Week-end musique "À l'opéra chez les Despous !" 10 et 11 septembre 2022
Grâce à l’exposition « Musique ! A l’Opéra chez les Despous » qui retrace la vie musicale de la ville de la fin du XIXe siècle à aujourd’hui, le public pourra profiter, en musique, du partenariat noué entre l’Opéra Orchestre National de Montpellier et le musée Fabre, lors du week-end festif du 10-11 septembre de 14h à 18h.
Les musiciens de l’orchestre proposent d’interpréter un programme choisi pour l’occasion, qu’ils invitent à découvrir au fil des intérieurs feutrés de l’hôtel particulier de Cabrières-Sabatier d’Espeyran.
Au programme
Samedi 10 septembre
- Quatuor de trombones et tuba :
Thomas Callaux, Juliette Tricoire, Vincent Monney, trombones. Tancrède Cymerman, tuba.
Passage 1 : 14h15
Passage 2 : 15h30
Beatriz De Diaz « Je chanterai ce que je n’aurais pas voulu chanter »
Diego Ortiz (1510-1570) : « Recercada primera e segunda »
Antonio de cabezon (1510-1566) : « La dama le demanda »
Antonio Vivaldi (1678-1741) : « allegro de sonate»
Claude Debussy (1862 - 1918) : « la fille aux cheveux de lin »
- Le Tricorde :
Aude Perin-Dureau, violon. Estevan de Almeida Reis, alto. Benoit Levesque, contrebasse.
Passage 1 : 15h
Passage 2 : 16h30
Jean Sebastien Bach (1685–1750) – Variations Goldberg (extraits) - arrangements pour trio à cordes par Dmitri Sitkovetsky
- Quatuor Vocal :
Hwanyoo Lee, soprano, Alexandra Heiser-Dauphin, mezzo-soprano, Hyoungsub Kim, ténor, Albert
Alcaraz, basse.
Passage 1 : 16h
Passage 2 : 17h
Claude Debussy (1862 - 1918) : « Dieu! Qu’il la fait bon regarder, n.1 » (de ‘Trois Chansons de Charles d’Orléans’)
Giuseppe Verdi (1813 - 1901) : « Ave Maria, n.1 » (de ‘Quatri pezzi sacri’)
Edvard Grieg (1843 - 1907) : « Velsignede Morgen » (de ‘Peer Gynt’)
Maurice Ravel (1875 - 1937) : « Ronde, n.3 » (de ‘Trois Chansons’)
Dimanche 11 septembre
- Quatuor de cors :
Sylvain Carboni, Eloy Schneegans, Jean-Charles Masurier et Marie Benoit.
Passage 1 : 14h15
Passage 2 : 15h30
Nickolai Tcherepnine (1899-1977) : suite
Eugene Bozza (1905-1991) : suite
- Duo d’altos :
Estevan de Almeida Reis et Eric Rouget altos
Passage 1 : 15h
Passage 2 : 16h30
Wihlem Friedemann Bach (1710-1784) : « duo pour deux altos en sol majeur »
Franck Bridge (1879-1941) : « Lament for two violas »
- Quatuor à cordes :
Sylvie Jung et Olivier Jung, violons. Florentza Nicola, alto. Elisabeth Ponty-Scheuir, violoncelle.
Passage 1 : 16h
Passage 2 : 17h
Georges Bizet (1838-1875) : « Habanera » (Carmen)
Georges Bizet « La fleur que tu m’avais jetée » (Carmen)
Franz Lehár (1870-1948) : « La veuve joyeuse » - (chanson de Vilia)
Léo Delibes (1836-1891) : «Duo des fleurs » (Lakmé)
Giacomo Puccini (1858-1924) : « Che Gelida Manina » (Bohême)
Giacomo Puccini : Nessun Dorma » (Turandot)
Giacomo Puccini : « O mio babbino caro » (Gianni Schicchi)
Informations pratiques
Weekend exceptionnel en musique les 10 et 11 septembre grâce au partenariat avec l’Opéra Orchestre National de Montpellier de 14h à 18h.
Entrée comprise avec le billet d’accès au musée Fabre.
Hôtel de Cabrières-Sabatier d’Espeyran
6 bis rue Montpelliéret, 34000 Montpellier
Rentrée musicale au Domaine d'O
Les grandes chansons françaises par Philippe Raybaud. Une chanson interprétée par Ginette Reno. " J'ai besoin de parler "
Aujourd’hui nous vous invitons à découvrir une chanson interprétée par Ginette Reno. " J'ai besoin de parler " (1995 / David Van de Pitte, Diane Juster, Luc Plamondon).
