 l’artiste-peintre réalise une exposition personnelle au Musée Hofer-Bury de Lavérune où il partage un grand nombre de ses travaux.

Contact de l’artiste :

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Interview à l’Espace Saint-Ravy sur rendez-vous