La vie de couple est faite de partages, d'échanges, de communication et de complicité. Mais se sentir seule lorsque l'on vit avec quelqu'un qui s'éloigne et dont les centres d'intérêt l' attirent ailleurs, peu à peu le lien se brise. Dans cette chanson, interprétée par Ginette Reno, le couple semble avoir perdu le ciment essentiel de la vie à deux. À force de simplement se croiser au lieu de réellement se poser ensemble et s'écouter, la flamme ne peut que lentement s'éteindre.
Ginette Reno :
Auteure compositeur-interprète et comédienne née à Montréal 28 avril 1946.
Attirée très jeune par la chanson populaire, et pour gagner son argent de poche, la jeune Ginette chante dans les magasins du quartier Plateau Mont-Royal à Montréal.
En 1959 et 1960, elle se présente plusieurs fois à l'important concours "Les Découvertes de Jean Simon" et remporte partout les premiers prix.
Le Café Caprice, le Café de l'Est et le Café Provincial procurent, à la Lauréate, ses premiers engagements professionnels. À sa demande, et à celle de ses parents, Jean Simon devient son coach personnel. Il est son parrain artistique. Ce dernier entreprend de créer l'image de celle qui allait devenir la grande interprète que nous connaissons.
C'est en avril 1983, que le public français découvre, à son tour, la voix de Ginette Reno lors de ses apparitions aux émissions "Cœur en fête", "Champs-Élysées" et à son premier spectacle en vedette à l'Olympia de Paris.
Ginette est également comédienne, elle devient le personnage central de la télésérie "Une voix en or", une co-production franco-canadienne diffusée, en mars 1998, sur les ondes de Radio-Canada et de France 2.
Une carrière émaillée de succès musicaux que beaucoup fredonnent régulièrement.
https://youtu.be/tajFcHbkg3I Philippe Raybaud
La chanson de la semaine : Philippe Raybaud vous invite à découvrir « J'irai danser quand même » (1964), par Gribouille
Philippe Raybaud vous invite à découvrir « J'irai danser quand même » (1964), par Gribouille ( Paroles : Gribouille Musique : Charles Dumont ).
" J'irai danser quand même " relate la rupture amoureuse de la chanteuse avec un " copain " de passage. Malgré les promesses de ne pas ressentir de chagrin, Gribouille exprime le mal être qui l'habite en permanence et cette mélancolie douloureuse qui pèse en son âme et émaille sa courte carrière.
Gribouille : (1941 – 1968).
Cette Lyonnaise débute sur scène dès ses 16 ans dans sa ville natale, puis très vite rejoint Paris où elle vit des dessins à la craie griffonnés sur les trottoirs de la capitale. Cette pratique à la mode d'alors lui permet de vivoter grâce aux quelques pièces jetées par les passants.
Trop de colères, de noir, de refus, et la môme traine de foyer en foyer. Au passage, on remarque qu’elle aime chanter, que ça lui fait du bien d’écrire,
Mais cette adolescente à l'enfance tourmentée, est rétive, explosive, quitte un foyer parisien qui l'héberge et vie déformais sous les ponts.
Un jour, un vieux monsieur élégant s’arrête, l’appelle « mon petit », l’entraine avec lui. Gribouille n’est pas un garçon, mais tant pis. Le vieil homme aime son visage androgyne, dur et fragile à la fois, sa voix grave, incapable de futilité.
Le vieil homme se méprend sur " cette jolie fille pleine de musique qui ressemble parfois à un joli garçon ". Il lui ouvre la scène du " Bœuf sur le Toit ", incontournable cabaret parisien.
Plus tard, Jean Cocteau dessine son portrait, et en souvenir de sa méprise porte la dédicace
" À mon Ami, Gribouille " la chanteuse gardera longtemps ce dessin en ajoutant pudiquement un " e " au mot Ami.
C'est donc Jean Cocteau qui la présente dans divers autres cabarets parisiens, et le talent de Gribouille, vite reconnu, lui offre des rencontres avec des compositeurs qui lui permettent ainsi de chanter ses propres paroles. Les collaborations s'enchaînent (Michel Breuzard, Charles Dumont, Gérard Bourgeois, Jacques Debronckart, Georges Chelon).
C'est dans les années 60 qu'elle écrit ses textes les plus connus : ( " Mathias, Grenoble, Elle t'attend, On n'a pas le droit, Ostende."). Son apparence androgyne et sa voix grave ainsi que ses chansons personnelles et ambiguës lui gagnent le public lesbien.
Lors d'un passage à Bobino, la consécration de l'époque pour les artistes dits " rive gauche " en 1966, où elle chante en première partie de François Deguelt, lui ouvre les portes du succès
À tel point que ce tour de chant lui promet un bel avenir. Mais la chanteuse se fait discrète, cesse d'écrire et s'enferme dans ses démons.
Gribouille, nous quittera en janvier 1968. Elle décède d'un excès de barbituriques et d'alcool.
Il nous reste d'elle quelques magnifiques textes. Philippe Raybaud.
https://youtu.be/yFVELD8KYfI
Par Philippe Raybaud : Jean – Michel Rinaldi. Chanteur sétois de renom aux multiples interprétations.
Toutes les semaines, retrouvez le portrait proposé par Philippe Raybaud. Cette semaine, le portrait de Jean-Michel Rinaldi, chanteur sétois de renom aux multiples interprétations.
Cigale tout l’été, Jean Michel Rinaldi fourmille de projets ! Depuis plusieurs décennies, l’artiste chante et c’est sa passion, son essentiel ! Dans un contexte sanitaire difficile où, pendant de longs mois, il a été privé de scène et coupé de son public, l’artiste a sorti un nouveau CD
« Entre-Nous ». Un acte de résistance !
Né sur l’ile Singulière, Jean Michel Rinaldi, durant son enfance, habite le quartier haut. Là où la ville s’étend entre ciel et mer, au pied du Mont St Clair. Dans la famille, pour faire danser la vie, on oscille entre la Tarentelle du côté du papa, italien, et le Flamenco, du côté de la maman, espagnole. Des origines qui, sans nul doute, permettent au jeune garçon de prendre la clé des chants.
Depuis ses premiers accords de guitare à l'aube de ses 13 ans, Jean-Michel participe à l’âge d’or des bals populaires : The Tonton’s Mérinos Group, Paul Alan, Jean-Pierre Sardi, Quai des Brumes groupe FM signé chez CBS (Sony) et Homburg, en passant par ses années Rock’n Roll attitude avec Chris Spedding (une légende interplanétaire avec qui il a fait des tournées européennes), avant de revenir à la variété française et internationale, il a toujours la passion chevillée au cœur.
Cependant, s’il continue à parler et à vivre musique, et que les moments d’exaltation, de passion et de plaisir sont toujours aussi intenses, il bénéficie d’une solide expérience qui le tempère. En d’autres termes, il est plus prudent dans ses choix artistiques. Cependant, l’homme a toujours voulu préserver sa liberté. C’est d’ailleurs ce qui l’a poussé à faire cavalier seul. Et cela lui a plutôt bien réussi !
Peu adepte de l’immobilisme, il avait commencé à enregistrer, avant le premier confinement, un nouvel album qu’il a peaufiné. Au point que l’opus de 18 titres, a vu le jour début 2021, avec l’espoir qu’il vienne augurer de temps meilleurs. Et Jean-Michel de se confier :« À l’évidence, sortir un CD, en cette période de crise qui a porté préjudice à la profession a été pour moi un acte « engagé » qui vise la bonne circulation de notre patrimoine musical lié à la survie du spectacle vivant ».
Ainsi, sur sa lancée, tout l’été, envers et contre tous les rebondissements d’un contexte assez morose, Li a continué de voler de scène en scène sur le département et en région, donnant le meilleur de lui-même, lors de prestations mêlant variétés françaises et Internationales à un rythme effréné !
Et, pour ne pas se laisser brûler au feu de la nostalgie, la saison terminée, cet auteur-compositeur-interprète continue à fourmiller de projets nouveaux. En effet, après avoir tourné avec un récital piano-voix hommage à Reggiani, accompagné par Gilles Themelin au piano, il compte bien, dès l’automne, proposer son nouveau spectacle « À vous… Jusqu’à la fin du monde », Jean Michel Rinaldi chante Julien Clerc. Un spectacle qu'il peaufine avec la rigueur et le bonheur qui caractérise cet amoureux du toujours mieux faire, par respect du public avant toute autre chose. Philippe Raybaud.
Contacter JM Rinaldi : 06 16 23 46 23
Retrouvez Jean-Michel Rinaldi : Facebook : https://www.facebook.com/search/top/?q=jean%20michel%20rinaldi%20officiel
Un aperçu de son prochain spectacle : https://youtu.be/kYu7mA-uKNU
Week-End Family Piknik – Festival elektro
Le week-end 2 Family Piknik aura lieu à Frontignan, au coeur de l'Archipel de Thau, les 13 & 14 août 2022
En plein air, de 13h à minuit, pendant deux jours consécutifs, venez vibrer en famille ou entre amis au cœur d’un décor végétal à l’air marin, au rythme des musiques électroniques, dans une ambiance conviviale unique en France. Deux scènes open-air, zone détente Chill, Food-trucks et zone enfants dédiée ouverte de 13h à 20h00.
Au niveau de la programmation, Family Piknik continue sur sa lancée et s’affirme encore un peu plus comme la destination de choix des meilleurs DJs internationaux puisqu’on retrouvera sur ce week-end 2 une pléiade d’artistes très rares en France, dont la plupart joueront en exclusivité sur la scène de Family Piknik. Le samedi 13 août sera axé sur le meilleur de la House Music, avec un enchaînement inédit entre la légende américaine de la House, Danny Tenaglia, qui viendra partager sa science des platines pendant 3 heures en plein après-midi, avant de laisser place au phénomène Fisher, l’artiste qui bouscule tous les codes de ce genre musical depuis la sortie de son tube ‘Losing It’. Le néerlandais Oliver Heldens, classé au Top100DJs depuis 2013, sera convié à faire monter cette soirée en pression avec un set sous sa facette dark techno, HI-LO.
Avec des artistes du calibre de Fisher, Kölsch, Danny Tenaglia, Joris Voorn, Innellea, HI-LO, Öona Dahl, Gheist (live), Super Flu, TERR, Cioz b2b Sam Shure, Sascha Braemer, Kadosh, 8Kays, Tom Pooks b2b Joy Kitikonti, Pontias b2b Several Definitions et quelques valeurs sûres du label Family Piknik Music...
Avec 23 000 "piknikeurs" les meilleures années, la formule marche bien. La Ville de Frontignan a saisi l’opportunité et l’avantage d’un tel événement au sein de la cité muscatière.
Ce WE, ils seront certainement des milliers à venir écouter, en famille, les meilleurs DJ du moment, du monde entier ou du cru.
En raison de l’occupation des lieux durant le festival Family Piknik, le skatepark sera exceptionnellement fermé du mercredi 10 (dès 18h) au lundi 15 août (20h).
Les grandes chansons françaises par Philippe Raybaud : " À bout de souffle " Claude Nougaro.
Les grandes chansons françaises par Philippe Raybaud
Cette semaine, redécouvrons " À bout de souffle " Claude Nougaro.
Sur une musique de Dave Brubeck Claude Nougaro est l'auteur des paroles. Il nous compte les mésaventures d'un cambrioleur " malchanceux ". En un rythme effréné, sur un pur joyau du jazz, le chanteur nous entraine dans un univers de cavale mortelle.
Claude Nougaro :
Il nait en 1929 à Toulouse et disparaît en mars 2004 à Paris. Auteur-compositeur-interprète et poète français. Grand amateur de jazz, de musique latine et africaine, mariant la musicalité des mots, il s'applique tout au long de sa carrière à unir chanson française, poésie et rythme.
Claude est le fils de Pierre Nougaro, chanteur d'opéra — premier baryton à l'Opéra de Paris — (1904-1988), et de Liette Tellini (1906-2001), Italienne et professeur de piano (premier prix de piano au conservatoire). À l'âge de douze ans, il écoute à la radio Glenn Miller, Édith Piaf, Bessie Smith et Louis Armstrong, qui, entre autres, l'inspirent à suivre cette voie.
Ses premiers pas d'auteur- compositeur lui permettent d'écrire des chansons pour Marcel Amont (Le Barbier de Séville, Le Balayeur du roi), Philippe Clay (Joseph, la Sentinelle), et rencontre sur place Georges Brassens, qui devient son ami et mentor. Il écrit de la poésie romantique, également humoristique.
C'est en octobre 1958 qu'une célèbre maison de disques édite ses premiers enregistrements et la chanson " Il y avait une ville " le fait connaitre d'un cercle restreint. Les chansons sont écrites notamment avec son partenaire Michel Legrand.
Le succès ne le consacre néanmoins qu'en 1962, grâce à son directeur artistique Jacques Canetti, il enregistre " Une petite fille " et " Cécile ma fille" qui le font immédiatement connaitre du grand public.
En 2003, déjà gravement touché par la maladie, Claude Nougaro prépare un nouvel album, réalisé comme le précédent par Yvan Cassar.
Emporté par le cancer, en mars, l'artiste ne termine pas son enregistrement et l'album La Note bleue sort à titre posthume le 30 novembre 2004.
Claude Nougaro nous laisse en héritage des chansons, parfois tendres et mélancoliques, parfois brutales et réalistes.
Philippe Raybaud.
Les grandes chansons françaises proposées par Philippe Raybaud : " Père prodigue " de Georges Chelon
Les grandes chansons françaises proposées par Philippe Raybaud : " Père prodigue " de Georges Chelon.
"Père prodigue ", comme une lettre intime adressée à son père, Chelon nous livre un texte ciselé sur une mélodie aux accents mélancoliques. Ce père absent des années durant, et qui ne doit pas s'attendre à un accueil chaleureux, lors d'un éventuel retour. Chanson autobiographique s'il en est.
C'est en 1965, au beau milieu du déferlement- " yéyé " que Georges pousse les portes de la célébrité avec cette composition qui émeut aujourd'hui encore.
Georges Chelon :
Né à Marseille en 1943, Georges CHELON a connu la gloire dès 1965 en pleine période yéyé, grâce notamment à "Père prodigue" (suivront "Sampa" ou "Morte saison"). L'année suivante, il recevra le prix de l'Académie Charles Cros, présenté comme le nouveau BRASSENS par les médias. Par la suite c’est sur scène que Georges CHELON se distingue et assure les premières parties d’Alain BARRIÈRE et Salvatore ADAMO. Durant la décennie 70, Georges CHELON sortira une dizaine d’albums, avant de connaitre une célébrité moins intense, mais restera toujours présent sur le devant de la scène, et sera notamment nommé Chevalier des Arts et Lettres en 1985 puis Chevalier de l'ordre national du Mérite en 2011, et il y a quelque temps, la Légion d'Honneur.
Car Georges CHELON a fêté récemment ses 55 ans de carrière. Le créateur a aussi publié un album, "Dans la cour de l'école" illustré par MALIK, déjà son huitième disque des années 2010. Il faut dire que le chanteur, prolifique, a fait partie de la troupe d' "Âge Tendre" lors des deuxièmes et quatrièmes tournées en 2007 et en 2009 (mais aussi de la saison supplémentaire en 2014).
Depuis, Georges se produit régulièrement, et si vous apercevez son nom sur une affiche, n'hésitez pas à vous rendre à ce concert. Les amateurs de grandes chansons françaises ne seront, certes pas déçus.
Sète, capitale du rap et du hip-hop pendant trois jours !
Sète, capitale du rap et du hip-hop pendant trois jours ! Dans le cadre du Demi festival créé par Demi Portion, les plus grands noms du rap hexagonal sont attendus au Théâtre de la Mer, sur une scène flottante installée sur le cadre royal ou encore au cinéma Comoedia et au quartier-haut, du 10 au 13 août.
Et si les concerts du Théâtre de la Mer sont complets depuis longtemps déjà, en revanche le concert gratuit, demain (19h-23h) sur le cadre royal, reste évidemment accessible à tous. Et ça va encore être dingue
Spectacle : le chanteur Daniel Lévi est mort
Selon Orange.fr :
Atteint d’un cancer du côlon depuis 2019, le chanteur notamment connu pour son rôle de Moïse dans la comédie musicale Les Dix Commandements, s’est éteint samedi 6 août.
Pour beaucoup, il était l’interprète de Moïse, dans la comédie musicale à succès du début des années 2000, Les Dix Commandements. Daniel Lévi s’est éteint à l’âge de 60 ans, samedi 6 août 2022, a annoncé I24 News.
Depuis 2019, le chanteur-compositeur et interprète, né à Constantine, était atteint d’un cancer du côlon. Il y a quelques jours, sur Instagram, sa compagne Sandrine Aboukrat faisait état de conditions de santé fortement dégradées. En juillet dernier, Daniel Lévi avait annoncé la naissance de leur fille, son 4ème enfant..........
Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/spectacle-le-chanteur-daniel-levi-est-mort-magic-CNT000001R4xWe.html